Pourquoi Juger Culture

Comment faut-il éduquer un enfant pour qu'il devienne autonome [le problème] ? Kant montre ici la difficulté de la tâche, dans la mesure où il faut à la fois le détacher de ses penchants naturels, donc l'habituer à obéir, et le rendre capable de juger et de décider par lui-même, faute de quoi l'éducation ne serait qu'un conditionnement. Un des plus grands problèmes de l'éducation est le suivant : comment unir la soumission sous une contrainte légale avec la faculté de se servir de sa liberté ?

 THEME 2 LA CULTURE LECON 5 L'HISTOIRE Pourquoi l'histoire est-elle devenue au XIXe siècle et pas avant, une dimension essentielle de l'essence de l'Homme et même plus radicalement l'incarnation de l'essence de l'humanité? Pourquoi l'histoire comme notion est-elle par essence polysémique? Que veut dire l'histoire selon son étymologie ? L'histoire au sens propre du terme est une enquête qui concerne des faits du passé et elle porte sur les évènements particuliers qu'ont vécu des

s’extérioriser afin de s’identifier à l’être souffrant face à lui. Après cette extériorisation il en vient à l’homme, et à lui seul, de juger l’intensité de souffrance que peut ressentir autrui en face de lui. Et c’est donc par ce qu’il montre de sa souffrance, par les apparences, que nous pouvons mesurer la peine d’autrui. Cependant, n’est-il pas un peu trop subjectif de juger la souffrance d’autrui sur des apparences? Car il est possible pour chacun d’entre nous de masquer sa souffrance, voir de l’accentuer

va pas du tout et alors je ne l’achète pas. Une question se pose alors : peut-on penser par soi-même ? Pour y répondre, il nous faudra examiner un problème : Est-on à la fois libre et influencé lorsque l’on pense ? Et répondre a cette question : Pourquoi pense-t-on ? S’il suffit, pour penser par soi même, d’être le seul à avoir un lien direct avec ce qu’il y a dans ma tête alors il est évident que je peux parfaitement penser seul. Mais cette pensée ne peut être que subjective et incomplète et il

au delà de tout ce qui est. Dans l’allégorie de la caverne, Platon met en garde contre les illusionnistes et les dangers de l’opinion. L’opinion est dangereuse car elle essaye de cacher son absence de fondement en s’imposant comme certitude. C’est pourquoi elle est si difficile à déloger, et l’homme qui se soustrait à l’opinion après avoir vu la lumière du jour ne parvient pas à convaincre les autres prisonniers de leur aveuglement. Le caractère moral est confirmé par le fait que cette recherche n’est

d’art. L’art est en générale reserver à une certaine classe sociale, la plus cultivé, souvent considerer la plus apte à comprendre une œuvre par son message que l’artiste souhaite transmettre. Dans cette hypothèse là pouvons-nous soutenir que notre culture, soit notre éducation, nos valeurs, nos connaissances, nos croyances influe directement sur notre gout pour une œuvre d’art ? Mais quand nous apprécions quelque chose ce n’est pas qu’avec notre intellect. Ainsi pouvons-nous soutenir qu’une œuvre

désignaient le bonheur comme le but de la vie humaine, c’est pourquoi ils étaient constamment à sa recherche. La connaissance pour Socrate, la satisfaction des désirs essentiels et naturels pour Epicure, la puissance de l’esprit pour Platon et Aristote : chacun a sa conception personnelle du bonheur. C’est dans cette lignée que Sextus Empiricus se place lorsqu’il s’interroge sur le lien entre jugement et bonheur. L’homme doit-il juger en bien ou en mal ? Pour Sextus Empiricus, afin de vivre sans

La culture Les différents du mot. - Les usages courants du mot culture. > La culture au sens d’agriculture. La culture de céréales ou du fourrage. Le travail de la terre en vue de lui faire produire des végétaux destinés à la consommation animale ou humaine. > La culture physique. Développement et entretien de capacités physiques (force, souplesse, vitesse, habileté, coordination…) par des exercices physiques, par la pratique d’un sport notamment. > Avoir de la culture. Avoir

est une chose mentale parce qu'elle doit satisfaire des proportions mathématiques. L'intellectualisation des critères esthétiques poursuit une beauté objective : « il appartient à l'esprit, c'est à dire à l'entendement de juger de la beauté parce que juger de la beauté c'est juger de l'ordre, de la proportion et de la justesse ». Cette remarque s'oppose à notre compréhension de la beauté qui pour nous relève de la sensibilité et non de la raison. Fondamentalement, si la beauté est la belle forme

La culture désigne à la fois l’action de transformer la nature et le résultat de cette action. On distingue la culture et les cultures. Un obstacle signifie une difficulté dans la réalisation de quelque chose et l’unité du genre humain signifie que les personnes humaines forment un tout. La question est de savoir si la diversité des cultures est-elle un obstacle à l’unité du genre humain ? Dans une première partie nous verrons que la diversité des cultures pose un problème à l’unité du genre humain