Pourquoi Punit On

avant pour finir de nous interroger sur ses limites potentielles. ~ Pour commencer, il nous faut voir ce qu’est le droit juste, et effectuer des distinctions préalables. Nous devrions pouvoir déterminer si le droit peut être juste, et si oui pourquoi il ne l’est pas, de fait, là où sévit la servitude. Lorsqu’on évoque la justice, on pense tout d’abord au respect du droit, des lois qui le composent. Rendre justice, c’est punir ceux qui outrepassent le droit. En tant qu’instance, la justice

dès à présent nous demander Pourquoi l’homme a décidé lui-même de mettre en place une discipline qui l’encadre ?Le droit réussit-il à satisfaire les attentes des hommes ? Nous étudierons d’abord le volet contraignant du droit : des obligations civiles à la punition infligée par le droit pénal, nous verrons que vivre en société nous soumet à de fortes contraintes et obligations à respecter .Ensuite, en liaison avec la problématique , nous nous demanderons pourquoi malgré ces obligations et répressions

Egyptiens appelaient leur pays : « la terre des dieux ». D’abord tout les clans avaient leurs propres dieux mais lorsque le pays a été unifié certaines divinités ont pris de l’importance sans que les autres dieux ne disparaissent pour autant, c’est pourquoi il y a beaucoup de dieux. Si certains dieux ont des visages humains, d’autres ont des têtes d’animaux qui montrent qu’autrefois, les animaux étaient sacrés. Souvent ces dieux prennent le caractère de l’animal qui le symbolise. Rê : En Egypte, le

chacune décidait de faire valoir ses droits en recourant à la désobéissance civile, on courrait alors le risque d’une dissolution de la communauté, d’une remise en cause d’un sens commun de la justice et d’un rejet de la règle majoritaire. C’est pourquoi la désobéissance civile doit-elle être utilisée en dernier recours et avec parcimonie, dans des situations qui restent exceptionnelles et ne peut devenir une pratique ordinaire. -----→VENGEANCE,JUSTICE,PARDON 1) Vengeance et justice : peut-on se

Le XXème siècle est celui de l’émancipation des femmes, mais avec une évolution lente, chaotique, et incomplète. La véritable rupture s’effectue dans les années 1960, où leur vie change réellement.1 / UNE MARCHE CHAOTIQUE VERS PLUS D’AUTONOMIE : Pourquoi l’émancipation reste limitée durant jusqu’à la fin des années 1950 ? A / La République favorise la naissance du féminisme, d’où des améliorations : - La République permet aux femmes de s’organiser : droit de réunion, de

votre fils[1] ? JOSABET Qui ? Lui, Madame ? ATHALIE Lui. JOSABET Je ne suis point sa mère. Voilà mon fils. ATHALIE Et vous, quel est donc votre père ? Jeune enfant, répondez. JOSABET Le ciel jusqu’aujourd’hui... ATHALIE Pourquoi vous pressez-vous de répondre pour lui ? C’est à lui de parler. JOSABET Dans un âge si tendre Quel éclaircissement en pouvez-vous attendre ? ATHALIE Cet âge est innocent. Son ingénuité N’altère point encor la simple vérité. Laissez-le

châtiment, si je puis ainsi parler, frappe l’âme plutôt que le corps » (G. de Mably, De la législation, Œuvres complètes, 1789). Pour s’approcher de cela, on a dû modifier l’objet de la punition. On punit toujours des actes mais aussi le « vice », « l’anomalie sociale » qui les permet. Derrière l’agression, on punit aussi l’agressivité en quelque sorte. Par le biais de « circonstances atténuantes » on fait entrer dans le verdict l’appréciation qu’on porte sur le criminel et ce que l’on peut attendre de lui

pénal, d'autre part dans la loi du 29 juillet 1881 sur la liberté de la presse et dans la loi relative à la communication audiovisuelle. La loi de 1881 avait déjà été modifié par la loi du 1er juillet 1972 relative à la lutte contre le racisme, qui punit entre autres l'injure raciste, la discrimination raciale effectuée par un agent dépositaire de l'autorité publique. Les victimes des délits inspirés de motifs racistes peuvent engager des poursuites pénales contre l’auteur de l’infraction, soit en

que chaque fois qu’il voit une jolie fille, c’est de son devoir de la séduire, et qu’il n’est rien de plus agréable que de séduire une femme et de venir à bout de sa résistance. Sganarelle essaye de le convaincre que ce n’est pas bien, que le Ciel punit les impies, mais Don Juan le fait taire. Don Juan lui révèle alors qu’il a suivit une jeune fille dans cette ville, et Sganarelle s’inquiète du fait que Don Juan y avait tué un Commandeur 6 mois auparavant. Don Juan lui parle de son amour pour la

de la législation, ces lois n'ont clairement pas lieu d'êtres. Les écrit de Portalis vont dans ce sens : "il ne faut point de loi inutiles; elles affaiblissent les lois nécessaires" ; "La loi permet ou elle défend, elle ordonne, elle établit, elle punit ou elle récompense". L'adoption de lois mémorielles s'inscrit dans une propension des pouvoirs législatif et réglementaire à l'intempérance normative et dans un phénomène d'inflation législative, qui contribue à la complexification du droit et à l'instabilité