Pourquoi Réécrire Un Mythe

comprendre comment, à la manière d’un palimpseste, Amélie Nothomb réécrit le récit mythique d’Orphée et Eurydice et de quelle manière le dédoublement permet à l’auteure de transformer la figure mythique d’Eurydice. MOTS-CLÉ Intertextualité, mythe, dédoublement, Eurydice, Amélie Nothomb. THE MYTHICAL DOUBLE: THE REPRESENTATION OF EURYDICE IN MERCURE AMÉLIE NOTHOMB’S NOVEL ABSTRACT Amélie Nothomb‘s Mercure presents a multitude of intertextual references mostly derived from mythical, religious

le rôle du journaliste de faire des appréciations). Tout doit être juste. Toutes les informations annoncées par le titre doivent être développée sinon on brise le contrat de lecture. Le communiqué doit répondre aux questions suivantes : qui, quoi, pourquoi, comment, quand et où. 3. Le style : le style est journalistique et la langue est compréhensible dans le discours des médias de masse communication de masse. Il faut avoir conscience de la presse à laquelle on s’adresse. La plus proche possible

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 112 Le pastiche et la parodie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 114 La réécriture d’un mythe  . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 116 Les réécritures de Flaubert par lui-même . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

fonctionnel, sans fixation à une époque déterminée. Outre un caractère provocateur, la présence de ces «anachronismes» serviraient - et servirent à créer une certaine complicité avec le spectateur d’aujourd’hui et à montrer par cette modernisation du mythe que les héros mythiques sont de tous les temps. L’inspiration mythologique est une donnée fondamentale du théâtre français de la première moitié du XXe siècle (1927 Cocteau, «Orphée», 1932 Gide, «Oedipe», 1934 Cocteau, «La Machine infernale», 1935

l'enfant qu'à ses parents, à l'élève qu'à celui qui l'élève : dans la mesure où il montre le cheminement de l'enfance sous son jour le plus problématique, il peut bien être présenté comme une "histoire de la condition humaine avant toute Histoire". §3. Pourquoi si peu de films sont, comme celui-ci, de nature à conduire un esprit non formé au questionnement philosophique ? C'est qu'il leur faut réunir pour cela au moins deux conditions, rarement atteintes dans la production courante (et j'ajouterais, à l'intention

fonctionnel, sans fixation à une époque déterminée. Outre un caractère provocateur, la présence de ces «anachronismes» serviraient - et servirent à créer une certaine complicité avec le spectateur d’aujourd’hui et à montrer par cette modernisation du mythe que les héros mythiques sont de tous les temps. L’inspiration mythologique est une donnée fondamentale du théâtre français de la première moitié du XXe siècle (1927 Cocteau, «Orphée», 1932 Gide, «Oedipe», 1934 Cocteau, «La Machine infernale», 1935

quand ? comment ? De quoi s’agit-il ? qui voit ? qui parle ? à qui ? où ? quand ? comment ? Quel usage des règles de la versification, de la prosodie observezvous ? Y a-t-il des didascalies ? qui entre en scène le premier (et pourquoi) ? qui parle le plus (et pourquoi) ? y a-t-il des personnages muets ? Quelle est leur utilité ? II. Élaboration du plan Votre commentaire doit s’articuler autour de deux ou trois axes qui correspondent à une problématique qui sera indiquée très clairement dans

prolétaires. Ils savent qu’ils seront condamnés, et que tôt ou tard ils devront payer le prix de tous ces crimes envers le parti. Ils rêvent cependant d’un soulèvement, d’une résistance ; ils croient au mythe d’une Fraternité qui existerait quelque part et unirait les gens comme eux contre le Parti. C’est pourquoi ils finissent par aller à la rencontre d’O’Brien, personnage intelligent et charismatique, membre du Parti intérieur dont Winston a l’intime conviction qu’il est un partisan de la Fraternité. O’Brien

savoir si le droit est une science. MAIS le droit est surtout une idéologie du juste et de l’injuste. C’est-à-dire que le droit porte un jugement de valeur. A l’inverse, la science pose des hypothèses et les vérifie. La science a un côté descriptif. Pourquoi cette différence entre D et S ? Il y a un côté dogmatique qui apparait dans le droit et non dans la science. Un courant de pensée apparait : le positivisme (exemple : Kelsen) = défendre un droit scientifique. Les positivistes considèrent que le

occupent une place centrale. A la « dictature des couilles », pour reprendre l’expression chère à l’auteure, répond une « guérilla féministe » qui n’hésite pas à réécrire l’histoire et les livres saints. Ainsi, au mythe biblique d’Adam et Eve, l’auteure franco-camerounaise substitue-t-elle, dans C’est le soleil qui m’a brûlée, un ancien mythe cosmogonique Eton qui place en son centre la femme, étoile déchue, descendue du ciel sur terre et maintenue captive par l’homme qu’elle était venue secourir