Pourquoi Sommes Nous Moraux

pas là sa vocation. C'est un outil qui, en soi, n'est ni bon ni mauvais, qui n'exige à priori aucune morale ou éthique. Ce sont les applications techniques qu'elle engendre qui détermine son caractère « bien » ou « mal ». Ainsi, si l'on prend pour exemple la physique nucléaire, on distingue la dualité de cette discipline : d'une part elle nous permet de comprendre pourquoi le soleil brille, pourquoi il nous dispense chaleur et énergie, sources de toutes vies sur Terre, mais d'autre part c'est aussi

pas suffisant et joué sur les mots. - « Aider » ? Tenir la main de quelqu'un n'est pas suffisant pour le soigner, on est gentil, mais l'on ne soigne pas complètement. - « Prendre en charge » ? Il y a ici une histoire de poids, une responsabilité morale devant quelqu'un d'à priori vulnérable. Définition de Suzanne Rameix (philosophe de la médecine) : « soigner c'est l'ensemble de tous les actes qui rendent compte de la volonté de prendre en charge une personne malade ». Avoir un diplôme n'est

Le principe responsabilité de Hans Jonas et la responsabilité socialeUNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL LE PRINCIPE RESPONSABILITÉ DE HANS JONAS ET LA RESPONSABILITÉ SOCIALE MÉMOIRE PRÉSENTÉ COMME EXIGENCE PARTlELLE DE LA MAÎTRlSE EN PHILOSOPHIE PAR FANCHON SOPHIE BÉRUBÉ FÉVRIER 2007 UNIVERSITÉ DU QUÉBEC À MONTRÉAL Service des bibliothèques Avertissement La diffusion de ce mémoire se fait dans le respect des droits de son auteur, qui a signé le formulaire Autorisation de reproduire

un homme qu'aucune femme n'a réussi à séduire vraiment, donc elle fait souffrir les autres pour sa seule satisfaction personnelle. Egalement, dans Le Triomphe de l'Amour, Léonide cause bien des souffrances chez les personnages, même chez Agis. Et pourquoi ? Tout simplement, pour arriver à ses fins, parce qu'elle l'aime ou dit l'aimer ; donc pour accéder au bonheur, à son propre bonheur, qu'il soit sincèrement partagé ou non d'ailleurs, car si Agis ne s'était pas épris d'elle, Léonide l'aurait fait

humains. Cette différence entre das Ding an sich et das Ding für mich est le point essentiel de la philosophie de Kant. → Kant distingue la « chose en soi » et la « chose pour moi ». Sans pouvoir nous avancer sur le terrain de la « chose en soi », nous sommes néanmoins en mesure de dire à la suite de chaque expérience comment nous concevons le monde. Imaginer un chat couché dans le salon. Une balle se met à rouler à travers la pièce. Le chat va courir après la balle. Imaginer maintenant un humain dans

est-elle souveraine ? I. L’homme est conscience 1- Pourquoi l’homme se définit-il par la conscience ? a. La conscience est une donnée immédiate de la vie : une intuition. b. De la fusion à la séparation. c. La conscience de soi. 2- Pourquoi le Cogito est-il le signe même de mon humanité ? a. L’évidence du « je pense ». b. L’essence de l’homme , c’est la conscience. c. Le « je pense » espère un je suis libre. II. III. La conscience morale Les limites de la conscience 1- La conscience est-elle

transfère sa dette aux dieux mêmes et il leur demande dans sa prière de reconnaître à sa place notre bienfait : en attendant nous trouvons du charme au sentiment d'avoir fait un peu de bien dont nous ne recueillerons pas le fruit. Et lorsque nous sommes arrivés au terme de la vie, que nous réglons nos dispositions testamentaires, n'est-il pas vrai que nous répartissons des bienfaits dont il ne nous reviendra aucun profit ? Combien d'heures l'on y passe ! Que de temps on discute, seul avec soi-même

Est-ce que c’est nécessaire d’avoir des devoirs moraux envers ses semblables ?Le fait d’avoir des devoirs moraux envers ses semblables est nécessaire voire, obligatoire pour une vie en communauté, en société. Des devoirs moraux envers ses semblables viennent naturellement pour protéger les autres, mais surtout soi-même. Par exemple, nous ne voudrions pas que quelqu’un ne nous tue ni tue nos enfants ou un être cher. Dans ce cas, nous dirons que tuer c’est mal, nous ne devons pas tuer si nous n’avons

vers une destination qui, pour être inconnue, n’en demeure pas moins celle de la perdition. Tiraillée comme elle est, entre l’irresponsabilité et la peur, il lui manque une direction morale. N’allons donc pas plus en avant, même si le monde autour de nous, s’obstine. Ayons l’honnêteté de reconnaître que nous nous sommes trompés, même s’il en coûte à notre orgueil. Ne persévérons pas, faisons demi-tour comme le fils prodigue de la parabole (Luc 15, verset 18) : c’est ce qui s’appelle « se convertir »

 La vérité peut se définir comme étant l'image exacte que nous avons de la réalité. Cela signifie que nous sommes dans le vrai quand ce que nous disons est une image fidèle de la réalité, et que nous sommes dans l'erreur quand il n'y a rien dans la réalité qui corresponde à nos idées. Deux types de vérité existent : l'une est établit par la raison et l'autre par le cœur. Ces deux vérités sussitent de nombreux débats entre les religieux et les scientifiques. Faut-il opposer la religion à la raison