Pourquoi Sommes Nous Moraux

XVIIIe siècle et créateur de la phénoménologie, affirme que « Le fou est un dormeur éveillé ». Burdach un physiologiste allemand de la moitié du XIXe siècle, explique quand à lui que « Le rêve est l'activité spontanée de l'âme sans aucune morale ». Mais alors pourquoi parler de conscience et d'inconscience ? Et que veulent dire ces citations ? C'est ce que nous allons tenter d'expliquer. LA CONSCIENCE René Descartes, philosophe français du XVIIe siècle expose son premier principe qu'il prononce

Dissertation : « L’homme est à inventer chaque jour » Sartre. Somme-nous libres ? C’est la question que tout le monde s’est déjà posée au moins une fois dans sa vie. Comment définir la liberté ? Peut-on dire que l’homme est libre ? Pourquoi oui ? Pourquoi non ? Qu’est-ce qui est à l’origine des limites de notre liberté ? L’homme libre peut-il vivre sans les contraintes sociales? La liberté de l’homme a souvent été et est encore un enjeu important dans notre société. De tous temps, des personnes

MAACHOU 13/01/2012 Elisa 734 Etude du texte de PASCAL Seul le présent nous est donné à vivre. Déjà Saint Augustin le soulignait fortement dans ses Confessions. Pourquoi sommes-nous alors le plus souvent occupés par ce qui a été ou pourra être au lieu de nous investir dans le présent ? Cette question, Blaise Pascal se l'était déjà posée au XVIIe siècle. Dans un extrait de ses Pensées relatif à notre rapport au temps,  il affirme que l'homme passe à côté du présent, et ainsi du bonheur, à force

c’est-à-dire à la vie dans laquelle nous sommes ancrés. La mort n’est pas un objet de réflexion puisqu’elle revêt un caractère absurde. Les hommes veulent naturellement chercher un sens à la mort mais ils sont confrontés à son non-sens. Ainsi la mort nous surprend à n’importe quel moment de la vie. En cherchant un sens à la mort nous pourrions d’abord penser que la vie n’a de sens que parce que nous disposons d’un temps fini. C’est pourquoi la mort d’un vieillard chargé d’années peut

être soi-même ? On ne peut se soustraire à notre propre conscience, quand bien même essaierait-on de devenir un autre ; car celle ci fait partie de notre être. L'expression « être soi-même » peut nous apparaître comme un pléonasme : en effet, qui sommes-nous, sinon nous-même ? Pourtant, il nous arrive de dire « j'étais hors de moi », ou « je n'étais plus moi ». Ces tournures révèlent que l'évidence de ma propre identité était comme suspendue. Mais dans le fond, même si je dis « ne pas être moi

INTRODUCTION Faut-il : a) est-ce nécessaire ? Nécessité vitale ? Sociale ? b) devoir moral Raison : a) pratique : faculté d’agir ; faculté de faire le bien, d’agir en prenant en compte l’intérêt d’autrui ; faculté e mesurer nos instincts, désirs, etc. ; b) faculté théorique, de connaissance, de calcul, de démonstration Confiance : se reposer sur ; croire en son bien-fondé, croire qu’elle est toute puissante ; de l’ordre de la foi, de la croyance, sentiment I- LA RAISON, UNE NÉCESSITÉ, AFIN DE

question constitue-t-elle une réelle connaissance de soi? Cette image que j’ai de moi est-elle vraie ou est-ce celle que les autres me renvoie? Apprendre a ce connaître c’est chercher une identité. Voilà pourquoi on peut évoquer ce qu’on est mais aussi ce dont on a conscience d’être. Voilà pourquoi la certitude de notre existence nous est donné par la conscience, celle-ci est en fait le miroir de la pensée, le fait de penser soi-même reviens a se contempler intérieurement en se mettant a distance de

répondre à la question « Que dois-je faire ? » Prolongeons notre réflexion dans un contexte d’incertitude donné quand je ne sais pas quoi faire, lequel des systèmes normatifs choisir pour orienter notre action ? Mais lequel choisir ? Et bien nous sommes LIBRES de choisir le système que l’on veut mais il faut en assumer la sanction. Mais réellement notre liberté est limitée par une hiérarchisation des systèmes normatifs qui existent avant notre choix. Ex : trader : 1. Economie : soumis aux lois

C'est l'unité des valeurs humaines qui est en jeu ici, unité menacée par le relativisme moral (l'expression est importante). Il est vrai que d'un continent à l'autre, d'un pays à l'autre, pourquoi pas, même, d'une maison à l'autre, les principes moraux peuvent diverger. Les causes sont effectivement culturelles. Mais ne devons-nous pas postuler l'existence de valeurs qui dépassent ces différences ? Si la manière dont on punit le vol ou l'assassinat dans telle culture diverge des habitudes d'une autre

de liberté a été l’un des moteurs de l’histoire. Comment peut-on définir la liberté ? On pourrait définir la liberté par l’absence de contrainte et de servitude, ce serait donc la possibilité d’agir sans qu’un quelconque obstacle, la société, la morale, le travail, autrui, se mette sur notre chemin. De plus, il n’existe pas une liberté mais une multitude comme la liberté de pensée, la liberté de culte, la liberté commerciale, la liberté d’expression… La liberté est donc l’un des piliers de notre