Pouvoir Discrétionnaire

rationnelle (KANT : conflit de la raison avec elle-même) ; contrairement à la concurrence, le conflit suppose divergence de but entre les protagonistes. Possible : Faisable, réalisable; le possible, c'est ce qu'on peut faire, ce que l'on a le pouvoir, la puissance de faire. Souhaitable : Qui peut être désiré, voulu, recherché. Une société sans violence est désirable. Mais, ce sont les inégalités de ressources et de jouissance qui engendrent la violence. Faudrait-il alors concevoir une société

DF4 Notion de politique Notion de politique : on y associe un comportement humain individuel ou collectif => pouvoir. Les anglos saxons utilisent trois mots pour la notion de politique : politie = sphère politique => il y a une frontière entre espace/ sphère privée et publique, entre le monde politique et le monde civil. Politics = activité politique => désigne l'activité politique en général, les différentes actions. C'est ce qu'on appelle plus communément la vie politique. Policies

modérée que par le passé. Si, de ce fait, la possession du pouvoir a, en théorie et en pratique, subi de nombreuses mutations. Par là même, c’est l’exercice, et donc l’incarnation, du pouvoir qui a subi changé en profondeur. Dans l’optique politique, c’est donc logiquement la représentation d’un pouvoir qui apparaît si mouvant et instable qui concentre notre intérêt. En effet, la représentation ou autoreprésentation de la part du pouvoir en place, dont le but consiste à asseoir une autorité, une

s'exercent sur nous pouvaient quelque chose contre notre volonté, contre nos décisions. Ainsi, je ne suis pas fatigué au point de ne plus avancer, je me déclare fatigué, je donne à ma fatigue une valeur telle que je ne puis que la subir. J'ai accordé un pouvoir à la fatigue, j'ai décidé de la valeur de la fatigue, en fait, j'ai décidé de la subir. Pourtant il ne tenait qu'à moi de poursuivre ma route et de faire de ma fatigue un tremplin pour un exploit! - quels sont ses procédés d'argumentation (différentes

pas savoir ce que l'on fait ? L'homme à t-il conscience de ses actes ? nous pouvons nous questionné sur le faite que nous ayons ou non conscience de ce que nous fesons , mais pour pouvoir répondre à cette question nous verrons que dans le sujet "peut on ne pas savoir ce que l'on fait" nous retrouvons les termes : pouvoir et conscience des actes . Alors dans un premier temps nous parlerons du faite qu'il est tout à fais possible que nous n'ayons pas conscience de nos actes , en deuxième nous parlerons

Définition du pouvoir : Le pouvoir c’est d’abord une relation. Une relation de pouvoir n’est pas forcément politique. Dans une relation de pvr il y a 4 éléments, la volonté de celui qui émet des ordres ou interdictions ; L’obéissance de celui à qui l’ordre va être adressé ; La désobéissance possible ; La punition. Ces 4 relations donnent lieu à différents modes spécifique du pvr. Le 1 er mode est celui de la puissance Cette puissance peu utiliser la violence, la volonté est liée à l’utilité possible

collective suscite des réactions bilatérales d’où la nécessité de l’étudier. 1- Problème de cohésion Le groupe est synonyme de rapport de force et de conflits avec risque de désintégration ou de division. La force de du groupe réside dans le pouvoir de maintenir la nous notion « nous, l’être ensemble » qui est difficile à réaliser et à sauvegarder. a/ les mobiles d’appartenance à un groupe : Besoin d’affiliation Besoin d’échapper à la solitude Besoin d’identification L’attrait d’un but

comme vous le faites. Nous les chérissons et les protégeons ce qui montre la puissance de notre cœur. Et notre intelligence comme vous le dites font de nous des êtres supérieurs par nos sens de la valeur des choses et biens. Puis ne dites pas que le pouvoir ne vous intéresse pas sinon vous ne seriez pas roi. Vous utilisez votre savoir pour des choses futiles, créant des besoins fictifs que vous n'arrivez jamais à assouvir. Vous gâtez vos enfants et leur apprenaient à accentuer cette consommation excessive

novateur. Dès les premières lignes du texte, on voit que l'auteur insiste sur le fait que le roi est seul face au peuple nombreux. Le pouvoir tyrannique est remis en question, l'auteur annonce que celui ci ne dure que parce que le peuple « veut bien l'endurer », il n'accepte pas ce pouvoir fort qui « soumet » le peuple, qui se « laisse opprimer » par le roi. Le pouvoir fort est donc inacceptable selon La Boétie, le peuple est « fasciné, pour ainsi dire ensorcelé » par un tyran qui se montre « inhumain

INTRODUCTION : Dans le fin des années médiévales, nous pouvons constater un dynamisme nouveau au niveau des sociétés et cultures urbaines associé à une puissance omniprésente de l’Église chrétienne. En effet, du XIème aux XIIIème siècle, sous le pouvoir de l’Église, l'Europe voit ses villes se développer et s’agrandir considérablement. C'est le cas de Toulouse, ville située dans le sud de la France et qui abrite Saint-Sernin, la plus vaste basilique romane de la chrétienté. Nous pouvons donc nous