Pouvoir Obéir En Liberté

fait centre de tout. Etat de celui qui subit - passivité -Conception classique : condamnation -Dès Platon, les passions apparaissent nocives: elles mènent à la démesure («l'ubris») sinon à la folie, obligent la raison à se pervertir pour leur obéir, et condamnent l'être humain qui en est la victime à un monde illusoire. Eloignant de toute vérité, elles ne sauraient révéler la vérité de l'homme lui-même. Dans l'Antiquité, comme chez les stoïciens pour qui passion est synonyme de déraison, les

d’Etat est l’état de Nature hypothétique, on peut imaginer comme Rousseau que les hommes y jouissent d’une liberté « totale » qui n’a pour bornes que les force de chacun. Qui dit Etat, dit forcément règles communes,donc limitation de la liberté de chacun pour bénéficier de la protection de la force commune. L’Etat étant un lieu de pouvoir on peut aussi craindre des abus à la mesure de ce pouvoir transcendant, alors qu’à l’Etat de nature, même si certains sont plus forts que d’autres, personne n’incarne

sont une exigence absolue de la liberté. On parle alors d'impératif catégorique. Quand "Tu ne tueras pas" est justifié par "si tu ne veux pas aller en prison", il s'agit d'un simple précepte de prudence, donc d'un impératif hypothétique. Si par contre il se justifie par le respect inconditionnel de la vie d'autrui, il ne dépend alors d'aucun "si", c'est un impératif catégorique. Quand la conduite est simplement justifiée par la prudence, il ne s'agit pas de liberté, on n'est pas alors dans l'ordre

puissante qu'elle s'installe à demeure et se fait centre de tout. Etat de celui qui subit - passivité Dès le temps Platon, les passions apparaissent nocives: elles mènent à la démesure sinon à la folie, obligent la raison à se pervertir pour leur obéir, et condamnent l'être humain qui en est la victime à un monde illusoire. Dans l'Antiquité, comme chez les stoïciens pour qui passion est synonyme de déraison, les désirs sont considérés comme des passions qui viennent du corps et que le sage doit

| | |I ) La liberté extérieure. Sommes-nous aussi privés de liberté qu’on le dit ? | | | |    A ) En quoi notre liberté est-elle limitée ? | |

Quels pouvoirs la liberté donne t-elle? De facon générale, la liberté est un concept qui désigne la possibilité d'action ou de mouvement sans contrainte. Par exemple un esclave na pas la capacité d'etre libre comme un autre individu car il en est empéché par une force exterieur. La liberté peut prendre plusieurs formes, liberté physique, liberté morale, liberté politique... De nombreux auteurs se sont penchés sur la question de liberté comme Isaiah Berlin par exemple qui voit le sens de la liberté

l’indépendance et la liberté. Ces deux choses sont si différentes que même elles s’excluent mutuellement. Quand chacun fait ce qu’il lui plaît, on fait sou-vent ce qui déplaît à d’autres, et cela ne s’appelle pas un État libre. La liberté consiste moins à faire sa volonté qu’à n’être pas soumis à celle d’autrui, elle consiste encore à ne pas soumettre la volonté d’autrui à la nôtre. Quiconque est maître ne peut être libre, et régner c’est obéir. Il n’y a donc point de liberté sans lois, ni où quelqu’un

Droit du plus fort" Rousseau donne une définition négative de la liberté. Complétez cette définition : La liberté consiste à ne pas ... ne pas ... Comment comprenez-vous cette affirmation paradoxale "régner, c'est obéir" ? Quel est le rôle d'un gouvernant ? En quel sens peut-on dire qu'il est au service de ses sujets ? Quand parle-ton d'abus de pouvoir ? Qu'est-ce que cela indique quant à l'exercice légitime du pouvoir? Peut-on affirmer à la fois que l'homme est libre et qu'il est

..................................... La liberté de se servir de son propre entendement.............................................................. La liberté, la démocratie et la république............................................................................... La liberté et le droit................................................................................................................. La liberté et l'égalité.....................................

règles, des limitations de vitesse, ce qui va à l’encontre de ma liberté de conduire comme je le désir, de rouler rapidement par exemple. Mais la réalité semble plus complexe. En effet, la liberté se définit comme l’absence de contrainte, nous sommes libres lorsque nous décidons par nous-même. Alors que la loi, elle, est perçue comme une règle assurant l’ordre publique, elle représente une contrainte subie qui limite notre liberté, qu’elle prenne la forme de la loi politique ou celle de la loi de