Pouvoir Politique Firmes Multinationales

progressé de 5%/an de 1946 à 1980. Ouverture des économies et interdépendances des économies entre elles. La concurrence est stimulée. La notion de contrainte extérieure apparaît. Le début des années 80 est la fin de l’autonomie des politiques économiques Echec de la politique de relance de 1981 B) Création d’un marché mondial de capitaux Au début des années 60, avec le développement et l’arrivée des euros-dollars (argent américain placés dans des banques non-US et notamment européennes), un marché

différentes formes que revêt l’internationalisation des entreprises. I – LES RAISONS DE L’INTERNATIONALISATION. La dernière phase du processus de croissance des entreprises est l’ouverture internationale, ou internationalisation. De plus en plus de firmes se lancent actuellement dans cette voie du fait de l’accentuation de la concurrence et la saturation des marchés traditionnels mais aussi grâce à la baisse des coûts de transport et à l’ouverture des frontières. Les entreprises qui s’internationalisent

horizontales, de manière à renforcer la structure oligopolistique des marchés américains. A partir des années 80, c’est au tour de l’Europe d’opter pour ce type de stratégie du fait d’une mondialisation accélérée des économies, de la mise en place des politiques de déréglementation financière et de la révolution technologique impulsée par les T.I.C. (Technologie de l’Information et de la Communication). Ces diverses raisons ont déclenché une restructuration des entreprises indispensable à leur survie.

pays .   flux de marchandises ( carte 1 page 18 ) : triade ; europe occidentale , etats-unis et asie .les pays du nord représentent les trois quarts du commerce mondial (pourquoi?: fabriquent produits complexes , les exportent et sont les seuls à pouvoir se les acheter) .L’europe : 40.9% du commerçe mondial (mais chiffre trompeur car bcp d’échanges « intra-muros » , si l’UE était un état le chiffre baisserait considérablement) .Les pays riches sont obligés de commercer entre eux car ils sont spécialisés

que les biens immatériels font l’objet de plus en plus souvent de transactions financières. Les plus connues sont les contrats de franchise qui permettent à un franchiseur de « louer » son nom à un franchisé, ce dernier paiera des royalties pour pouvoir afficher la marque prestigieuse sur son magasin (Lacoste, Mac Donald, …). Les droits d’auteur touchés par Joanna K. Rowling (créatrice de Harry Potter) sont gérés par plusieurs avocats qui « vendent » des autorisations d’utiliser les noms des

développement. L'IDE était considéré comme un facteur de dominance, et les firmes multinationales était soupçonnées de réduire le bien être social par la manipulation des transferts des prix et la formation d'enclaves économiques. Aujourd’hui, on assiste à un changement radical de l'attitude des PVD vis-à-vis de l'investissement direct étranger. Le comportement de suspicion était désormais remplacé par une politique de promotion visant à drainer des flux substantiels d'IDE. Ce changement

l’économie mondiale ..................................................................................32 II.1 : Les firmes transnationales. ........................................................................................32 II.1.1 : La place des firmes transnationales (FTN). ...........................................................32 II.1.2 : Les catégories des firmes. ......................................................................................33 II.1.3 : Les modes et les raisons

que les autres restent dépendants. 3. Toyota, créé en 1933, est une entreprise japonaise d'automobile implantée partout dans le monde. Elle est le numéro un mondial dans son secteur et elle est ce qu'on appelle une "FMN", c'est à dire Firme Multinationale. Le siège de l'entreprise se situe toujours au Japon, sa base nationale stratégique où elle enregistre 65% de sa production et de ses ventes totales. Avec la mondialisation, Toyota a dû s'implanter partout dans le monde et cela pour plusieurs

et les pays pauvres, bien au contraire ! De ce fait l’échange mondial représente un frein au développement de certains pays. Cet espace productif devient mondial grâce à la mobilité des facteurs de production, au développement des groupes multinationaux et grâce à l’essor des nouvelles technologies d’information et de communication. Cette mondialisation de la production renforce les échanges de capitaux et rend nécessaire leur décloisonnement, leur déréglementation et leur libre circulation pour

peu plus d’un siècle. Depuis peu, on assiste à un recoupement entre ces deux champs d’analyse. Ainsi, on assiste à la création du terme « Gestion responsable des ressources humaines » pour décrire comment les pratiques RSE peuvent influencer les politiques RH de l’entreprise. Cet impact de la RSE dans la GRH opère à travers 4 catégories : - La question de respect des droits humaine au travail - Les mesures visant à améliorer la qualité de vu travail - Les pratiques en direction des salariés