Pouvoir Temporel Pouvoir Spirituel

reconstituer et permettre de saisir ce qui était possible de faire à une période donné eu égard aux techniques dont disposaient les hommes. L’histoire fonctionne comme un miroir qui renvoie à l’intellect l’image du temps et de l’espace. Et pour pouvoir montrer ce qui est voulu mettre en relief il faut porter le scaphandre d’objectivités afin de ne pas faire mentir l’histoire. La tache est difficile car l’histoire lit dans un milieu ambiant donc il est immergé dans un milieu ambiant. Celui qui raconte

temps anciens, la possession du bronze et du fer était synonyme de pouvoir, notamment au moyen des armes et des richesses comme l’or ou l’argent. Nous avons ainsi retrouvé dans les tombeaux des Pharaons, au moins pour ceux qui n’avaient pas été totalement pillés, parmi les objets courants et la nourriture qui étaient destinés à les accompagner dans l’au delà, des bijoux, parures et ornements ainsi que des armes ou symboles de leur pouvoir. Mais l’histoire nous montre que l’homme passe sur la Terre ; il

mourir avant de renaître Chevalier. 2 Sa recherche vers la Justice et la pureté intérieure, vont lui permettre d’acquérir plus de connaissance et son amour pour les autres grandira. Il va lui falloir dépasser la chevalerie temporelle pour parvenir à la chevalerie spirituelle. Comment cet idéal de chevalerie millénaire nous est-il parvenu ? L’aventure chevaleresque nous a été racontée au travers de différents romans. Quelques survols brefs serviront d’exemples à la transmission de cet idéal.

sous l’emprise du pouvoir. Colonie célèbre = Rome, qui introduira la notion de cité dans tout le monde occidental. Chez les grecs : Cité= organisation politique : épanouissement politique au 5 eme siècle. Eléments essentiels qui forgent la cité : * Cadre territorial restreint * Une communauté de citoyens ‘exclusion des esclaves et des étrangers : pas citoyen au sens grec) * Une constitution qui règle l’activité des citoyens et jeu des organes politiques Pouvoir conçu comme une fonction

consacrant ainsi une relative souveraineté de l’Eglise de France par rapport au siège pontifical. Mais c’est aussi parce que ce dernier connait en ses branches, une importante place concédée au domaine politique, où autrement dit le temporel prévaut sur le spirituel, qu’il est à se demander si cette pensée n’a pas été à l’origine de la séparation de L’Etat de l’Eglise. Afin de comprendre ce que cette idéologie peut bien signifier, il faudrait tout d’abord en étudier les origines et les fondements

France ». De fait, L’arrêt du parlement de Paris en date du 6 août 1762 déclare la « société se disant de Jésus » comme « institut inadmissible par sa nature dans tout État policé, comme contraire au droit naturel, attentatoire à toute autorité spirituelle et temporelle ». Le président Hénault (1685-1770) pose dans ses mémoires sa réflexion sur la suppression de l’ordre. La publication de ses mémoires (1855) nous est rapportée par une note de l’archiviste et bibliothécaire Louis Lacour intitulée « Mémoires

établi dans un Ribat. Le Ribat peut être assimilé à un couvent dont les ‘moines’ dédiaient leur existence à la propagation de l’Islam, au besoin par les armes et, quand les circonstances s’y prêtaient, s’emparaient du pouvoir politique (en Islam pouvoir spirituel et pouvoir temporel sont inséparables). Les deux mouvements à l’origine des deux Empires qui dominèrent l’Afrique du Nord et l’Espagne (du XIème au XIII ème siècle) sont partis de deux Ribats, le premier au Sahara, l’autre dans le Haut

seigneur Galon, homme d’une vie sans tache, instruit… dans la doctrine ecclésiastique » Depuis réforme grégorienne, emprise laïque sur le clergé féodal fait place aux investitures spirituelle (crosse et anneau) et temporelle (serment fidélité au roi). Evêque à élire est désigné au préalable par le pape, dont la primauté spirituelle est affirmée avec Dictatus papae de Grégoire VII (1075). Choix porté sur des clercs instruits et fidèles à Rome avant tout. 2- Le peuple associé à l’élection par les clercs

l’intérêt du candidat à posséder des terres ou autres revenus (le temporel) qui sont attachés à la charge d’évêque (le spirituel). Enfin, le pape doit être désigné désormais non plus par un empereur ou un roi mais élu par des cardinaux. L’Église souhaite contrôler la désignation des évêques et des abbés. Une longue lutte oppose alors la papauté aux souverains laïcs. Cette affirmation du pouvoir de l’Église de Rome a des conséquences. B. Le pouvoir du pape Le pape se considère comme chef de la société chrétienne

er au pouvoir. Les chiites seront massacrés par les sunnites (70 morts). Le deuil public devient alors tradition chez les chiites. Ils préfèrent nommer leur propre chef religieux : l’imam qui interprète le coran et promulgue les lois. Mais les partisans d’Ismaël, notamment le 7e iman se séparent du parti dominant d’Ali et donne naissance aux ismaéliens. En 969 il crée la dynastie des fatimides et fonde la ville du Caire : c‘est la 1 ère fois depuis Ali qu’un clan chiite est au pouvoir. On a souvent