Pouvoirs Et Pouvoir Dans L Empire Byzantin

des États latins avec la prise d’Acre en 1291. Chrétienté contre islam en Orient et en Occident après le VIIe siècle. La grande victoire byzantine sur les Arabes, lors du second siège de Constantinople, en 718, n’aura pas les mêmes conséquences que la bataille de Poitiers : en Orient, une « coexistence armée » s’instaure entre l’empire byzantin et l’empire musulman. En Occident, les musulmans, avec lesquels il y a peu de relations, sont repoussés comme « infidèles » ou « païens » qui

romain : Milieu du IIIe siècle après JC. Le droit romain est le fruit d’une longue évolution : - l’ancien droit - droit classique - droit du bas empire 1) L’ancien droit La période de l’ancien droit est une période de monarchie république de la moitié du IIe siècle avant JC à la période où Rome devient un empire. L’ancien droit romain est un droit religieux. Ces préceptes, qui règlent la vie des hommes, sont sacrés. Le fas domine le jus. C’est un droit primitif et coutumier

atteindre 200 m de hauteur. La fondation du Maroc, pays se considérant arabo-berbère, africain et musulman, se fait avec les Idrissides qui allièrent à leur cause diverses tribus contrôlant des petits royaumes ou territoires indépendants de tout pouvoir central. Au fur et à mesure des alliances, les Idrissides vont étendre leur influence territoriale avec des populations autochtones et lancer les bases de l'organisation d'un État constitué (Makhzen) reprises par les dynasties suivantes. Si les Idrissides

devenue entièrement romaine. VIII. Le début du christianisme. Le christianisme est né au Ier siècle en Palestine. C’est une religion qui s’appuie sur l’enseignement de Jésus-Christ. IX. L’apogée de l’Empire romain. Rome a étendu son empire sur tout le tour de la Méditerranée. Dans les religions conquises, les Romains ont rependu leur civilisation : leur langue latine, leurs monuments… Au IIe siècle ap. J.-C., l’Empire romain connaît sa période de grandeur (sans apogée). X. La

développements législatifs utilisés par les États romain et byzantin jusqu'à l'adoption du grec comme langue officielle au VIIe siècle. À ce titre, le développement du droit romain couvre presque un millénaire depuis la loi des Douze Tables autour de 450 av. J.-C. jusqu'au Corpus iuris ciuilis de l'empereur Justinien vers 530. La législation romaine, préservée par le code de Justinien, devient la base des procédures juridiques de l'Empire byzantin, et plus tard aussi bien en Europe continentale qu'en

barbares. La thèse c’est que Dieu n’a pas su protéger Rome. Cette thèse fut défendue par Augustin, canonisé en Saint Augustin. Il a écrit un ouvrage très important : la « Cité de Dieu ». Dans cet ouvrage, Augustin pose la question essentielle du pouvoir. Il dit que le gouvernement de la « Cité des Hommes » doit être exercé dans leur intérêt propre mais pour assurer l’ordre, la paix, la sécurité, la justice en d’autres termes les missions qui doivent être assurés. Saint Augustin pose la question suivante

formée. Lors de la séparation de l'empire romain en deux parties, le christianisme était la religion d’état pour les deux empires. Mais l'empire romain d'orient apporta quelques différences au christianisme catholique. «Structure de l'état romaine, culture grecque et religion chrétienne ce sont les sources culturelles principales du développement de l'empire byzantin». Pour comprendre cette affirmation, il faut se mettre dans le contexte de l'époque, L'empire romain d'orient est très vaste

dans la seconde hypothèse, il a le rôle de représentant de Dieu sur terre, c'est à dire de chef des croyants. C'est ici que ce fait la nuance : Le religion royale pourrait être vue avant tout comme la religion des dirigeants, celle qui assoit leur pouvoir et leur donne légitimité, par la grâce de Dieu. En France, le rapport entre la religion et la royauté est très ancien. Dès 751, Pépin Le Bref se fait sacrer à Soissons par une assemblée d'évêques, principalement pour assurer sa légitimité grâce

effet, la distance entraine la lenteur des ordres, c’est le 1er ennemi des vastes empires. On coupe donc l’empire romain en deux pour permettre de rapprocher les centres de pvrs des provinces. Une partie orientale et un occidentale : deux empereurs différents qui choisissent chacun un césar qui gouverne avec eux et leur succède. L’empire romain désormais gouverné par 4 personnes : c’est une tétrarchie. Mais empire romain subsiste : il demeure un seul état. Dioclétien décide également de découper

et une « barbarisation » des populations romaines. Certains parlent aujourd'hui d'antiquité tardive pour la période du 3e au 5e siècle. Ce n'est pas un évènement qui détermine le début et la fin de la période, mais un changement de la structure du pouvoir, de la structure sociale, de l'influence du clergé, des rapports entre les groupes qui sont de moins en moins étrangers les uns aux autres. D'autres parlent de « romanité tardive », qui met plutôt l'accent sur la romanité au niveau culturel. Lorsqu'on