Poésie Humaniste

obstinément « là où il n’y a rien à voir », privilégiant les moments furtifs, il guette l’anecdote, la petite histoire, réalisant des photos souvent empreintes d’humour, de nostalgie, d’ironie, de tendresse. Représentant du courant de la photographie humaniste, il reste l’un des photographes français les plus populaires et les plus connus à l’étranger. Ses photographies d’écoliers font désormais partie de l’imagerie scolaire traditionnelle. Durant plus de soixante ans, Robert Doisneau a créé une incomparable

famille bourgeoise. Il meurt è Montrouge le 1 avril 1994. C’était un photographe français parmi les plus populaires d’après guerre. Il fût au côté de Willy Ronis et d’Edouard Boubat, l’un des principaux représentants du courant de la photographie humaniste français. Ses œuvres : * 1944 : La voiture fondue * 1950 : Le baiser de l’hôtel de ville * 1951 : Rue Mouffetard * 1956 : Les écoliers de la rue Damesme * 1958 : La Transhumance * 1959 : La récréation * 1971 : Devant

femme à Raizeux . Il fut un photographe Français parmis les plus populaires d'après-guerre. Il travailla aux côtés de Willy Ronis et d ' Édouard Boubat , deux photographes célèbres ; c'est l' un des principaux représentant de la photographie humaniste Française . Il étudia les Arts Graphiques à l’École Estienne et obtient son diplôme de graveur et de lithographe en 1929 . Un an plus tard , il réussit à intégrer l' Atelier Ullmann en tant que photographe publicitaire. En 1931 , Robert Doisneau

INTRODUCTION La photographie documentaire s’intéresse essentiellement au sujet. Ce style devrait être objectif mais la réaction du photographe en face d’une situation donne inévitablement une direction à sa démarche. (voir le cours LA PHOTOGRAPHIE HUMANISTE) Entre le pictorialisme et la straight photography, la succession des mouvements en photographie n’a fait qu’attiser le doute sur la capacité des images à représenter le réel. Aux origines de la photographie, le style documentaire est chargée

Le baiser de l'hotel de ville - Robert Doisneau Robert Doineau est né le 14avril 1912 et mort le 1er avril 1994 est un photographe français parmis les plus populaires d'après guerre et l'un des représentans de la photographie humaniste . Il a étudié les arts graphiques . En 1930 il intègre l'atelier Ullmann en tant que photographe publicitaire . Il se marie avec Pierette Chaumaison en 1931 et ils couvrent la Nouvelle Objectivité photographique avec André Vigneau . Après la Seconde Guerre Mondiale

1550), puis il s'établit à Paris où il se lie avec Jean Antoine de Baïf, Nicolas Denisot et Remy Belleau. Il appartient au cercle du mécène Jean Brinon. Au début de l'année 1553, il fait représenter la première tragédie humaniste, Cléopâtre captive, et la première comédie humaniste, L'Eugène, devant le roi, à Paris (hôtel de Reims), puis au collège de Boncourt. Pour fêter la première représentation, Jodelle et ses amis de la Pléiade, à Arcueil, procèdent à la « pompe du bouc », comme on le faisait

du hasard », et « Mon Paris » sont parmi les livres les plus importants qu’il a publiés. On a alors pu dire que Willy Ronis est « l’un des photographes majeurs de cette école française de l’après-guerre qui a su concilier avec talent les valeurs humanistes et les exigences esthétiques du réalisme poétique» . Il participera dans les années 1950 au Groupe des XV pour défendre la photographie comme une véritable expression artistique. Dans les années 1970-1980, parallèlement à ses activités de

thème Image était justement « L’image en tant que représentation », j’ai donc décidé de poursuivre mon travail sur cette voie. La photographie humaniste est tout de suite ressortie lors de mes recherches, et j’ai tenté de définir les limites de ce qui pourrait s’avérer être mon sujet. Mais ce projet n’a pas pu être mené à bien, car la photographie humaniste est un mouvement des années cinquante typiquement français, et donc impossible à travailler en langue anglaise. Je me suis alors renseignée pour

La photographie humaniste La photographie humaniste apparait dans les journaux parisiens des années 1930. Elle réunit des photographes ayant en commun un intérêt pour l’être humain dans sa vie quotidienne. Elle s’est développée  à partir des années 1945-1950. L'horreur de la Seconde Guerre mondiale fait naître le besoin de redécouvrir la vie de l’homme, sa relation avec son milieu. La photographie humaniste reflète tout cela. Elle célèbre le travail, chante le bonheur simple de trancher le pain

libertés des Français. Le contexte économique : Economie d'une période de guerre (pénurie de main d'oeuvre, de sources d'énergie, de matières premières, problème du ravitaillement de nourriture) Le mouvement littéraire ou artistique La photographie humaniste naît à Paris dans les années 30 avec Doisneau et Willy Ronis. Ils donnent à voir l'homme de l'après-guerre en photographiant des scènes de rue, de la vie quotidienne afin de redonner espoir aux hommes après les épreuves de la guerre. Le contexte