Pratiques Médicales Pour Sauver Des Vies

primer sur les intérêts médicaux, au risque de voir se developper différents trafiques autour du clonage Dans le cas d’une application médicale et thérapeutique du clonage dit « reproductif », l’enfant né pour sauver son donneur malade serait vu comme un « réservoir d’organes ». Il se pose alors un problème étique de la finalité de la personne créée en laboratoire. L’enfant n’est pas forcément desire, il est né suite à un clonage de la personne malade dans le but de sauver sa vie. Le même problème

INTRODUCTION Le don du sang est indispensable car il permet de sauver des milliers de vie chaque année en France. Le sang a toujours été considéré comme un symbole de la vie et de la mort et il est indispensable au fonctionnement du corps humain. A ce jour, aucun produit artificiel ne peut le remplacer, seul l’homme peut le produire, d’où l’importance du don de sang. De plus, ces dernières années les besoins ont augmenté de plus de 10 %, en raison du vieillissement de la population et des progrès

Les transfusions, greffes et transplantations : Des pratiques médicales pour sauver des vies I – Que sont les greffes, les transplantations et les transfusions sanguines ? En médecine, une greffe ou transplantation est une opération chirurgicale consistant à remplacer un organe malade par un organe sain, appelé « greffon » ou « transplant » et provenant d’un donneur. Il existe trois types de greffes:   La première s'appelle l'autogreffe, C'est une greffe où le greffon provient de la personne

Ce besoin s’oppose aux besoins d’accomplissement qui sont dits secondaires. Certains progrès de la médecine permettent de répondre à des besoins vitaux en permettant de sauver des vies ou d’améliorer grandement la santé d’une personne atteinte d’une maladie. Du fait de leur caractère vital, les différentes pratiques médicales qui posent en premier abord des problèmes d’éthiques semblent être mieux acceptées dans notre société. Cependant quelques réticences subsistent, lorsque ces progrès prennent

population civile. Là, ils sont soignés par des moyens naturels : repos, suralimentation, héliothérapie (lumière solaire). Une campagne de prévention et d'information voit même le jour. Au début du siècle, le typhus exanthématique est un fléau. Pour sauver des vies humaines, tous les soldats reçoivent l'ordre de lutter contre les poux car ces parasites véhiculent le typhus. Afin d'être débarrassés de ces hôtes indésirables, les soldats doivent prendre des douches et leurs vêtements sont désinfectés. Les

citoyens. Rares sont les pays 25 comme les Pays-Bas qui viennent de légaliser l'euthanasie, si elle est pratiquée sous surveillance médicale et sous la responsabilité du médecin. Mais ce sont souvent justement les médecins qui refusent l'euthanasie en s'appuyant sur le serment d'Hippocrate, le code moral de la médecine, qui met le médecin dans l'obligation de sauver des vies humaines et non de les abréger. Précisons que cette déontologie peut être pour le médecin une espèce de garde-fou, nécessaire

droits fondamentaux de la personne, et la non-entrave aux progrès de la recherche" *1. 1) LES ENJEUX DE LA BIOETHIQUE Le progrès des sciences et des techniques a permis de découvrir de nouvelles méthodes médicales d'examens. A terme ce progrès pourrait sauver des millions, voir des milliards de vies humaine. On peut donc répondre, à première vu, à la question sur les limites par NON. De plus les pays démocratiques devraient garder une position de leader scientifique, ne serait-ce que pour pouvoir parer

Évidemment, les avantages de diagnostiquer certaines maladies par la médecine nucléaire sont nombreux. Les diagnostics permettent d’établir rapidement un plan de soins pour les patients. S’il est diagnostiqué à temps il peut enrayer la maladie et sauver des vies. L’examen est sans danger et ne cause aucune douleur. Par contre, il existe différents examens pour différentes maladies ou cancer et la zone à inspecter doit d’abord être établie. Ce qui peut entrainer l’évolution d’autres maladies qui n’aurait

Des vies sauvées grâce au don du sang Les premières transfusions sanguines directes d’homme à homme ont été faites à partir de 1914, mais le don du sang n’existe que depuis 1949. C’est une pratique qui est utilisée couramment de nos jours. Chaque année plus de 500 000 personnes ont besoin de produits sanguins. Comment le don du sang permet-il de faire face à ces besoins ? Pour répondre à cette question, nous allons d’abord définir le don du sang, indiquer qui en a besoin, puis nous aborderons

handicap. La pression économique ne doit pas forcer la liberté de choix. L’important c’est le respect de la décision du couple. L’essentiel doit donc être consacré à la possibilité de sauver des vies. D’ailleurs, il existe aujourd’hui des embryons qui sont congelés et stockés dans les laboratoires et qui pourraient sauver des vies. Interdire de les utiliser, n’est-ce pas une loi qui fait fi de la souffrance de chacun ? Il existe en France entre 100 000 et 200 000 embryons congelés que les couples ne veulent