Prémisse

il est mal de tuer un être humain innocent, un fœtus humain est un être humain  innocent, en conséquence, il est mal de tuer un fœtus humain.    Par contre, voulant pousser son  raisonnement plus loin, pour  bâtir des arguments  plus fondés face à l'avortement, Singer part des prémisses énoncées ci­haut et  tente de les nier. Il ballait donc du revers de la main le fait qu'il est  nécessairement mal d'interrompre la  vie d'un humain innocent, pour pouvoir mieux  se dégager de la situation  et de pouvoir formuler mieux son interprétation selon 

caractéristiques physiques et psychologiques) ; ils s’apparentent à de véritables individus, mais restent des créations de l'auteur. a. Le portrait Réalisé par un discours descriptif. Il sert à présenter un personnage. Il peut contenir les prémisses de l’action à venir. Le personnage de roman n’est pas forcément héroïque. Il faut analyser en détail les portraits - Le plan physique : aspects physiques mélioratifs ou péjoratifs, la description des vêtements, les traits sontils grossis

des faits présents ( par exemple, la présence de nuages peut annoncer un orage, mais cela n'est en aucun cas une démonstration). La démonstration est, elle, encerclée par la vérité. La vérité de la conclusion à établir, ainsi que les vérités des prémisses du raisonnement. Autrement dit, le point de départ et le terme de la déduction, c'est toujours la vérité. En effet, la rigueur et la nécessité logique des enchaînements de propositions, conditions nécessaires à la validité d'un discours, ne sont

discursives". Le raisonnement qui permet de les atteindre s’appelle une démonstration. Lalande définit la démonstration comme un discours raisonné destiné à garantir la certitude d’une conclusion à partir de prémisses reconnues ou admises comme vraies. (Ne confondez pas les prémisses - propositions admises comme vraies au début d'un raisonnement, en vue d'en démontrer une autre - et les prémices - premiers fruits d'une plante au sortir de l'hiver.) Cette définition appelle trois distinctions

Les erreurs de raisonnementLes erreurs de raisonnementLes erreurs de raisonnementLes erreurs de raisonnement peuvent à la fois rendre un argument invalide ou ses prémisses faussesParfois les erreurs de raisonnement sont dans le but de tromper, parfois elles sont involontaires. Généralement, on nomme sophisme les erreurs de raisonnement dans le but de tromper et paralogisme les erreurs de raisonnement involontaires.Mais dans ce cours, je ne vous demanderai pas de distinguer sophisme de paralogisme

l’intervention que l’on va réaliser. Il existe différents types de raisonnement qui se distinguent par les mécanismes en œuvre. 2-Le raisonnement conditionnel 2-1. Définition  Prémisses Pour raisonner, il faut avoir des propositions de départ que l'on appelle prémisses, qui vont servir de support au raisonnement. Prémisse : phrase correct d'un point de vu grammatical, mais pas forcément au niveau sémantique, et qui est formuler sur le mode déclaratif. Phrase qui va attribuer une propriété à un élément

dont la majeure était, par exemple, dans la boîte, s'il y a un chien alors il y a une orange, et la mineure il n'y a pas de chien (pour la NA) ou bien il y a une orange (pour l'AC); à un groupe expérimental ils ont présenté les mêmes prémisses augmentées de deux prémisses additionnelles telles que s'il y a un tigre alors il y a une orange et s'il y a un cochon alors il y a une pomme; la première était destinée à fournir un antécédent alternatif au conséquent orange bloquant ainsi une relation biunivoque

parle dans son contexte permet d’obtenir les mêmes résultats. Les prémisses de la sémantique générale Les mots sont à la description de la réalité ce que la carte routière est au territoire qu’elle représente. De cette métaphore découle trois prémisses de la sémantique générale : - La carte n’est pas le territoire - La carte ne représente pas tout le territoire - La carte est autoréflexive Appliqué au langage, ces prémisses deviennent : - Le mot n’est pas la chose : le mot « chien » ne mort

vraies. La régression à l'infini Pour que notre démonstration soit vraie, il nous faut partir de prémisses vraies. Mais pour nous assurer que ces prémisses sont bien vraies, il faut qu'elles aient été démontrées. Or, pour démontrer ces prémisses, il nous faut partir d'autres prémisses qui doivent à leur tour avoir été démontrées, etc. Il nous faut donc remonter sans cesse, de prémisses en prémisses : nous sommes pris dans une régression à l'infini. Le problème du point de départ Chercher à

affirmatif ou négatif qui donne directement et de manière complète une réponse à la question de la dissertation. C’est, en quelque sorte, la thèse.  Précisez ensuite en quoi consiste l’argument principal (ceci peut-être une prémisse indépendante ou un argument composé de prémisses liées). Cet argument principal doit s’inspirer explicitement de la conception d’un penseur ou un personnage étudié dans le cadre du cours. C’est cet argument principal qui sera attaqué par l’objection au 3e paragraphe