Primo Levi Déshumanisation

dans la représentation artistique de la guerre : le combat héroïque mettant en valeur les combattants est remplacé dans les peintures par des masses de soldats, la boue, les barbelés. On cherche à mettre en avant la mécanisation de la guerre, la déshumanisation des soldats afin de choquer. Les artistes cherchent alors à susciter une réaction émotionnelle intense chez le spectateur en projetant dans leurs œuvres une certaine forme de subjectivité. On se doit ici de citer Otto Dix, peintre allemand s’engageant

à ce problème qui reste actuel. D'autres œuvres autobiographique désigne la nature humaine comme Si c'est un homme de Primo Levi. Il a été capturé par les allemands en 1943 et fut envoyer au camps d'extermination d’Auschwitz ou il réussit à se faire déporter dans un camps de concentration. Il nous raconte avec un ton neutre l'horreur des camps avec l'humiliation, la déshumanisation, la violence exercé par les SS sur les détenues. Il ne dénonce pas que les nazis mais bien tout les humains car dans

si l'on vulgarise, on peut dire que l'homme est naturellement "bon", toutes ses actions sont par conséquent selon lui les meilleures pour le tout le monde, la thèse de l'existentialisme de Sartre soutient cela. On peut donc en déduire que la déshumanisation de certains hommes, c'est-à-dire clairement que, leur retour à l'état d'animal n'est pas seulement due à l'homme mais aussi à des facteurs extérieurs. "L'existence précède l'essence" ou l'existentialisme selon Sartre est une thèse qui confirme

leur extermination dans le secret absolu (en allemand : Nacht und Nebel). Voici quelques éléments d'analyse effectués au lycée : Le texte fait référence à la Shoah : « wagons plombés », « nombres ». Les Häftlings subissent une déshumanisation, la perte de leur identité. C'est le début du voyage, puis vient le tatouage, la mort est suggérée par diverses images. Évocation de quelques survivants. Strophe 6 : arrêt sur image : le poète est interpelé au plus haut point de la cruauté : c'est

c'est un homme​ " un poème qui introduit un livre autobiographique de Primo Levi en 1947 Son premier titre était " ​ Shema​ " (= "Ecoute!" En hébreux ). Les deux oeuvres parlent du génocide commis par les nazis lors de la seconde guerre mondiale. Il a 24 ans lorsqu’il fait son récit autobiographique. Au début il s'adresse au lecteur « Vous » . Ensuite il évoque les conditions de vie d'un déporté homme et évoque la déshumanisation qu'on subit les déportés "si c'est un homme". Il continue en citant les

reste plus qu'une seule liberté, celle de survivre. Cependant, l'expérience ne mène qu'à l'auto destruction de l'individu. On assiste à une déshumanisation de l'homme. Automate, agissant de façon mécanique, l'existence de l'homme ou sa mort n'ont plus aucune importance. La lutte pour la survie est inutile. On assiste à une criminalisation générale. Primo Levi : « Celui qui tue est un homme, celui qui commet ou subit une injustice est un homme. Mais celui qui se laisse aller au point de partager

débrouilles pour survivre du père du narrateur, Vladek, de ces petits événements qui s’enracinent dans la grande histoire. Maus est indispensable pour comprendre le génocide des juifs d’Europe de l’intérieur, tout comme en littérature les livres de Primo Levi" Si c’est un homme". «Prager Straße» Prager Straße,1920,Otto Dix Le peintre: Otto dix est né le 2 décembre 1891 à Gera.En 1910,il entre à l'école des arts décoratifs de Dresde.De 1914 à 1918 il s'engage dans l'artillerie allemande puis profondément

débrouilles pour survivre du père du narrateur, Vladek, de ces petits événements qui s'enracinent dans la grande histoire. Maus est indispensable pour comprendre le génocide des juifs d'Europe de l'intérieur, tout comme en littérature les livres de Primo Levi Si c'est un homme et Wladislaw Szpilman Le pianiste. 3. Le travail en histoire L’étude de Maus s’intègre au thème 3 du programme d’histoire, « La Seconde Guerre mondiale, une guerre d’anéantissement (1939-1945) », dans le chapitre consacré

gênés. Analyse[ L'auteur fait de nombreux emprunts aux témoins de la Shoah. Ainsi la fin du chapitre X, il aborde le thème de la déshumanisation: « Nous n'étions plus nous mêmes. Nous ne nous appartenions plus. Nous n'étions plus des hommes. Nous n'étions qu'une espèce. » L'allusion au livre de Robert Antelme, L'espèce humaine est à peine voilée. Cette déshumanisation est telle que Brodeck pour survivre accepte de devenir le « chien Brodeck » et d'être promené en laisse comme un animal. La culpabilité

« ennemis du Reich » : opposants politiques, mais aussi homosexuels, Tziganes, Juifs, qui y sont soumis à du travail forcé dans des conditions inhumaines : maladies, sous-nutrition, sévices : mortalité y est extrêmement forte. Processus de déshumanisation décrit par Primo Levi (extrait de Si c’est un homme, manuel Le Quintrec, n°3 p.102) : tatouage, remplacement du nom par un numéro, … - camps d’extermination : construits à partir de l’hiver1941 en Pologne, dans le but d’éliminer les Juifs par des