Primogéniture Male

systématiquement utilisée jusqu’à Philippe Auguste, jusqu’au début du XIIIe siècle. Le choix du successeur dépend uniquement de la volonté du roi et fait passer au second plan le principe électif. Le roi choisit toujours son fils aîné à le principe de primogéniture. L’hérédité et le principe dynastique gouverne la succession au trône. Paragraphe 2 : Le ministère royal, le ministerium regisLa mission royale est réservée au roi et découle du sacre. Selon le ministerium

partagé en portion plus ou moins égale entre les fils du roi défunt avec une mention particulière, c'est que les filles sont exclues du trône ( loi salique ). Non seulement on va partager le territoire mais également le titre du toi. Chaque héritier mâle, en plus de la terre, va devenir roi de son territoire. Cela va avoir pour conséquence d'éclater le pouvoir royal, c'est un facteur d'affaiblissement. Ces partages, de plus, ne sont pas logiques. Ils sont fait de façon arbitraires, rarement cohérents

transmettre leurs provinces à leur descendant mâle en ligne directe. C'est le principe d'hérédité qui joue mais il entraine un éloignement de ces provinces sur plusieurs générations. Au lieu de détruire la féodalité, l'a renforcée. Ces provinces données en possession sont appelées des « apanages » et les princes sont dits apanagistes et leur propre dynasties sont des dynasties apanagistes. La seule précaution prise est la suivante; s'il n'y a plus d'héritier mâle directe, l'apanage revient à la couronne

par écrit c’est-à-dire consigne l’institution coutumière de la présidence du conseil. Sous l’ancien régime la Constitution de France étant essentiellement coutumière, il y a de nombreuses coutumes : la succession à la couronne de France par primogéniture mâle avec exclusion des femmes aux lois saliques. Le successeur de Charles IV sera son cousin Philippe VI de Valois, le roi salique, dont le père Charles était le frère du même roi. Plusieurs siècles plus tard, le roi Louis XIV inscrits à la

La France du XIXème siècle : 1814-1870IntroductionLe XIXème siècle : une société bouleversée par la révolution, et riche en politiqueI) Découper le XIXème siècleA) Forte conscience du temps :Siècle particulier, époque originale. Poème Victor Hugo 1831, après révolution de juillet : siècle confus où tout se mélange. Alfred de Musset , roman : la confession d’un enfant du siècle, 1836 = le mal du siècle, guerre terminée, l’empire est terminé

de la couronne.............................................................................................8 A) Hérédité et primogéniture.............................................................................................9 1) Hérédité....................................................................................................................9 2) La primogéniture......................................................................................................9 B) Masculinité....

est déjà sacré. Cette pratique sera utilisé jusqu’au XIIIe siècle = après le règne de Philipe Auguste. Le choix du successeur dépend uniquement du roi et ce principe électif passe au 2nd plan. Le roi choisit toujours son fils ainé = principe de primogéniture. Hérédité et principe dynastique = important. 2) La mission royale Le roi est au service de l’ordre publique c’est à dire qu’il doit exercer sa mission pour l’Etat = chose publique. En conséquence son pouvoir s’exerce sur la totalité du royaume

même surnommé « Charles le simple ». La charte est muette sur les modalités de désignation du roi. Il faut en déduire que les lois fondamentales du royaume seront toujours en vigueur et par conséquent que la couronne se transmet de mâle en mâle et par ordre de primogéniture. C’est grâce à cette règle que Charles X succèdera à Louis XVIII en 1824. Cette succession se fera instantanément illustrée par l’adage très connu « Le Roi est mort, Vive le Roi ». La charte donne des pouvoirs importants au monarque

l’article 57. Cette loi prévoyait en 1923 que lorsque le dernier descendant mâle d’une famille mourrait pour la France, le tribunal pouvait autoriser le prélèvement de son nom ce qui constituait pour un membre de la famille à ajouter à son nom, le nom du défunt. La loi du 4 mars 2002 a modifié ces règles alors que tout le monde pratiquement pensait qu’elles allaient être abrogées. Au nom de l’égalité homme/femme, le mot mâle a été supprimé. Aujourd’hui si le dernier représentant d’une famille (sans

temps, et ils sont égaux, cad que le fils succède dans les actes au même titre que son père. b) Hugues Capet est aussi à l’origine de la future règle de « primogéniture ». A partir d’Hugues Capet, les rois successifs associent à leurs pouvoirs l’ainé de leur fils. Pratique qui va devenir une règle coutumière, appelé la règle de primogéniture. Le fils ainé du Roi est appelé à régner, et cette victoire de l’esprit familial en 987 fait naitre une dynastie. Cette dynastie à dure grâce à ces principes