Principauté ecclésiastique

Tribunal s’attaque aux hérétiques. Fin du 16e et début du 17e s, les sorciers et sorcières (les gens qui « dérangent ») sont jugés. Ces procès de sorcellerie montrent que nous sommes dans une lutte entre deux monde : savants >< croyants. Le tribunal ecclésiastique était assuré par les dominicains. Le relais sera pris par les Jésuites. Mais dans le droit canon (par rapport au sein de l’Eglise), les prêtres ne peuvent pas verser de sang (tuer). Mais pourquoi l’inquisition = torture ? Seul le bourreau du Roi

édicté par le roi de France François Ier, entre le 10 et le 15 août 1539[] (vingt-cinquième année de son règne) à Villers-Cotterêts, (dans le département actuel de l'Aisne). Forte de cent quatre-vingt-douze articles[], elle réforme la juridiction ecclésiastique, réduit certaines prérogatives des villes et rend obligatoire la tenue des registres des baptêmes. Elle est surtout connue pour être l'acte fondateur de la primauté et de l'exclusivité du français dans les documents relatifs à la vie publique

INSTITUTUIONS : L’administration centrale : Le palais est composé de trois personnages Le comte du palais, au sommet de la hiérarchie comtale, qui préside en l’absence de l’empereur, le tribunal du palais L’archichapelain, principale conseillé ecclésiastique de l’empereur Le chancelier, responsable de la rédaction des actes législatifs L’administration locale ordinaire : Le territoire est divisé en comtés. Le comte est le représentant permanent de l’empereur et est rémunéré par une dotation foncière

des Hongrois accentue la désagrégation de l'autorité royale. Les souverains impuissants à défendre leurs sujets doivent se résigner à voir passer le pouvoir de commandement de leurs mains à celles de puissants seigneurs qui se sont constitué des principautés, vastes territoires quasi indépendants. Pour stopper la menace viking, le roi Charles le Simple est obligé de céder la Normandie au chef Rollon par le traité de Saint-Clair-sur-Epte en 911. Le titre de roi redevient électif et les Carolingiens

entamerait alors une carrière pour être évêque. Ayant retrouvé son neveu à Plaisance, la duchesse fait état de la proposition de Mosca que Fabrice accepte, refusant d’être un riche oisif courant les femmes et les cafés. Il part donc à l’Académie ecclésiastique de Naples où il est regardé comme « un grand seigneur appliqué, fort généreux, mais un peu libertin ». Pendant ce temps, le comte Mosca manque plusieurs fois d’être destitué mais s’en sort bien, malgré et grâce à Gina qui s’amuse et joue de toutes

illustre la fragilité de l'autorité politique. Le rôle stabilisateur de l'Église L'influence de l'Église chez les rois mérovingiens est importante. Elle prend naissance avec un acte fondateur : le baptême de Clovis. Clovis, comme l'autorité ecclésiastique voit un intérêt dans l'alliance, c'est un acte politique. Effectivement, chacun va tirer profit de cette alliance. C'est un marché donnant-donnant. Du côté de L'Église, il y a deux aspects importants : exercer une influence sur la royauté

plus peuplé d’Europe avec 26-28 millions d’habitants dans des frontières sensiblement proches des nôtres. Seuls manquent à la France les terres italiennes du duché de Savoie et du comté de Nice (qui appartiennent au roi de Piémont-Sardaigne), les principautés suisses de Mulhouse (en Alsace) et Montbéliard (en Franche-Comté) qui appartiennent à es princes autrichiens et les terres pontificales du Comtat Venaissin (région d’Avignon) qui appartiennent depuis le XIV° siècle au Pape. Ce royaume est gouverné

mariage un sacrement Ces divergences entre Droit et religion confirment la séparation progressive entre l’Eglise et l’Etat, séparation consommé en 1905 avec la loi sur la séparation entre l’Eglise et l’Etat. Il y a 2 grandes conséquences : les ecclésiastiques ne sont plus payés par l’Etat et les lois votées par le parlement n’ont plus à respecter les préceptes religieux. Désormais l’ordre religieux et l’ordre politique sont distincts. L’article 1 de la constitution de 1958 : « La France est une république

une menace. D’ailleurs Marsile pense que tout pouvoir est d’origine humaine. Pour lui l’Eglise est simplement un ensemble de fidèles et pas une société distincte de la société civile, ce n’est pas un corps à part, il renie la distinction laïc/ecclésiastique. Il propose une subordination de l’Eglise à l’Etat voire une absorption de l’Eglise par l’Etat. Guillaume d’Ockam (fin 13ème milieu 14ème siècle) est lui aussi hostile à la papauté mais considère l’Eglise comme une société réelle. Il admet l’autorité

cette œuvre est créée à l’initiative de Théodose, il s’agit d’une œuvre considérable puisque le code théodosien est composé de 16 livres organisés de manière thématique, 16 livres qui correspondent aux sources du droit : droit privé, public, et ecclésiastique. Ce code reproduit de façon chronologique les constitutions impériales et on estime qu’elles sont au nombre de 275. Apres l’année 438 les nouvelles constitutions seront intégrées au texte d’origine et ces nouvelles constitutions sont appelées