Principe De La Non Rétroactivité Maroc

1. Les conséquences du non respect de la règle de droit : Si une personne ne respect pas la règle du droit il va être sanctionné par l’autorité publique, et ce dans le but d’assurer la performance de droit, et parmi les sanctions on peut distinguer, la sanction exécution qui consiste à saisir les biens du débiteur, la sanction-opération : elle se manifeste par la nullité de l’acte juridique attaché d’illégalités, et sanction-punition : qui est l’application des pênes pénales. 2. Les différences

vie économique privée et pour une liberté publique. II- ETAT : pouvoir institutionnaliser La stabilité de l’Etat est l’indice de son institutionnalisation qui se traduit par une donnée juridique : l’élaboration d’une constitution écrite. Au Maroc, l’institutionnalisation du pouvoir se manifeste par des constitutions écrites depuis 1962. Il en ressort que l’Etat est un pouvoir légal c.-à-d. les règles d’exercices sont de nature juridique. Cela signifie que les détenteurs momentanés du pouvoir

Thème 2 : La multiplication des acteurs internationaux dans un monde bipolaire (de 1945 au début des années 1970). Chapitre 1 : De 1945 à 1948. Autour de quels principes se reconstruit le monde au sortir de la Seconde Guerre Mondiale ? I. Le monde au sortir de la guerre, entre plaies béantes et espoir d’un nouvel ordre mondial A) Un monde bouleversé par la guerre La Seconde Guerre Mondiale a été le conflit le plus meurtrier de l’histoire car elle a été à la fois une guerre totale et

pénal de fond (procédure) Découpé classiquement en deux : le droit pénal spécial et général. 1) Le droit pénal spécial Renvoie à l’étude de chaque infraction pénale prise une à une : on étudie, par exemple le meurtre, en le découpant : il faut non seulement l’intention de tuer, et donner la mort à autrui. Cela sert à donner le périmètre de l’infraction. Quel comportement constitue un meurtre, quel comportement ne constitue pas un meurtre. Le droit pénal spécial renvoie à de nombreuses capacités

Droit 2 principales doctrines A/ doctrine du droit naturel La notion de droit naturel consiste à un principe supérieur de justice universelle (applicable partout, tout le temps). Ce qui signifie que la notion de juste et injuste n’est pas variable, on retrouve l’idée chez Sophocle et Aristote ou St Thomas d’Aquin. Pour ces auteurs c’est le droit naturel qui inspire la règle juridique(principe de liberté, respect d’autrui …) et qui fonde les droits pratiques. B/Droit positif La règle de droit

loi nouvelle ou se contenter de la loi ancienne ? Deux principes retenus par lé droit marocain permettent de nous éclairer à ce propos : 1. le principe de la non-rétroactivité des lois nouvelles 2. le principe de l'effet immédiat des lois nouvelles a.Le principe de la non-rétroactivité des lois nouvelles - Justification du principe Justice et sécurité : éviter d'appliquer la loi à des situations nées avant sa naissance Le principe permet d'assurer la sécurité et la stabilité des relations

sont beaucoup plus étroites qu’elles apparient pour des raisons institutionnelles (le respect des principes de l’établissement budgétaire). Parce que l’Etat comme tout agent économique est soumis à des critères ou confronté à des préoccupations qui rendent difficile l’utilisation du budget à des fins conjecturelles. 2 Réalisé par : Soufiane EL BAZ LE COURS EN DETAIL PARTIE I : PRINCIPES ET TECHNIQUES BUDGETAIRES : On a l’habitude de situer la naissance de droit budgétaire contemporaine

suivants : 1 – Un historique retraçant de maniere consice l'évolution de la matière 2 – La délimitation du domaine du droit du travail par rapport au droit social 3 – L'aspect géneral du droit social 4 – La source du droit de travail au Maroc 5 – L'intêret de la matière / Principaux apports de la loi 65-99 6 – Champ d'application de la loi 65- 99 Historique (07/10/2012) Les rapports de travail étaient jusqu'à la fin du XVIII siècle géneralement des rapports individuels.

en œuvre du contentieux administratif, dans la mesure où le recours notamment dans le cas pour excès de pouvoir contre l’acte illégal de l’administration. I – acte administratif n’ayant pas un caractère de décision exécutoire.      Ce sont des actes non créateurs d’effets juridiques même s’ils émanent d’une autorité administrative : il peut s’agir d’actes préparatoire d’une décision tels que les avis, les rapports de commission, les mesures d’ordre intérieur qui comprennent  entre autre  les circulaires

œuvre du contentieux administratif, dans la mesure où le recours notamment dans le cas pour excès de pouvoir contre l’acte illégal de l’administration. I – acte administratif n’ayant pas un caractère de décision exécutoire. Ce sont des actes non créateurs d’effets juridiques même s’ils émanent d’une autorité administrative : il peut s’agir d’actes préparatoire d’une décision tels que les avis, les rapports de commission, les mesures d’ordre intérieur qui comprennent entre autre les circulaires