Principe De Légalité Au Maroc

peut-on imputer le délit de blanchiment de capitaux à une personne quelconque ? Autrement dit, à partir de quelle phase du processus les éléments constitutifs de cette dernière peuvent être réunis ? On s’intéressera également aux mesures prises par le Maroc que ce soit juridique ou structurelles pour lutter contre cette infraction d’extension intercontinentale ? La réponse à ces interrogations nous conduiront par la suite à braquer la lumière sur le cadre général de lutte anti-blanchiment de capitaux

gouvernance régionale en fonction des échelles de gouvernance abordées. Dans notre présentation on s’intéressera à la gouvernance locale au maroc. Ainsi, La gouvernance locale est au goût du jour. Cette notion est devenue le sésame d'un État en transformation, sans que l'on sache exactement que ce qui se cache derrière cette transformation. Au Maroc, le territoire a toujours été inséré dans une logique de domination et de contrôle. Actuellement ce n’est plus permis, le territoire doit cesser

couverture des charges publiques et des collectivités territoriales ou de l’intervention de la puissance publique. Trois traits fondamentaux peuvent être tirer de cette définition : - L’universalité (caractère pécuniaire) - La proportionnalité - La légalité B – Objectifs de l’impôt En tant que recette fiscale, l’impôt a plusieurs objectifs :  Objectifs financiers : l’impôt sert en effet, en premier lieu à engranger des recettes, ce sont les recettes fiscales qui contribuent pour plus de la moitié

de cassation des Pays ayant en partage l’usage du français. Les normes internationales établies en matière environnementale ont été consacrée et consignées dans plusieurs instruments juridiques internationaux, régionaux et nationaux avec pour principe fondamental : « toutes les personnes ont le droit à un environnement qui n’est pas dangereux pour leur vie et pour le bien-être ». Mesdames et Messieurs, Chers participants, En effet, nul n’ignore aujourd’hui l’importance ainsi que la contribution

L’ORGANISATION JUDICIAIRE DU MAROC INTRODUCTION : La justice est un service public dont la mission est de trancher les litiges entre les personnes conformément au droit positif. Si nul ne peut se faire justice soi même, toute personne a le droit de recourir à la justice pour faire reconnaître son droit. Ce recours est fait devant les juridictions et conformément à des procédures. LES JURIDICTIONS : Une juridiction peut se définir comme un organe dont l'objectif est de trancher les contestations

soumettre. C’est une règle d’ordre public et elles s’imposent à tous, ni les individus ni les juridictions ne peuvent les écarter, ou déroger leurs dispositions4.§3 : Le caractère coercitif de la règle de droit : la sanction étatiqueLa règle de droit en principe obligatoire, sa vocation est d’être respectée. Pour garantir ce caractère obligatoire, des sanctions s’imposent. Il s’agit d’une sanction étatique.1. Signification du caractère étatique de la sanctionSeule la règle de droit est sanctionnée par l’autorité

être les personnes incriminables ? - Et quelles peuvent être les victimes ? A : Les personnes incriminables : Les textes incriminant l’abus de biens sociaux citent de manière précise les personnes susceptibles d’être poursuivies. Eu égard au principe de la légalité des délits et des peines, les juridictions n’ont pas de pouvoirs d’interprétation et ne peuvent condamner sur le fondement de cette infraction que les personnes expressément visées par les textes. Rapport : Abus de Biens Sociaux Page 11

Promotion de la bonne gouvernance, lutte contre la corruption et le blanchiment d’argent (SNAC Maroc) Diagnostic du cadre anti-corruption Rapport de l’équipe d’évaluation SNAC TP 4/2013 Pour plus d’informations, veuillez contacter : Unité de la coopération du crime économique Direction de la société de l’information et de la lutte contre la criminalité – DG-I Conseil de l’Europe F-67075 Strasbourg Cedex FRANCE Tél. : +33 390 21 56 73 / Télécopie : +33 388 41 27 05 Email : guillaume.parent@coe

de l’administration, considérations sur le Conseil d’État statuant au contentieux, 1958, LGDJ. – M. HAURIOU, Précis de droit administratif et de droit public, 12e éd., 1933, Sirey. – R. JACQUELIN, Les principes dominants du contentieux administratif, 1899, Giard et Brière. – G. JÈZE, Les principes généraux du droit administratif, 3e éd., 1925, Giard. – E. LAFERRIÈRE, Traité de la juridiction administrative et des recours contentieux, rééd. 1982, LGDJ. – M. LE COURTOIS, Des actes de gouvernement,

A/ les motifs du licenciement abusif…………………………………16 1/ absence d’un motif valable…………………………………..16 2/ caractère sérieux du motif…………………………………....17 3/ légalité du motif……………………………………………...17 4/ contrôle des motifs par les tribunaux………………………...17 B/ les raisons du licenciement abusif………………………………….18 1/ la notion de cause réelle et