Principe De Neutralité Axiologique

certain nombre de réflexes, qui sont des réflexes naturels chez l'acteur. Ces relèvent essentiellement du jugement de valeur et de la volonté de se positionner dans l'espace social. Par exemple : chez WEBER, un engagement suppose une neutralité axiologique (axiologique = ce qui relève des valeurs c'est-à-dire une idée à laquelle un auteur donne une importance particulière) c'est la mise à distance de ses propres valeurs. C'est un travail extrêmement contraignant. Cette mise à distance nécessite du

réflexion de grande portée non seulement sur le serment, mais aussi sur ce qui fonde une norme et sur ce que doit être son interprétation. Cette réflexion est abordée en termes plus généraux dans la question 1 de la Cause 22, qui entend établir un principe de licéité générale du serment, avant d’être reprise en fonction de problématiques particulières (illicéité de certains serments, thème des serments forcés) dans les questions 4 et 5. Que la réflexion canonique sur le serment commence par une interrogation

du rôle politique joué par le sport est l’enjeu central de cette relation. Non seulement il faut questionner l’existence ou non de ce rôle politique joué par le sport, mais aussi chercher à quel point cette fonction est importante, quel degré de neutralité il reste au sport… En quelle mesure le sport joue-t-il un rôle politique ? Les théories abordant cette question sont pour la plupart très tranchées, prenant position de façon catégorique sur ce sujet qui prête aux

simulacres qui ne cessent de s'auto-engendrer. Toutes ces idées défendent le principe général selon lequel la signification - et donc la valeur - sont interprétées, selon la sémiotique structuraliste, en termes d'absence. Ainsi « chien » signifie « chien » non en raison de ce que le mot indique mais parce qu'il n'indique pas « chat », « chèvre », « arbre » etc. Les mots sont ici « auto-référentiels ». Baudrillard emploie ce principe pour soutenir l'idée que dans notre société « globale », où la technologie

des lois s’adresse véritablement à tout le monde précisément parce que chacun peut être jugé à partir de représentations de ses idées en lesquelles il ne se reconnaît pas, ce qui confine au tragique. Avec le prologue, se manifeste la dimension axiologique de notre existence : avec qui fait-on société ? La société est irréductible à un simple échange de besoins, et la question du juste et de l’injuste advient nécessairement. On se rappelle alors le début des Politiques d’Aristote, qui précise bien

Clarifier le « rapport aux valeurs » versus « jugement de valeur » : la neutralité axiologique => Le meilleur moyen de ne pas céder aux « jugements de valeurs » (subjectif), c’est de faire de nos valeurs un objet de questionnement. Au contraire le « rapport aux valeurs » est une voie d’accès à la connaissance. => Il faut prendre conscience et mettre en lumière, dévoiler notre propre rapport aux valeurs et respecter un principe de non- imposition des valeurs. C’est ce qu’on appelle le « rapport

4Ecole…………………………………………………………………………………4Ecole classique……………………………………………………………………....52. Contextes historiques de l’école classique……………………………………………………5La première révolution industrielle…………………………………………………5La deuxième révolution industrielle…………………………………………………63. Principes Fondamentaux de l’école…………………………………………………………...6Fondements de l’école classique………………………………………………………...6Les auteurs de l’école classique…………………………………………………………7Taylor………………………………………………………………………………..7Fayol………………………………………………………………………………..11Weber………………………………………………………………………………144

structure sociale, elle repose encore sur ses principes premiers (démocratie et égalité). Beaucoup de commentateurs de Tcq ont estimé qu’il avait un jugement négatif sur la démocratie. Or au contraire il estime que les USA ont réussi à concilier exigence de liberté et d’égalité, il note l’expérience bénéfique de la religion qui a éviter la dérive vers le despotisme. Son point de vue est celui d’un scientifique, marqué par une certaine neutralité axiologique, ie. du point de vue des valeurs, il ne donne

Une science est un ensemble de connaissance établie à partir d’une méthode empirique. Puis enfin soumise à une vérification et à un groupe de pair. La science est donc à la fois un produit et un processus. Principes essentiels de la science sociale : Le principe de neutralité axiologique (concept de Weber) : analyse des faits indépendamment de la prise en compte des jugements de valeurs. But d’écarter la pré-notion et analyser de manière objective/neutre. Eviter les pièges de l’ethnocentrisme

résiduels, "welfaristes", "libéraux" et "républicains" s'y risquent toujours, à l'exemple de Max Weber (le fameux Gouvernement et Parlement dans une Allemagne en reconstruction qui devrait nous mettre en garde contre les mésinterprétations de la "neutralité axiologique" confondue avec le refus de monter en généralité sur le moment présent (3). 3/ La théorie politique analyse les polities, je dois employer ici l'anglais, le terme français "polité" étant tombé en désuétude. C'est ce que Raymond Aron a nommé