Prison Pour Ou Contre Les Peines Incompressibles

importantes foirées d. L’échec des sanctions Prison = échec alors qu’elle était considérée comme sanction-reine Sanctions et procéd. altern. : transact. pén., médiation pén., sursis prob., TIG… 2. L’état des idées a. La tendance répressive Opinion publique désire nv législations pénales sécurisantes et sécuritaires => Régime des peines incompressibles en France, Patriot Act dès 2001… b. La tendance abolitionniste

Avril 1991 portant Ratification de la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discriminations à l’égard des Femmes du 18 Décembre 1979 ; Vu le Décret-Loi N°1/47 du 31 Décembre 1992 portant Ratification de la Convention contre la torture et autres peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants du 10 Décembre 1984 ; Vu le Décret-Loi N° 1/045 du 9 Juillet 1993 portant Dispositions Générales du Code de Commerce ; Vu la Loi N° 1/002 du 6 Mars 1996 portant Code des Sociétés Privées

Application et modalités d'application 2.1 Autres « morts légales » 2.2 Crimes capitaux 2.2.1 Crimes contre l'humanité 2.2.2 Homicide volontaire 2.2.2.1 Aux États-Unis 2.2.2.2 Dans les autres pays 2.2.2.3 Peine de mort automatique 2.2.2.4 Charia 2.2.3 Crimes contre l'État 2.2.4 Autres crimes 2.3 Procédure pénale relative à la peine de mort 2.3.1 Condamnation

d’infraction sans texte (Titre 1 : la loi pénale). * Juge se demande si la personne qui lui est déférée peut être déclarée pénalement responsable des faits invoqués (Titre 2 : la responsabilité pénale) * Juge devra prononcer une peine (Titre 3 : étude des peines) TITRE 1 : LA LOI PENALE Depuis la Rev on vit dans un Etat de droit= Etat où les organes admi et judiciaire sont tenu de respecter les règles posées par la loi et la Constit dans ces conditions le juge ne peut pas punir quelqu’un dont l’acti

qui méconnaissent les valeurs de la société. Par extension, en parlant de Droit pénal on parle aussi du Droit criminel, qui n’est pas le même que le Droit des crimes, car c’est le Droit des infractions. On parle aussi du Droit des sanctions (= des peines). ◊ Le contenu du Droit criminel Le législateur nous donne dans le Code Pénal une liste d’infractions. Ces infractions, ce sont des actes interdits. Cette liste fait l’objet d’un cours de Droit pénal spécial. Elles sont dans les livres II, III, IV

antagonisme entre légalité et judiciarité paraît dépassé. 91 Relation à la loi et à l’autorité judiciaire : Atténuation de l’opposition entre pays de droit écrit et pays de common law. Liberté de juge accru. Solution pourrait être une motivation des peines accrue. C’est ce qui se passe en Europe…(arrêt Taxquet) Une nouvelle équilibre des pouvoirs où le couple devenu complémentaire de légalité et judiciarité, donne un contenu précis à la notion de prééminence du droit. * * La relation au pouvoir

énéralDroit pénal général : Droit de la peine. Bibliographie : * Droit pénal général d’Harald Renout chez Paradigme. * Droit de l’exécution des peines de Martine Herzog-Evans chez Dalloz Action. * Le guide du prisonnier de l’observatoire international des prisons. * Le guide des peines de Bruno Lavielle. * OBLIGATOIRE : RACHETER CPP. INTRODUCTION. Le droit pénal général c’est l’étude des règles communes à toutes les infractions. Une infraction est

DROIT PENAL GENERAL   Le droit pénal est la branche du droit qui détermine quelles sont les conduites antisociales et en quoi consiste la réaction de la société contre ces divers comportements.   I)L’OBJET DU DROIT PENAL.     Droit de la peine = sanction infligée par l’état à ceux qui menacent gravement l’ordre social. Nous allons étudier quand il y a lieu à sanction et quelle sanction doit être appliquée.  La sanction n’est infligée que si la personne est responsable. Nous n’étudieront pas

(sauf délit d'initié ou financier). Cette loi a notamment permis le fichage génétique de faucheurs d'OGM, d'étudiants anti-CPE27. Les personnes refusant de se laisser ficher risquent jusqu'à 15 000 € d'amende et un an de prison. Dès 2003, Sarkozy défend aussi le principe des peines plancher, importé des États-Unis28. Mais le garde des Sceaux, Dominique Perben, s'opposait alors à cette mesure, contraire selon lui au « principe d'individuation de la peine », et donc anti-constitutionnelle28. En raison

individuelle. Une personne ne peut pas voir sa responsabilité engagée si elle n’a pas participé elle même à l’infraction → exclusion de la responsabilité du fait d’autrui. Ce principe de responsabilité personnelle → le principe de personnalité des peines qui en est le corolaire. Il appartient au Ministère public d’apporter la preuve de la participation d’une personne à une infraction mais parfois difficile à apporter car le CP repose sur le principe de la présomption d’innocence. Section I- La