Problematique Du Christianisme

Introduction générale I. Les débats sur la tolérance 1. Les mots et les champs de la tolérance A. Le vocabulaire et la problématique de la tolérance B. Le champ de la problématique de la tolérance 2. Les grandes œuvres de la philosophie de la tolérance A. Les traités philosophiques sur la tolérance (Bayle, Locke, Voltaire) B. Quelques œuvres philosophiques traitant de la tolérance (Montaigne, Montesquieu, Herder, Rousseau) 3. Les philosophies de l’altérité A. Les courants « exotiques

quelques écrits dont nous disposons sont, soit trop anciens, témoins d’une réalité culturelle déformée par le regard ethnocentriste de leurs auteurs (César, Tacite), soit trop récents et également probablement déformés par le temps et l’arrivée du Christianisme (S. Sturluson, L’Edda : récit de mythologie nordique). Les mythologies des pays celtiques et germano- scandinaves présentent de nombreuses similitudes. Néanmoins, seules les pays scandinaves ont un mythe fondateur complet retranscrit dans l’Edda :

religion désigne deux choses : Une croyance en l'existence d'un ou plusieurs êtres supérieurs (il y a des religions monothéistes ou l'on croit en un seul Dieu et des religions polythéistes avec plusieurs Dieux) Un ensemble de rites (dans le christianisme la messe, en Islam la prière quotidienne, dans le Judaïsme la fête du grand pardon). L'illusion n'est pas l'erreur. L'erreur peut être corrigée simplement : il suffit d'expliquer à quelqu'un pourquoi les résultats de son équation sont faut pour

religieuses. Cette tradition romaine a été durablement malmené par le christianisme qui a amené un certains nombres d’autres principes, d’origine juives, qui rendaient la distinction entre le juridique et le religieux plus difficile. Le christianisme a succombé à la tentation d’imposer la foi religieuse grâce à l’appui des règles juridiques. A rebours de la tradition romaine qui refusaient toute confusion entre les deux, le christianisme a succombé à la tentation facile qu’il a rencontrée lorsqu’il a pu

pas s’en tenir à une analyse des aspects uniquement positifs de la conscience ce serait un HORS SUJET. - Ne pas réciter un cours sur la concept freudienne de l’inconscient : comme toujours, il faut sélectionner les connaissances utiles. 3/ Problématique et plan La tradition philosophique donne à la conscience ne portée considérable : n’est-elle pas censée m’apporter la connaissance de mes états mentaux, mais aussi ma consistance comme sujet ? Ces deux apports peuvent être mis en cause : que

lecteur. Nous pourrions ajouter que « la littérature engagée se caractérise donc par le fait qu'elle inscrit explicitement au cœur du texte l'image du destinataire qu'elle s'est choisi, ouvrant de la sorte l'espace d'une réflexion centrée sur la problématique de la réception ». Bref, en déterminant son public, l'écrivain engagé situe son œuvre socialement : «C'est en choisissant son lecteur que l'écrivain décide de son sujet». Nous pouvons affirmer que la littérature engagée désigne une pratique littéraire

LES NOCES ~Iasi, 2009~ [ Le cérémonial religieux des noces ] Groupe nº 5 THÈME: Les Noces SOUS-THÈME: Le cérémonial religieux PROBLÉMATIQUE DU PROJET: Est-ce que tous les ingrédients spécifiques à un mariage sont nécessaires pour un événement parfait? PROBLÉMATIQUE DU GROUPE: Est-ce que, de nos jours, le cérémonial religieux des noces représente vraiment une épreuve de foi, ou c’est seulement quelque chose d’habituel ? LES SOUS-THÈMES : * Les

sur la nécessité de prendre en compte de l’histoire (Eliane B. du MRAP). Mais cette intégration de l’histoire reste problématique . Notamment, fait-on des "sociétés religieuses" des sociétés figées, repliées sur leurs passés, toujours insensibles aux conflits idéologico-spirituels véhiculés par la mondialisation des communications ? Un ouvrage récent témoigne de cette problématique. Les éléments qui suivent sont largement issus du livre « ORIENT-OCCIDENT : La fracture imaginaire » de Georges CORM

les Saintes-Ecritures. La religion apparaît alors comme la toile de fond de ce texte dramatique, qui sert de ferment à nos analyses. Le motif religieux participe de la création littéraire et de l'esthétique chez cet écrivain. Dès lors, notre problématique est de savoir pourquoi la Bible fonctionne comme modèle littéraire dans cette pièce. Nous nous placerons sous l'égide de l'approche intertextuelle, laquelle démarche situe Joseph Ngoué dans le contexte du dialogisme, pour reprendre la terminologie

renforce sa persuasion en ajoutant : « Se peut-il que la mort soit autre chose ? » ( Page 210, paragraphe c). Les questions du bonheur et du plaisir de l'Homme. sont posées. Socrate ponctue le dialogue. La grande problématique est : qu'est ce que le bonheur ? Puis, la sous-problématique peut être : Le bonheur réside-t-il dans l'assouvissement matérielle ( soif/faim) ? « Est-ce à tes yeux le propre d'un homme qui est philosophe de courir après les plaisirs, ou prétendus tels, comme ceux de la nourriture