Problematique Hobbes Desir

au-delà de l’étymologie, culture des problèmes, des enjeux de ces problèmes) Capacité de mettre cette culture philosophique au service de véritables interrogations ; donner l’impression qu’il y a un vrai problème, que les choses sont vraiment problématiques Introduction : La notion de réel renvoie à la question de la structure de l’être ; le réel se confond-il avec l’être ? Est-ce que la réalité est univoque (être), ou équivoque (être et non être) ? Y a-t-il des degrés de réalité ; la réalité

vérité serait de mieux en mieux connue, soit au sens où ce qui est recherché sous le nom de vérité varierait au fil du temps. Mais dans l’un ou l’autre cas, comment articuler cette historicité de la vérité avec l’idée qu’elle est la vérité ? 2 Problématique Qu’est-ce que la vérité ? La question interroge l’essence ou l’être de la vé- rité. Donner l’essence, c’est définir quelque chose. Donner l’essence de la vé- rité, ce serait donc la définir par un caractère stable et immuable. Mais dans le cas

Accumulation des idées La première chose à faire est de noter sur le brouillon une ou plusieurs définitions pour chacun des termes importants du sujet, et d’envisager les problèmes que suscite chacun des concepts. Ensuite, on peut noter une problématique, ou plusieurs si l’on hésite encore ; on choisira plus tard laquelle privilégier. Enfin, il faut noter sur le brouillon toutes les idées — les thèses, les auteurs, les références — à mesure qu’elles nous viennent à l’esprit, sans les sélectionner

juridique n’est possible que grâce à ce concept. Qu’est ce que l’Etat idéologiquement ? Section II : Les différentes théories de l’Etat § 1) Karl SCHMITT & Maurice HAURIOU § 2) De Machiavel à Thomas Hobbes Machiavel, pour lui ce qui importe ce n’est pas la forme de l’Etat mais comment le prince pouvait conserver le pouvoir dans l’ouvrage Le Prince. Politique =art de gouverner l’Etat. Machiaver = art de conserver le pouvoir entre les mains du prince

d’autre part la vie philosophique (la vie du sage qui se consacre à l’étude et à la connaissance de l’ordre du monde). La vie du sage permet d’atteindre l’ « excellence » et le « parfait bonheur » car elle est une vie qui se suffit à elle-même et aucun désir ne vient la troubler par la conscience d’un quelconque manque. « le bien est ce à quoi on tend en toutes circonstances » Modèle aristotélicien L’homme est un animal fait pour vivre en société. Un homme vivant solitairement ne pourrait être

utilitaristes emploient indifféremment toutes ces dénominations ). Dans ce schéma, l’homme d’Etat éclairé n’a plus qu’à déterminer les sanctions appropriées à la réalisation du résultat souhaité. La doctrine utilitariste est plus précise encore. Elle désire fixer les niveaux exacts de sanction à appliquer. Pour cela, elle cherche à évaluer les motivations – ou les déterminations - du comportement humain en termes quantitatifs. Bentham et ses amis se proposent ainsi d’introduire un principe permettant

unissant le roi à son peuple : - Pactum unionis ou societatis: les hommes passent un contrat entre eux pour sortir de l’Etat de nature guerrier - Pactum subjectionis ou de soumission : Les hommes transfèrent leur pouvoir au souverain Selon Hobbes : Hobbes lui considère qu’il n’y a qu’un seul contrat pour lequel les hommes fondent la société et en même temps se soumettent au souverain ce qui signifie que le souverain lui ne contracte pas. Si le souverain ne contracte pas, il n’a donc pas d’obligation

est déduction à partir du cogito : l’existence de Dieu, le monde réel, etc., y compris le droit. Une séparation radicale entre le sujet (res cogitans) et l’objet (res extensa) La raison est plus que jamais maîtrise Section 5. Thomas Hobbes §1. L’homme et l’œuvre Passionné de mathématiques La guerre civile La décapitation de Charles Ier Stuart d’Angleterre, en 1649 « Intermède républicain » d’Oliver Cromwell jusqu’en 1660 §2. L’entendement, la parole, le contrat

  INTRODUCTION   DE L'ANALYSE DES TERMES « ANIMAL », « HOMME », ET DE LEURS RAPPORTS (« ET ») D'UNE PART, D'UNE PRÉSENTATION DES TROIS ŒUVRES D'AUTRE PART, NOUS DÉGAGERONS LES PROBLÉMATIQUES INDUITES PAR LE THÈME « L'ANIMAL ET L'HOMME »     I - LE SENS ET LES ENJEUX D'UNE RÉFLEXION INTITULÉE « L'ANIMAL ET L'HOMME »   1-    1. Quelques variations autour d'autres intitulés possibles afin de cerner la spécificité de celui-ci   1.1 - Au préalable, les définitions « animal », « homme », « animalité »

contre nettement plus favorable à un rapprochement entre les réflexions philosophiques menées sur l’esprit humain et les recherches scientifiques. Une telle compatibilité puise son origine dans la vision matérialiste des empiristes, et notamment de Hobbes qui considérait que la seule entité apte à composer l’«ameublement ontologique du monde» était la matière en mouvement; du coup, l’âme se trouve soumise à une dépendance ontologique par rapport au corps. Si la philosophie anglo-saxonne ne s’est