Problématique De Tartuffe

juan de Molière L’auteur de ce texte, Molière, né en 1622 et mort en 1673, est un acteur et dramaturge français contemporain du mouvement littéraire du classicisme. Ses œuvres les plus connues sont sûrement l’école des femmes écrit en 1662, puis Tartuffe (1664), œuvre interdite dès sa publication, et enfin Dom Juan (1665). Cette dernière œuvre est une pièce de théâtre qui ne respecte pas les règles du classicisme (règles des 3 unités…), transgresse les ordres et perturbe le lecteur, ce qui lui a

à l'autre et d'une époque à l'autre. Avec cela, nous pouvons donc nous demander : En quoi la réécriture d'un mythe par les modification apportées par ses auteurs peut assurer sa longévité ou bien alors son extinction ? Pour répondre à cette problématique, nous allons voir dans un premier temps que ces modifications peuvent assurer sa permanence mais dans un second temps, cela peut conduire à sa destruction et que finalement, dans troisième temps, malgré ses modifications, un mythe peut rester fidèle

sa troupe. Même si Molière crée des pièces mi-farce mi-critique de la société, il conserve le soutien du roi. Il reçoit même une pension du souverain, ce qui attise la jalousie de ses ennemis. L’Ecole des femmes, La Critique de l’École des femmes, Tartuffe qui pointe du doigt l’hypocrisie religieuse et qui fut interdite de représentation pendant 5 ans, et Don Juan le hissent au rang du plus grand artiste de son époque. Source : http://www.linternaute.com/biographie/moliere/ 2. Corrélation avec l'œuvre

Introduction [Présentation de l’auteur et de l’œuvre] [ La pièce ] Le Malade imaginaire, comédie-ballet en trois actes et en prose, créée le 10 février 1673 par la Troupe du roi au Palais Royal à Paris est la dernière pièce de Molière. La légende veut que le célèbre dramaturge soit mort sur scène en jouant Argan, personnage principal de cette satire des médecins. En réalité, si Molière s’évanouit effectivement sur scène alors qu’on fermait les rideaux à l’issue

de la pièce car si elle a été légère, elle a réellement aimé... en vain. Et le Chevalier moralisateur, est-il moral lui-même ? Ou a-t-elle fait preuve avant tout de solidarité féminine ? La question reste ouverte. Conclusion : 1°) Sur la problématique de la L.A Le dénouement aboutit à une révélation de la vérité – sur les personnages, sur le danger des artifices de la « comédie » au sens courant du terme. Comme toute comédie, il comporte une morale : la poursuite du gain au travers du mariage

Bruyère : peindre les mœurs de son siècle. Choisit forme brève : le portrait. Son esprit classique : porte vers idéal naturel et simplicité => c'est la raison pour laquelle choisit tourner dérision impertinence de celui qui prétend tout savoir Problématique : A quoi tient efficacité de ce portrait ? Plan : Suffisance d'Arrias mise en scène, puis composition du portrait impose satire. I/ a) Narrateur présente personnage => caractérisé par suffisance ( anaphore de " tout " l.1)

veut en venir, on lit « Je devine enfin » avec une légère exclamation qui exprime la révélation soudaine. Puis on change de ton pour donner la leçon. Mettez en valeur les articulations logiques du propos de La Bruyère. · Problématiques au choix :· Comment la Bruyère délivre-t-il une leçon à travers ce texte ?· En quoi la mise en scène du discours d’Acis permet-elle la critique d’un certain usage de la langue ?· Comment par le mélange des discours, rapportés ou non, La Bruyère

un sujet problématique, on peut se demander si le rôle de l'artiste est de transmettre un message hypothétique: l'art doit-il donc être moral? Longtemps vu comme un pêché par la religion, par exemple, il était interdit de représenter Dieu dans la religion chrétienne, on peut se demander si l'art doit être morale, autrement dit enseigner le bien et le mal. On peut ainsi voir les dangers, l'aspect en quelque sorte noir, de l'art, voué au mal. Par exemple dans l'œuvre littéraire « Tartuffe », écrit

registre polémique et pathétique Texte C : Jacques Prévert poésie engagée, met en évidence comment la misère, la faim peut conduire au crime Domaines d’application : la littérature en général, nécessite donc de recourir à des exemples variés Problématique : rôle de l’écrivain engagé et la force dénonciatrice des œuvres littéraires (injustices, inégalités,…) S’interroger sur la capacité, le pouvoir d’un écrivain à rendre une société meilleure Mots-clés : définir « amélioration de la société » :

l’indépendance qu’aux mécénats qui jugulent sa liberté d’expression. Ainsi, une argumentation trop implicite risque fort de nous échapper. Il en est de même pour certains écrits qui cherchent à provoquer à tout prix les sentiments du lecteur. Ainsi, dans  Tartuffe  de Molière, les passages comiques récurrents peuvent faire oublier le message que veut faire passer l’auteur, c’est à dire ici, la crique du faux dévot. Enfin, certaines formes littéraires, à trop suivre scrupuleusement les règles du genre, finissent