Problématique Prométhée

l'intermédiaire des poèmes écrits. Rimbaud ne se connait pas vraiment, il se découvre et apprend sur lui-même chaque jour. « Donc le poète est vraiment voleur de feu » Le feu fait partit de l'un des cinq éléments qui constitue la Terre. Prométhée, qui est un Titan de la mythologie grecque, est à l'origine de la conception de l'humanité. C'est lui qui à volé « le feu divin », après la victoire de Zeus sur sa famille, et il le donna aux hommes avec le savoir de la métallurgie et d'autres arts

un mélange de terre, de feu et de tout ce qui encore peut se combiner avec le feu et la terre. 5 Puis, quand ils voulurent les produire à la lumière, ils prescrivirent à Prométhée et à Epiméthée de les doter de qualités, en distribuant ces qualités à chacune de la façon convenable. Mais Épiméthée demande alors à Prométhée de lui laisser faire tout seul cette distribution: «Une fois la distribution faite par moi, dit-il, à toi de contrôler!» Là-dessus, ayant convaincu l’autre, le distributeur se

l’histoire de Prométhée, Pandore et Héphaïstos et le rapport avec la boite de Pandore et par la suite la raison de l’Esperance dans la boite de Pandore. Comme ouverture j’ai choisi de faire le rapprochement entre l’histoire de la boite de Pandore et la Chute d’Adam et Eve. I) L’histoire de Prométhée, Pandore et Héphaïstos Prométhée, qui signifie celui qui réfléchit avant ou aussi appelé le prévoyant, étais un titan (qui était la race ennemie des dieux), fils de Japet et de Thémis. Prométhée avait anticipé

les faiblesses de la propre nature de l’Homme l’aurait condamné. Le progrès technique est avant tout positif pour l’Homme car il lui a permit sa survie. Le Mythe de Prométhée illustre bien cette notion : l’Homme se retrouvant sans aucunes caractéristiques physiques pouvant lui permettre de survivre dans l’hostilité de la nature, Prométhée va voler alors le feu à Zeus qui est ici le symbole de la technique : il va être le moyen pour l’Homme de répondre à ses besoins de chaleur, il va être le moyen pour

Pour l’homme, pour cerner son essence, on pourrait partir de ce qui est donné par la nature , de ce qui est innée. I. le naturel comme inné : - peu d’instinct, des besoins vitaux, immaturité anatomique et biologique : schéma - mythe de Prométhée dans le Protagoras + Théogonie d’Hésiode : l’homme comme le plus mal loti des animaux, pas fini On se rend donc compte que l’homme se définit par une immaturité anatomique et biologique. Idée soulignée par la théorie moderne de la Néoténie mais

nature nous est hostile à de nombreux égards en ne nous donnant pas les conditions requises pour survivre. Le premier acte humain est à ce titre la maîtrise du feu, sans laquelle nous n'aurions pu perdurer. Ce n'est pas un hasard si le mythe de Prométhée raconte que l'espèce humaine a d'abord été oubliée dans la répartition des éléments naturels de la survie. Il n'y a pas qu'un jugement de valeur sur la technique, il y a aussi une description de ce en quoi elle consiste : parvenir avec peu de moyens

justifiée (jusqu’au 19ème siècle) par un objectif supérieur (progrès social, liberté). Mais ensuite cette exploitation n’a plus d’autre justification qu’elle-même (course sans limite après le profit). « Progrès pour le progrès ». Cf le « mythe de Prométhée » évoqué par Platon : Comment l’homme va t-il utiliser ce pouvoir que lui donne la technique ? Sera-t-il capable de ne l’utiliser qu’à bon escient ? 2 - Problème : Le sens de cette recherche Cette fascination pour le pouvoir, pour les moyens

les Hommes ont été contraints d’inventer, fabriquer des objets car la nature ne leur a pas donné ce qu’ils avaient besoin. Ils ont voulu par cela, devenir indépendants de cette nature qui se trouve en position d’hostilité avec eux. Le mythe de Prométhée de Platon explique que l'animal, lui est doté d'une protection contre cette hostilité du milieu naturel comme par exemple l’ours contre le froid a une peau forte, un pelage résistant et adapté, le lion est doté de longues canines, de griffes pour

être de culture il peut, dès qu’il est « en âge de raison », être le seul « juge des moyens propres à se conserver ». À la différence de l’animal, l’homme tire de lui-même les moyens de sa subsistance. Il n’a pas à la naissance, selon le mythe de Prométhée raconté dans Protagoras de Platon, les outils pour subvenir à ses besoins (crocs, griffes, fourrure…), mais invente par son intelligence des moyens techniques pour survivre. Dès lors il peut devenir son « propre maître ». En ce sens, l’homme n’est

dialogue autour de la vertu et de l’enseignement des sophistes 2.1 Scène introductive 2.2 La vertu peut-elle s’enseigner ? 2.2.1 Selon Socrate, la vertu ne peut s’enseigner à la manière des sophistes 2.2.2 Le Discours de Protagoras et le mythe de Prométhée 2.3 La vertu est-elle une fin en soi, ou comprend-elle des parties distinctes ? 2.4 Un intermède sur la poésie 2.5 Le courage est-il la seule partie de la vertu réellement distincte ? 3 Portée philosophique et historique 4 Notes et références