Processus thermodynamique

1 BILAN THERMIQUE POUR CHAMBRE FROIDE 1. APPORTS PAR LES PAROIS Q1 Dimensions intérieures de la chambre : - Longueur : m - Largeur : m - Hauteur : m - Volume : m3 Détermination du coefficient K : Méthode générale : ΦS = K . S . ∆Ѳ φ : puissance surfacique transmise (W) K : coefficient de transmission surfacique (W/m².K) S : surface intérieur (m²) ∆Ѳ : écart de température de part et d’autre de la paroi (K) K = 1 / RT avec RT = 1/ he + ∑(e/λ) + 1 / hi RT : résistance thermique

évaporateur : MR110 TP 4 : Détermination de la puissance frigorifique : 1) 2) 3) 4) Relever les paramètres de fonctionnement Tracer le diagramme enthalpique Tableau des points Puissance : évaporateur, condenseur, compresseur 5) Principe thermodynamique : Puissance évaporateur + Puissance Compresseur = Puissance condenseur 6) Puissance rejetée sur l’air au condenseur 7) Puissance absorbée par le compresseur 8) Puissance absorbée sur l’air à l’évaporateur TP 4 Page 1 sur 7 1°) Relevé

l’industrialiser, son invention n’obtiendra pas le succès escompté, en raison de sa trop faible puissance par rapport aux machines à vapeurs, due notamment au fait que son cycle thermodynamique n’avait pas encore été convenablement modélisé. Jusqu’au début du XXe siècle, et malgré les progrès de la thermodynamique, le moteur Stirling ne reste qu’un objet d’étude avec peu d’application pratique. 2 Premières applications concrètes En 1938, la société Philips crée un moteur Stirling

l’´nergie ` la source froide Q1 > 0 pour en donner a e a a ` la source chaude Q2 < 0. On rappelle ` cette occasion que les transferts ´nerg´tiques sont alg´bris´s du a e e e e point de vue du fluide qui circule dans la machine thermodynamique. Les deux principes de la Thermodynamique correspondent ` un bilan nul puisque la transformation est cyclique et id´ale (r´versible). On a donc : a e e W + Q1 + Q2 = 0 et Q1 T1 + Q2 T2 =0. 19. L’efficacit´ de la pompe ` chaleur est d´finie comme le rapport

effectués par le moteur par seconde, on obtient : P=W.(N/120000) avec P exprimé en kW si W est exprimé en Joules et N en tr/mn. A Wth, Wth th, Wi, We correspondent Pth, Pth th, Pi, Pe. 21 Les rendements Rendement thermodynamique théorique : L'étude du cycle thermodynamique théorique permet de l'exprimer en fonction du rapport volumétrique du moteur, et de γ, ainsi que du rapport volume au PMB/ volume en fin de combustion : cycle à combustion à volume constant (moteur à allumage commandé) :

différents éléments du moteur b. Les phases de fonctionnement du moteur c. Autres types de moteurs Stirling III. Analyse théorique a. Introduction à la thermodynamique b. Les transformations élémentaires c. Travail et Chaleur d. 1er principe de la thermodynamique e. 2ème principe de la thermodynamique f. Machines thermiques g. Calcul de rendement et de puissance h. Cycle de Carnot i. Cycle de Stirling IV. Avantages et inconvénients a. Les Avantages

sont en contact il s'établit l'équilibre de partage suivant pour A (figure 1) : Figure 1. Équilibre de partage d'un soluté A entre deux phases liquides non-miscibles (aqueuse et organique) Cet équilibre est caractérisé par une constante thermodynamique Kp appelée le coefficient de partage : Kp = [Aorg]/[Aaq][1]. L'extraction sera d'autant plus efficace que le coefficient de partage est grand, on choisit, lorsque cela est possible, un solvant d'extraction dans lequel le soluté est très soluble

Nathalie Van d e Wiele - Physique Sup PCSI - Lycée les Eucalyptus - Nice Série d’exercices 25 1 SERIE D’EXERCICES 25 : THERMODYNAMIQUE : PREMIER PRINCIPE Travail mécanique des forces extérieures de pression. Exercice 1 : cas d’un gaz. Soit une mole de gaz subissant une compression quasi statique et isotherme de ( P0 , T0 ) à ( 2 P0 , T0 ) . Donner l’expression du travail reçu par le gaz selon qu’il s’agit : 1. d’un gaz parfait (on exprimera W en fonction de T0 ); 2. d’un gaz de Van der Waals

| Master Chimie de Paris CentreSpécialité Ingénierie chimiqueNC882 Outils Numériques pour le Génie Chimique2010-2011 | Conception de réacteurs tubulaires catalytiques non isothermes Aspects technologiques et économiques. Eunice ANDONISSAMY, Ludovic CARREZ, Khaled NAZIR, Everton SIMOES VAN-DAL Résumé : La conception de réacteurs tubulaires réfrigérés se base sur l’étude de la géométrie du réacteur, de la perte de charge et des échanges de chaleurs. Ces trois paramètres sont interdépendants

Le maintien d’un équilibre thermique entre le corps humain et son environnement est une exigence de santé et de confort, c’est-à-dire de bien être .La zone d’équilibre dans laquelle ce confort est maintenu est étroite et dépend de nombreux paramètres personnels : • Résistance au climat • Vêtements ou d’environnement • Activité • Température de l’air • Hygrométrie • Rayonnement • Mouvement de l’air Le corps produit de la chaleur par  la « combustion » interne