Productivité primaire

l’on classe en 3 groupes : 1. Exigences de bases 2. Les Optimiseurs 3. Les facteurs d’Innovation et de Perfectionnement Ce qu’il faut retenir pour l’utilisation de l’IGC c’est qu’il existe de nombreux facteurs qui conditionnent la productivité et la compétitivité, aucun pilier n’est déterminant à lui seul, nous sommes dans une relation dynamique entre contextes et facteurs. L’IGC intègre les notions d’évolution et d’étapes de développement économique, c’est la raison pour laquelle

somme des emplois finals ( CF, FBCF, variation stock, solde commercial). -> Revenu par tête : le revenu par tête est le revenu national brut ( RNB ) divisé par le nombre d’habitants. On a donc enlevé au PIB les revenus primaires versés à l’étranger et ajouté les revenus primaires reçus de l’étranger. -> Population active: ensemble des personnes exerçant une activité rémunérée ( PAO ) et recherchant activement un emploi rémunéré ( chômeurs ). -> capital : différents sens : Au sens de la théorie

secteur primaire. Nourrir la population demande beaucoup de main-d’œuvre : il faut 25h à un homme pour moissonner un hectare de blé à la faux. En 1920, la faucheuse-lieuse (mécanisation), lui permet de le faire en une heure. En 1945, la moissonneuse-batteuse (motorisation) moissonne en moins d’une heure et bat. En 1970, seuls 10% de la PA travaillent dans le primaire. La mécanisation (vapeur), motorisation (essence), irrigation, engrais, et pesticides offrent une meilleure productivité (rendements

contraintes d’efficacité – efficience qui se traduisent par des objectifs à atteindre en terme de profitabilité, productivité et rentabilité. Profitabilité : capacité à gérer le profit – est essentiellement utilisé lorsque l’on compare le résultat de l’entreprise Productivité : Production et les facteurs de production ayant permis de l’obtenir ( ex : Productivité d’un salarié = Volume de P°/ effectif) Rentabilité économique = (Résultat brut d’E° / Actif économique)

secteurs économique principaux (Primaire : agricultures, secondaire : industrie : elle transf les matières première produit par le secteur primaire, puis tertiaire : service) Ces 3 secteurs permettent une évolution qualitative du secteur travail, grâce notamment à la formation. Cette formation est à la fois initiale et continue. Le niveau de diplôme et la durée des études à fortement augmenté. Pour mesurer l’efficacité du travail, il sera déterminé la productivité. Elle est évaluée en volume, en

somme des productions mais la somme des VA. PIB = Somme des VA brutes + TVA + Droits des douanes – Subventions = revenu total du pays = somme de tous les revenus primaires des acteurs économiques. Indicateur voisin : Revenu National Brut = PIB + Revenus primaires issus/reçus du reste du monde d’entreprises nationales – revenu primaire d’entreprises étrangères versés au reste du monde. . PIB Réel. Le PIB réel, volume ou en euros constants (valeurs calculées) ne prend pas en compte l’inflation

« Peut-on dire que le progrès technique est facteur de développement ? » Le progrès technique est l’ensemble des éléments qui permettent d’améliorer les méthodes de production et d’augmenter la productivité. Le progrès technique se manifeste par des changements de machines, des nouvelles organisations du travail. Le progrès technique est facteur de croissance. On étend la notion de progrès technique aux innovations. Le progrès technique résulte directement des innovations, de la mise en

bonnes âmes, invoquant la bascule du primaire vers le secondaire et le tertiaire, traitent avec désinvolture cette évolution. Ils prédisent un monde idéal ou des français tous polytechniciens concevront les produits que les fourmis chinoises produiront avec diligence... Mais cette analogie est stupide. L'emploi agricole a diminué non par délocalisation mais par gain de productivité. Quand l'emploi industriel diminue par automatisation ou gain de productivité, l'évolution n'est pas malsaine. Mais

Etude de la Productivité de l’Industrie Américaine, A travers le compte de surplus Introduction Les États-Unis sont la première puissance économique mondiale. Avec un produit intérieur brut (PIB) de 14 266 milliards de dollars en 2009, représentant environ un quart du PIB mondial, ceci malgré la crise économique que nous connaissons depuis 2008. Le questionnement sur les possibilités de reprise de la croissance économique à court terme dépendent des performances de long terme de l’économie

l'assurance chômage ont été enregistrées au premier trimestre 2009 selon les données diffusées par Pôle Emploi. Ces destructions sont en parties dût au développement du progrès technique dans notre économie, c'est à dire qu'il permet l'augmentation de la productivité du travail ce qui a pour conséquence immédiate de permettre d'utiliser moins de travailleurs pour produire plus. Et cela au détriment des salariés de plus en plus réticents à cette industrialisation qui se traduit par un fort taux de chômage qui