Productivité primaire

terme : XIX et XX Paupérisation car augmentation des prix, 1789 : « Révolution de la misère » ; car accumulation de mauvaises récoltes A) La révolution agricole en France au XVIII : mythe ou réalité ? Prépondérance, importance du secteur primaire (85% de la pop). Quesnay : la prospérité du royaume repose sur les progrès agricoles : condition de la prospérité des autres activités. Barioch : pop active : cause unique du take off de la croissance moderne. 1) Les obstacles du progrès

déterminent le niveau de productivité d’un pays". Pour rester compétitives, les économies doivent s’assurer qu’elles disposent des facteurs permettant l’amélioration de la productivité. Parmi les multiples déterminants qui influencent l'efficacité productive, "12 piliers" sont identifiés. On peut les classifier en 3 subindices: des exigences basiques, l'efficacité, l'innovation: Les institutionns; Les infrastructures ; L'environnement macroéconomique ; La santé et l'éducation primaire; L'enseignement

Théorie avantages comparatifs par Ricardo Il ressort l’impasse de la théorie de Smith en montrant que chaque nation doit se spécialiser dans les productions dans lesquelles elle connait le moindre des avantage, pour lesquelles elle dispose de la productivité la plus forte ou la moins faible vis-à-vis de ses partenaires. Cette production est celle pour laquelle elle détient un avantage « comparatif » lui permettant d’accroitre la richesse nationale. Un avantage comparatif est donc un avantage obtenu

mouvement des marchandises : les leurs importations (augmentation des exportations des PVD et possibilité d'importer les technologies les plus efficaces ) ; – par les prix (croissance de la productivité des PDEM, donc diminution des coûts de production et des prix. Les PVD bénéficient des gains de productivité des PDEM, grâce à des importations moins chères) ; – par les mouvements de capitaux (épargne abondante dans les PDEM, qui se dirige vers les PVD où les taux de profit potentiels sont élevés)

B) Une transformation économique tardive, silencieuse et efficaces. 1952 – 1972 : Révolution silencieuse effondrement du primaire, explosion du tertiaire et lente progression du secondaire. Stagnation du nombre d’actifs, faible progression des -20 ans peu actifs (1959 : école obligatoire jusqu’à 16 ans). Urbanisation redessinée avec l’effondrement du secteur primaire. C) Un cadre de vie transformé. Fort exode rural + immigration familiale + retour de la population des colonies => croissance

organisationnels. La fin du fordisme Croissance vigoureuse et chômage bas ont façonné nos système de retraites et le fonctionnement du marché du travail. Le miracle d’une régulation dites fordistes= gains de productivité + hausses des salaires Au XIXe, le progrès des techniques et de la productivité étaient toujours en avance sur ceux des salaires, créant toujours un climat de surproduction. La consommation était toujours au dessus de l’offre potentielle, ce dont témoigne la baisse des prix au cours

bien que le pays importe déjà plus de 10 millions de tonnes de nourriture cette même année. Les techniques d’exploitation agricole ne sont pas bien utilisées par les paysans ce qui explique que le secteur primaire ne parvient pas à répondre à la demande trop élevée. Afin d’améliorer la productivité du pays en matière agricole, le gouvernement indien décide de mettre en place une révolution agraire. Le projet de la « Révolution Verte » est principalement mis en place et coordonné par M.S. Swaminathan

sont à la recherche d’un travail. Elle est divisée en trois catégories qui correspondent aux trois branches de l’économie : le secteur primaire (ensemble des activités liés à l’exploitation des ressources naturelles), le secteur secondaire (industrie), le secteur tertiaire (services). Etude de cas : La population active en France depuis 1850 1) Le secteur primaire est l’ensemble des activités liées à l’exploitation des ressources naturelles, le secteur secondaire concerne l’industrie et le secteur

mondiale : A elle seule, elle est à l’origine de 20% des investissements à l’étranger (Russie ; la chine, l’empire ottoman) • limite : -Le secteur primaire reste dominant (environ 40%) -La France concurrence difficilement l’Angleterre et l’Allemagne  modernisation incomplète. -Le secteur primaire reste traditionnel c-a-d peu mécanisé peu productivité et de rendement.  Production ne suffit pas à la consommation  importation  pas autosuffisance  industrialisation inégales : (schéma)

d’affaire et le capital social sont les indicateurs les plus représentatifs. ( Renaud est une entreprise privée, elle n’a pas le droit de recevoir des ordres de l’état ). Les entreprises de grande taille créent plus de richesses par salariés ( productivité) car elles ont plus de moyens ( plus de machines donc plus mécanisés). Les entreprises françaises sont peu présentent dans les groupes à taille moyenne. Ce qui a pour conséquence d’handicaper notre compétitivité à l’international. Cela peut être