Professions et catégories socioprofessionnelles en France

société”. Classes moyennes = combinaison d’un “noyau dur” de catégories sociales bien établies socialement et “de périphéries plus lointaines et mouvantes”. Frontières de ces classes sont floues mais constitution de ce “noyau central” peut difficilement être contestée selon lui : petit patronat + salariat intermédiaire (professions intermédiaires) = groupe social composé de groupes sociaux très divers. Néanmoins, ces catégories sociales partagent des traits sociologiques sources d’unité : détention

sont hiérarchisés et entretiennent des rapports antagonistes.  Au sens étroit, la stratification consiste à graduer de façon régulière les individus dans une échelle sociale en fonction de d'un ou plusieurs critères simples comme le revenu, la profession, le pouvoir ou encore le prestige. Dans ce cas, on insiste plus sur la continuité que les oppositions. Dans la conception américaine, on observe la superposition des classes sans insister sur leurs relations. Groupes sociaux différenciés

(quotas, rendre les concours moins discriminant socialement...). C’est ce que vont dénoncer les sociologues français Daniel Bertaux (« Destins personnels et structure de classe » - 1977), Christian Baudelot et Roger Establet (« L’école capitaliste en France » 1971 – et « L’élitisme républicain. L’école française à l’épreuve des comparaisons internationales » - 2009) et Pierre Bourdieu (« Les héritiers » - 1964 – et « La reproduction » - 1970) en montrant :   Qu’une meilleure circulation des individus

[pic] [pic] FICHE DE LECTURE : « LES CONDITIONS DE TRAVAIL », de Serge VOLKOFF et Michel GOLLAC Année scolaire: 2009- 2010 Le jeudi 15 Octobre 2009, un salarié de France Telecom se donne la mort. Mais il n’est pas le premier à commettre cet acte, mais pourquoi cela? Qu’est ce qui pourrait expliquer un tel phénomène ? Les conditions de travail des salariés en seraient-elles la raison ? Plusieurs ergonomes et chercheurs se sont penchés sur le sujet notamment

l'existence des classes que nous mènerons dans un prochain chapitre. Dans un premier temps, nous allons étudier les moyens de mesure de la mobilité sociale - ce qu'on appelle les tables de mobilité. Ensuite, nous analyserons la mobilité sociale en France, puis nous étudierons les facteurs de la mobilité - ce qui cause, ou permet la mobilité sociale. Pour finir, nous présenterons deux débats autour de la mobilité sociale : le premier portera sur le rôle que joue l'école dans la mobilité, le second

11,6 1 015 14,6 21 0,3 103 1,5 0 à 19 ans 1 139 17,6 1 153 16,6 20 à 64 ans 3 583 55,3 3 781 54,3 65 ans ou plus 1 762 27,2 2 023 29,1 0 à 14 ans 90 ans ou plus 2009 Un autre logement de la même commune Une autre région de France métropolitaine 12 8 4 0 0-14 ans 15-29 ans 1999 30-44 ans 45-59 ans 60-74 ans 75 ans ou + 2009 % Données non disponibles suite à changement de questionnaire Le même logement Un autre département de la même région 16 POP G3 - Part en

premier emploi et le salaire mensuel net actuel Conclusion Bibliographie Annexe Introduction Au 1er janvier 2005, on comptait près de 5 millions d’immigrés en France soit 8.2% de la population totale selon les chiffres de l’Insee. Historiquement, l’immigration était fortement liée aux besoins économiques. Pour la France, un pays d’accueil de l’après guerre (entre 1945-74), elle venait résoudre le manque de main d’œuvre dont souffrait le pays pour la reconstruction. Au cours des années

auparavant 1 359 30 25 20 15 10 5 0 5-14 ans 15-24 ans 25-54 ans 55 ans ou + Le même logement Un autre logement de la même commune Une autre commune du même département Un autre département de la même région Une autre région de France métropolitaine Un Dom Hors de France métropolitaine ou d'un Dom 865 173 129 17 167 1 7 63,6 12,7 9,5 1,3 12,3 0,1 0,5 Dans un autre logement de la même commune Dans une autre commune Source : Insee, RP2007 exploitation principale. RP : Recensement de la

1. D’après l’INSEE en 2003, il y avait en France 27 054 000 personnes actives. 2. Part en % des exploitants agricoles hommes : Nb d’agriculteurs exploitants Hommes / Total des actifs Hommes x 100 = 3,5 % Sur 100 hommes actifs, 3,5 sont des agriculteurs exploitants, en 2003 selon l’INSEE. Femmes : - catégorie 1 = 1,9 % - catégorie 2 = 3,8 % - catégorie 3 = 10 % - catégorie 4 = 22,8 % - catégorie 5 = 47,8 - catégorie 6 = 10,9 % - catégorie 7 = 2,8 % 4. Employés (secteur tertiaire,

selon l'âge 2009 % Personne de 5 ans ou plus habitant 5 ans auparavant : Le même logement Un autre logement de la même commune Une autre commune du même département Un autre département de la même région Une autre région de France métropolitaine Un DOM Hors de France métropolitaine ou d'un DOM Données non disponibles suite à changement de questionnaire Données non disponibles suite à changement de questionnaire Source : Insee, RP2009 exploitation principale. RP : Recensement de la population