Properce

hante l'esprit de tous ceux qui doivent partir en mer et Cicéron, poursuivi par les tueurs d'Antoine, préfère mourir sur le rivage plutôt que s'embarquer par mauvais temps. « C'est l'argent qui envoie les hommes « toutes voiles dehors » dit encore Properce dans les Élégies.Au IIIè s av JC cependant, les Romains, ne se contentant plus de la péninsule italienne, voulurent posséder la Sicile et la Sardaigne : il leur fallut prendre la mer pour combattre les Carthaginois, qui avaient établi

Caius Cilnius Maecenas. Chevalier romain, ami personnel de l’empereur Auguste, il encouragea les sciences, les lettres et les arts de la « Rome Antique » au 1er siècle avant J.C, notamment en aidant les poètes de l’époque comme Horace, Virgile et Properce. Petit à petit, le terme mécénat s’est démocratisé. A chaque période de l’histoire, on voit se développer des mécènes ou des actes de mécénat. Faisant partie de la pratique artistique depuis toujours, le mécénat s’est progressivement élargi pour

(de l’ordre équestre) et s’instruit en allant notamment à Athènes et en étudiant la rhétorique à Rome. Il entame une carrière juridique mais finit par l’arrêter pour commencer une carrière de poète. Il fréquente déjà les poètes HORACE, TIBULLE, et PROPERCE et à l’âge de 24 ans, il inaugure sa carrière par les Amours dédié à sa muse Corinne (pseudonyme donné à une Hétaïre amante d’OVIDE). Il est déjà reconnu comme l’un des plus grands auteurs du Principat d’Auguste et est choisi

après JC), protecteur des arts et des lettres dans la Rome antique. En effet, grâce à sa fortune, il a pu renoncer à une carrière politique pour se consacrer à sa passion équestre. Pour beaucoup d’artistes et de lettrés tels qu’Horace, Virgile et Properce, des poètes, Caius Cilnius Maecenas fut un soutien et un protecteur. Montaigne le fit connaître sous le nom de Mécénas et depuis, le terme « mécène » reste attaché à son action, c'est-à-dire, l’apport d’aides financières. L'âge d'or du mécénat surgit

il sort à chaque fois vainqueurs, et donc, déjoue les pièges du Dieu, Poséidon. Au delà de s’avérer être plus fort et plus intelligent qu'un Dieu en déjouant ses pièges, il retrouvera sa femme, « deux fois dix ans » après, comme dirait le poète Properce, et puis son chien. La présence de son chien peut être anecdotique, mais, d'une certaine façon, on peut voir en cela qu'Ulysse n'a absolument rien perdu par apport à sa vie avant la guerre. Ulysse, dans l'Odyssée, maitrise donc son destin, malgré

rattache alors a une tradition, celle où le dépit de l'amant s'exprime par une forme à la fois sadique et dérisoire de la malédiction, et par la satisfaction ou le souhait de voir la dame vieillie. Un thème traité dans l'antiquité par Horace et par Properce et plus tard par Villon , Desportes ... Nous allons voir comment Ronsard, dans ce sonnet, modifie ces données traditionnelles dans une perspective philosophique. Pour cela, nous regarderons dans un premier temps en quoi Ronsard, s'écarte du portrait

procréatrice de 2 êtres. C’est aussi le côté badin et frivole qui s’oppose au sérieux (si les armes peuvent être sérieuses) : Virgile commence une Eneide très sérieuse et convenable, mais l’élégie romaine est légère, fragile et délicate avec Ovide, Properce et Tibulle (cela se voit dans le schéma de scansion beaucoup moins monotone et répétitif que l’ancien sérieux). Mais on voit que le vocabulaire est encore fort usité pour les choses de l’amour. Vénus amène la civilisation, le plaisir qui nous différencie

substantif mécénat vient du nom Caius Cilnius Maecenas, riche chevalier romain, ministre de l’empereur August, durant le 1er siècle avant Jésus Christ. Il fut fort connu pour avoir aidé de son vivant les gens de lettres, les poètes Vigiles, Horace, Properce entre autres. Il se trouve attaché à la notion du don, avec son côté prestigieux et très protecteur. Etymologiquement, un mécène est quelqu’un qui consacre librement une part de sa vie et de ses moyens et la protection et à l’épanouissement de la

permirent de retrouver quelques textes majeurs tombés dans l'oubli. C'est à Liège qu'il découvrit le Pro Archia de Cicéron et à Vérone,Ad Atticum, Ad Quintum et Ad Brutum du mêmeN 31. Un séjour à Paris lui permit de retrouver les poèmes élégiaques de Properce. En 1350, la révélation de Quintilien marqua, aux dires du poète, son renoncement définitif aux plaisirs des sens. Dans un souci constant de restituer le texte le plus authentique, il soumit ces manuscrits à un minutieux travail philologique et

ainsi que leurs pourcentages respectifs dans son œuvre entière, des commentaires sur la Genèse à ceux sur l’Apocalypse. Poètes Virgile Ovide Horace Sénèque Claudien Prudence Martial Juvénal Boèce Lucain Ausone Silius Italicus Stace Homère Tibulle Properce Lucrèce Manilius Fortunat Catulle Perse Total Nombre de vers cités 1345 908 519 282 281 266 251 202 164 160 121 76 67 55 55 49 40 32 32 25 20 4.948 Pourcentage dans l'œuvre de Cornelius 27,20 18,30 10,50 5,70 5,68 5,35 5,10 4,10 3,30 3,25 2