Protagoras Vérité

La vérité I) Comment distinguer le vrai du faux ? Il y a t-il un critère pour distinguer exactement quand nous sommes dans le vrai et quand nous sommes n'y sommes pas ? À quel repère faut il se référer ? a) le vrai est ce qui est conforme à la vérité « Réel » et « irréel » qualifie des chose tandis que « vrai » et « faux »qualifient des jugement qu'on porte sur les chose. Ex : le soleil n'est ni vrai ni faux il est réel;tandis qu'est faux c'est l'affirmation « les soleil est mouvant ». La

lui-même après d’être perdu en cela même qui le nie. Ce qui nie l’esprit, c’est en premier lieu le monde matériel, tel qu’il se donne à l’esprit dans sa forme immédiate, celle du monde sensible ou phénoménal. L’artiste cherche ainsi à objectiver la vérité subjective de l’esprit qu’il ressent en lui-même, sous la forme de l’œuvre d’art, qui dédouble l’esprit en lui renvoyant en quelque sorte un reflet de lui-même dans le monde matériel, qui est le non-esprit, mais une matière spiritualisée par le travail

nous plaît davantage, par exemple, parce qu'elle nous procure plus de plaisir. Même  l'affirmation que le plaisir est le seul bien et la douleur le seul mal implique qu'on s'en détache pour les confronter à la norme du bien. C'est ainsi que dans le Protagoras, Socrate, bien qu'il adopte, provisoirement, la perspective hédoniste, oppose à la sensation du moment une arithmétique des plaisirs qui est une œuvre de la pensée. Ainsi, une conduite agréable sera jugée mauvaise par les douleurs qu'elle entraîne

juger. Comment concilier, alors, la critique de l’opinion avec la reconnaissance de sa liberté ? A quoi sert-il de défendre un droit qui par le mépris est sans cesse bafoué ? Se défier des opinions privées, n’est-ce pas souterrainement se réserver la vérité ? Si pourtant l’opinion est hâtive, si les avis sont précipités, c’est qu’ils ne sont pas privés. La limite de l’opinion n’est pas qu’elle soit personnelle, mais impersonnelle. L’opinion, loin d’être subjective, est souvent partagée. C’est un écho

dissertation : « Toute vérité est-elle relative ? » Clara Garnier TS1 La question « toute vérité est-elle relative ? » suggère tout d’abord que la vérité n’est pas universelle : il existerait des vérités propres à chacun, propres à chaque culture et à chaque époque. Cependant, cette hypothèse est contraire à l’opinion commune puisque par vérité nous entendons tout d’abord quelque chose d’absolu, qui n’a rien de relatif. L’opinion commune suggère en effet qu’une vérité doit être en adéquation

les pré-socratique qui essaieront de convaincre par un discours rational ils seront à la recherche de la vérité. Ils tournent le dos à la Mythologie. ( Thales, Anaxagore, Héraclité … ) Socrate sera concidérait comme le premier penseur, le premier philosophe. Il sera investi d’une mission : Faire la chasse a tout ceux qui se prétendent sophos. Et surtout aux sophistes. ( Gorgias, Protagoras … ) 1er caractéristique : Poser la question « qu’est ce que ? » Toujours partir d’un étonnement. La

A - La sophistique : Certes, une bonne façon de s’assurer que l’autre reçoit nos paroles sans les déformer est de le manipuler, il se conformera alors à mes paroles. Ici on peut aborder l’idée que « L’homme est la mesure de toutes choses » (Protagoras : discours fort et discours faible). Puis montrer la limite de la rhétorique avec le disciple de Corax qui refuse de le payer sous prétexte qu’il aurait promis de pouvoir persuader n’importe qui de n’importe quoi. B- La rhétorique au sens positif

d’accoucher les esprits. Il questionnait les gens sur les choses pour découvrir la vérité puisque il prétendait ne rien savoir : « Je ne sais qu’une chose c’est que je ne sais rien ». En effet, pour lui l’ignorance est la condition pour philosopher, pour éviter le dogmatisme (être certain d’avoir la vérité). Socrate cherche à libérer les esprits des croyances, c’est un médiateur pour favoriser l’accès à la vérité. Pour celui-ci, la philosophie n’est pas un ensemble figé de théories mais une pensée

sceptique oppose au dogmatique. Suspension du jugement active et définitive. Suspension de l’assentiment (=le donné fait que l’on assenti à des données mais pour autant je ne produis pas de vérité générale). Les sceptiques proviennent des relativistes (Protagoras fragment b2) : un radicalisme de la vérité qui ne peut pas se contenter de probabilités. Pyrrhonisme = scepticisme. 2/ Doute méthodique Doute cartésien. Il est radical. Il n’y a pas d’intermédiaire entre le vrai et le faux, il est

sens l'art rend visible en introduisant la question de l’Être à partir de la lecture du mythe de Prométhée et d’Épiméthée. Cela nous permettra de comprendre que l'art divise le visible, le fait différer de soi infiniment. Cela nous permettra que la vérité du visible échappe à la logique de l'identité. Enfin dans un dernier moment nous interrogerons ce que signifie voir avec Henri Matisse. Ce dernier geste de pensée nous donnera à penser qu'avec l’œuvre d'art s'annonce infiniment le jour la lumière