Protection A Priori Du Consentement

INTRODUCTION GENERALE L’obligation renvois à beaucoup de langages de la vie courante, (la dette, les devoirs) à l’idée de contrainte, autant de notions qui sont proches ou qui paraissent proches et qui est nécessaire de distinguer les unes des autres afin de définir ce qu’est le droit des obligations. SECTION 1 : LA DEFINITION ET LES SOURCES DE L’OBLIGATION I.La notion d’obligation A.La définition 1.La conception moniste de l’obligation Classiquement, l’obligation est définie comme un lien

excellent pour voir comment évolue la sté CAD on comprend cette dernière à travers les dispositions de droit pénal et de DPS. Q° récurrente => est ce que le DPS c'est la matérialisation de notre moral CAD est ce que tout les comportements considérés par la sté comme immoraux, illicite font l'objet de condamnation pénal ? Le fait de ne pas payer ses dettes n'est pas considéré comme une infraction au sens pénal par ex => Il y a toujours cette jonction entre moral ou non. On est véritablement sur un

Le fait familial. A- Les multiples visages de la famille Exemple : loi sur le mariage homosexuel, définition même débattue Il n’existe pas de définition de la famille dans le Code civil en tant que telle, et il existe encore moins de définition générale.  Aucune définition juridique de la famille dans les textes ou la jurisprudence. 1- L’histoire de la famille a- Evolutions La famille a subi des mutations : en Occident, il y a une tendance  à une diminution et à un rétrécissement relations

 par  le  droit  des  contrats.  Le  droit   des  contrats  appartient  au  droit  civil.  On  va  étudier  les  règles  applicables  à  l ensemble  des  contrats  de   droit  privé.  Certains  contrats  sont  soumis  en  plus  de  ces  règles  générales  à  des  conditions  particulières   spécifiques  à  chacun  d entre  eux.  Exemple  :  comme  la  vente  où  il  y  a  des  règles  en  plus  des  règles   générales  qui  concernent  tous  les  contrats.  La  partie  qui  s intéresse  aux  règles  particulières

doit s’abstenir d’agir. L’obligation présente 2 aspects, des effets miroirs, un aspect actif & passif : Actif : du côté créancier, l’obligation a un nom particulier elle est appelée créance. Cette créance c’est la faculté qu’a le créancier d’exiger du débiteur l’exécution de la prestation ou justement l’abstention. Passif : côté débiteur, l’obligation a aussi un nom particulier, elle est appelée dette, et cette dette c’est le devoir qu’a le débiteur d’exécuter la prestation ou au contraire de s’abstenir

existe deux grands types de filiation, la filiation par le sang et la filiation adoptive. La filiation peut être paternelle ( le lien de droit établie vis à vis du père) , maternelle ou bien l'un des deux seulement. Elle pouvait être légitime c'est-à-dire enfant conçu dans le cadre légale du mariage, ou naturel, ors mariage. Cette distinction a été supprimé. Seule subsiste la distinction avec enfant incestueux (enfant né d'une union interdite) partie 1 : filiation par le sang reforme 4 juillet

Dissertation : « La vente d’un bien indivis par un indivisaire seul » La propriété collective a longtemps connu une défaveur en droit français rappelant la propriété divisée sous l’Ancien Régime. C’est pourquoi les rédacteurs du code Civil en avaient une vision négative pensant que la jouissance optimale du bien résultait d’une jouissance exclusive et ne faisaient que tolérer de rares hypothèses de propriété collective comme,par exemple, le régime de l’indivision. En effet, l’indivision s’analyse

patient ou du contrat hospitalier de ce dernier avec l'établissement de santé, il est exigé un consentement des deux parties et notamment du patient à l'acte médical. Sans que la loi précise expressément les modalités de ce consentement (hors cas particuliers relatifs à certains actes délicats), elle lui impose toutefois deux caractère, à savoir qu'il soit libre (non obtenu par la contrainte et renouvelé à chaque nouvel acte médical) et éclairé (que le patient ait été informé de façon claire, loyale

y produisent une antinomie mais y a-t-il incompatibilité quand on constate le tour de force métaphysique de la religion et le coup de foudre théologique de la philosophie. CROYANCE ET RAISON a) la signification de la croyance : on croit à ... en termes de vérité et de savoir comme tenu pour vrai, on croit que ... par intime persuasion, on croit en ... pour valoriser. On passe ainsi de l'opinion plus ou moins fondée comme conjecture à la conviction et à un engagement qui nous implique.

contente pas de présenter les lieux où est contenu le droit mais qui s’intéresse à la finalité du droit. Cette conception substantielle nous vient des philosophes grecs (Aristote « Le droit c’est attribuer à chacun le sien »). Cette définition d’Aristote a été reprise in extenso par les jurisconsultes romains. Dans les premiers passages du Digeste, les jurisconsultes ont défini ainsi le droit comme l’art d’attribuer à chacun le sien. Cette définition peut-être détaillée en prenant chacun des éléments