Prénotions

aussi
 très
 particulier,
 et
 que
 ces
 deux
 éléments
 participent
à
créer
une
situation
exceptionnelle.

 
 ‐
 Enfin,
 la
 diffusion
 du
 savoir
 scientifique
 dans
 la
 population
 générale
 entraîne
 un
 troisième
 ordre
 de
 phénomènes
:
 les
 prénotions
 spontanées
 savantes.
 Qu’il
 s’agisse
 de
 la
 sociologie,
 de
 l’économie,
 de
 la
 psychologie,
 de
 l’histoire,
 etc…
 leurs
 principaux
 travaux
 et
 résultats
(au
sens
médiatique)
ont
fait
l’objet
d’une
diffusion
qui
garantit
leur
présence
dans


les SS, il y a toujours une interprétation des faits sociaux. On est dans les préjugés. Pour les SS ce qui est très important c’est de mettre à distance ce que Durkheim appelait les prénotions. C’est-à-dire « Des représentations schématiques et sommaires qui sont formés par la pratique et pour la pratique ». Ces prénotions entretiennent le maintien de l’ordre social établi. Bachelard « Quand il se présente à la culture scientifique l’esprit n’est pas jeune. Il est même très vieux il a l’âge de ses préjugés

la socio. soit reconnut comme science. Et pour cela, le premier point de départ est de rejeter les prénotions ( = conception stéréotypé de quelque chose, cela renvoit aux idées / concepts que l'on a spontanément et qui nous laisse penser que l'on a accès à une connaissance immédiate, concepts pas précis, il les définits également comme des fausses évidences qui dominent l'esprit ). Dans ces prénotions il y a tout ce qui est considéré comme anormal, car la normalité souvent repose sur des régularités

sont lointains car notre manière d’appréhender les phénomènes sociaux est toujours marqué par un savoir spontané car Durkheim appelle les pré notions des idées pré conçues. Prénotion « représentations schématiques et sommaires » qui sont « formées par la pratique et pour la pratique » et le plus embêtant c’est que ces prénotions exercent une autorité sociale c’est-à-dire qu’elle remplisse une fonction de maintien de l’ordre social. La démarche scientifique utilise cette rupture avec le tronc commun

sont plus subtils, donc ils émettent des simulacres plus subtils qui ne peuvent être perçus par les yeux, mais par l’esprit. Ensuite Epicure critique la conception de la foule en opposant « présomptions fausses » (opinion) et « prénotion » (concept inné). Il se défend également d’impiété en disant que la foule se trompe de concept et que lui-même n’est pas athée. La foule commet une erreur avec son anthropomorphisme, car selon Epicure les dieux vivraient dans un « inter-monde »

pratiques tout en sortant des sens communs. Les réponses ne sont pas totales ou passionnées. Il doit essayer d’analyser les prénotions sur le monde social. Les prénotions sont dans un sens des obstacles à la connaissance du monde social. Ce que fait Bourdieu fait dans La distinction, ce sont des jugements de goûts. Pour faire une analyse du monde social, il faut avoir purifié ses prénotions. Travail du sociologue sur lui-même. Comme Gilles Deleuze, il dit que la psychanalyse est enfermée et empêche de voir

de l'individu. Francis Bacon (1561-1626) Livre : Novum organum (1620) Livre : La nouvelle Atlantide (1627); utopie scientifique. Bacon met en garde contre les idoles, ces idées toutes faites, ces a priori que Durkheim reprendra sous le terme de «prénotions». Bacon pose les principes de la démarche scientifique : empirisme + rationalisme. • • • • René Descartes (1596-1650) et le doute pour atteindre la vérité; incapable de s'affranchir de Dieu donnant une «chiquenaude» pour mettre le monde en

les événements de 1945, et s’oppose à la politique nucléaire mené par son gouvernement. Malgré tout le nucléaire semble de plus en plus essentiel, et a donc besoin, en plus d’important capitaux, d’un véritable consensus public. Les opinions et prénotions évoluent dans beaucoup de pays. En France depuis 1974 et le lancement du programme nucléaire d’envergure mené par EDF sous la demande du gouvernement de l’époque, l’énergie nucléaire est partiellement rentrée dans les mœurs. Mais de nombreux groupes

s’apparenter de plus en plus à celle du recueil des données qui s’y réfèrent. Le monde vécu structure inéluctablement notre pensée, reste, pour s'en défaire, à en prendre conscience. Il ressort des influences du monde vécu qu'on a tendance à avoir des prénotions qui guident notre perception des sujets à objectiver. La situation que nous connaissons se caractérise de manière paradoxale par la sécurité d’un côté et celle des risques de l’autre. On n’en a des exemples significatifs dans l’évolution du travail

Objectivité- Objectivation- Objectivisme L’idéal de tout discours scientifique est la production d’une connaissance objective contre les idées reçues, les impressions, les jugements normatifs et les opinions. L’objectivité repose sur l’abandon des prénotions et sur la soumission au verdict des faits. L’objectivité n’est jamais donnée. Elle constitue un idéal que l’on cherche à atteindre en évitant le piège de l’objectivisme au prix d’un effort incessant d’objectivation. Pour Max WEBER, les valeurs