Président élu Au Suffrage Universel Direct

France | * | | L'élection présidentielle en France détermine la personne qui sera désignée président de la République pour un mandat de cinq ans contre sept auparavant. Ce mandat est souvent appelé quinquennat depuis 2002. Auparavant, il s'agissait d'un septennat, c'est-à-dire un mandat de sept ans. Le premier président français fut Louis-Napoléon Bonaparte et fut le plus jeune président français (40 ans). L'élection de 2002 s'est tenue les 21 avril et 5 mai 2002 ; celle de 2007 les 22

qualifié le président de la Vème République comme étant un « monarque républicain ». L’idée de monarque républicain résulte des changements de statuts du Président de la République entre la Constitution de la 4ème et de la 5ème République. La constitution de 1958 : Tout d’abord, la constitution de 1958 institue l’idée d’un Président de la République à la personnalité forte. De plus il acquiert une plus haute légitimité de la part des citoyens de par son élection au suffrage universel direct à deux

compétences prises à la majorité qualifiée (politique fiscale européenne, politique sociale). Rapprochement de l’UE et du fédéral: -Il existe un parlement européen qui intervient pour élaborer les règles communautaires et ce parlement est élu au suffrage universel direct par l’ensemble de la population. -Certaines décisions sont prises à la majorité qualifiée dans certains domaines de compétences, c’est un élément d’intégration. Il existe une cour de justice des communautés européennes indépendantes

générale – politique et institutions françaises n°2 · Organiser un référendum est du pouvoir du Président de la République · Une motion de censure peut être déposée par les députés · Un jury d’assises pour majeurs est composé de 9 jurés· Le Président de la République peut dissoudre l’Assemblée Nationale · Dans la Constitution de la 4ème République, le pouvoir exécutif était surtout détenu par le Président du Conseil · Le mandat de sénateur est compatible avec (pas grand-chose vu que aucune bonne réponse)·

de consolider le texte de la nouvelle constitution. Sous la V ème république il est impossible de réviser le texte constitutionnel pendant l'intérim de la présidence, c'est le cas où un président de la république décède. Avant que soit organisé de nouvelle élection, l'intérim présidentiel est assuré par le président du sénat. La constitution de la Vème république si elle devait être révisée cette révision ne peut en aucun cas porter atteinte à la forme républicaine du gouvernement et des institution

Monarchie républicaine dans la mesure où elle admet une certaine domination de l'institution présidentielle, en partie consacré par le Gaullisme. Effectivement, la Vème république a très vite permis au président de monopoliser une partie importante des pouvoirs. D'une part il n'est point désginé mais élu et d'autre part il ne peut être renversé, ce qui lui laisse une marge de manoeuvre assez large. Ensuite il peut dissoudre le Parlement quand bon lui semble ce qui signifie que son pouvoir est largement

l’exercice» (art.3). Le vote est l’expression de la souveraineté. La Constitution prévoit que «le suffrage peut être direct ou indirect» et qu’il est «toujours universel, égal et secret» (art.3). Le rôle des partis et groupements politiques, dans la formation démocratique de l’opinion et dans le fonctionnement des institutions, est aussi expressément reconnu. Ils « concourent à l’expression du suffrage » (art.4). Leur rôle a été conforté avec la révision de juillet 2008 qui complète l’article 4 en

GLOSSAIRE de droit constitutionnel ALTERNANCE~ Se dit d’un changement de majorité au pouvoir résultant d’élections – ordinaires ou anticipées - au suffrage universel direct : l’opposition devient majorité à l’Assemblée Nationale et/ou son candidat à la présidence de la République est élu ; la majorité parlementaire sortante devient l’opposition. Sous la V° République, les alternances successives attestent depuis 1981 de la vitalité de la démocratie, mais manifestent aussi une crise de confiance

le 27 aout 1958, Michel Debré, 1er ministre du Général De Gaulle a déclaré que le président de la république « est la clef de voute » de notre régime parlementaire. Ce dernier confirme ici le projet du Générale De Gaulle, Premier président de la Vème république pour la Constitution de 1958 qu’il a en parti exposé lors de son discours à Bayeux le 16 Juin 1946. Effectivement, De Gaulle est favorable à un Président de la République omniprésent, omni compétant, irresponsable politiquement et détenant

législatif sont complètement séparé et n'ont aucun moyen d'action l'un sur l'autre (pas de "tu me renverse, je te dissous"), c'est à dire pas de moyen d'action réciproque comme en ont , en France, l'assemblé sur le gouvernement (motion de censure) et le président sur l'assemblé (droit de dissolution) La séparation des pouvoirs a été, pour l'essentiel, théorisée par Locke et Montesquieu, mais de manière bien différente de ce que l'on conceptualise aujourd'hui. En effet, les philosophes des Lumières ne concevaient