Présidentialiste

qui n'ont pas adopté ce type de régime. Depuis 1814, sauf pendant de courtes périodes, la régime parlementaire a toujours été pratiqué par la France, bien que la Ve République ait connu de 1981 à 2002 une alternance régulière entre le régime présidentialiste et le régime parlementaire( en période de cohabitation). Ce régime apparaît bien souvent comme inscrit dans une continuité historique et dans un contexte bien particulier. Ainsi Pierre Pactet ira jusqu'à dire qu'il résulte de «l'enchaînement

traditionnelles que marque la Vème République, quel genre de régime politique instaure-t-elle en donnant ces pouvoirs au chef de l'Etat. Nous étudierons les prérogatives présidentielles caractéristiques d'un régime parlementaire (I), puis le caractère présidentialiste du régime à travers une vision du Président de la République en tant que « clé de voute » du régime, caractérisée par les pouvoirs dits propres (II). I) Les aspects parlementaires à travers les pouvoirs « traditionnelles ». Le régime

refusé d'y siéger car il considérait que ses activitées politiques étaient en contradiction avec la qualité de membre du conseil,mais il est revenu sur ses idées à partir de 2004. Notons,que cette présence est en contradiction avec la pratique présidentialiste des institutions. De plus, tout en siégant,les anciens présidents sont enclins à transgresser le devoir de réserve qui incombe à tout membre de la Haute Instance comme l'a fait V.Giscard d'Estaing, surtout pendant la campagne référendaire de

développées à partir du XVIIIe siècle sont plutôt fondées sur la manière dont le pouvoir est exercé. S'appuyant sur les idées de Montesquieu, on a ainsi pu distinguer : les régimes de confusion des pouvoirs : * au profit de l'exécutif : régime présidentialiste, dictature * au profit du législatif : régime conventionnel ou régime d'Assemblée (ex: la Terreur en France 1793-1794) I. LES DIFFERENTS TYPES DE REGIMES POLITIQUES On désigne par régime politique le mode d’organisation des pouvoirs

RationalisationLa Ve République permet un bon fonctionnement des institutions, notamment des assemblées et permet sans aucun doute de gouverner. « Présidentialisme ». Selon certains, la rationalisation est « allée trop loin » instaurant un « régime présidentialiste ». La réforme constitutionnelle de 2008 a d’ailleurs eu pour but de renforcer le parlement face à l’exécutif. Efficacité parlementaire stabilité gouvernementale | | Causes institutionnelles | Aucune procédure de mise en œuvre de la responsabilité

président trouve une majorité aux élections législatives est plus grande en début de mandat présidentiel, que lorsqu’il s’agit de confirmer une majorité en cours de mandat. Mais il s’agissait pour certains de permettre le retour à une pratique présidentialiste. En effet, le PRS est aussi souvent contrôlé par le peuple que les députés. Sa responsabilité et donc sa légitimité et sa puissance se trouvent renforcées. Enfin, le president de la rép beneficie d’un statut pénal « confortable ». D’après l’expression

partir du XVIIIe siècle sont plutôt fondées sur la manière dont le pouvoir est exercé. S'appuyant sur les idées de Montesquieu, on a ainsi pu distinguer : • les régimes de confusion des pouvoirs : o au profit de l'exécutif : régime présidentialiste, dictature o au profit du législatif : régime conventionnel ou régime d'Assemblée (ex: la Terreur en France 1793-1794) • les régimes de séparation des pouvoirs : o les régimes présidentiels, o les régimes

caractère pratique souple. En effet, C’est une rupture avec l’histoire institutionnelle française ; la Constitution n’est plus vraiment « parlementariste » et le sera de moins en moins avec la pratique qu’en feront ses garants ; elle n’est pas « présidentialiste » ; d’où la difficulté à la rattacher aux conceptions en vigueur dans les différents pays démocratiques. Cette réforme majeure, alors refusée par la classe politique et plébiscitée par les Français lors d’un référendum, aura pour conséquence

d’existence. Elle dure depuis 1958. Sa pérennité la place au deuxième rang des régimes français les plus stables derrière la IIIème République. La Constitution de 1958, est le résultat d’un compromis entre deux mouvements, deux tendances. Il y a les présidentialistes comme De Gaulle et les parlementaristes. Mais ces deux mouvements ont un objectif commun qui est le renforcement de l’exécutif pour éviter l’instabilité. politique de la IVème république. De Gaulle aura laissé une grande empreinte sur cette constitution

établi le 6 novembre 1962 donne au président la vraie légitimité populaire et renforce son autorité, même s’il soustrait le président à l’influence du Parlement. Le rôle privilégié du président actuel provoque à marquer le régime français comme « présidentialiste » ou « semi-présidentiel ». Par rapport à l’ancien président Sarkozy, on peut évoquer l’idée d’ « une etrême présidentialisation du régime ». (Malgré les critiques sur son comportment très actif, il n’a jamais remis en cause les institutions