Puis Je Comprendre Autrui

essentiellement l’ethnocentrisme qui est la cause de la subjectivité de nos jugements et qu’il est donc primordial d’y échapper en s’abstenant de tout préjugé et en refusant même, par souci de méthode, de juger l’autre culture afin de pouvoir mieux la comprendre. Le second moment de l’argumentation mettra alors en exergue la possibilité et les difficultés de la comparaison objective des cultures à partir de divers critères arbitraires. La troisième partie cherchera alors s’il est possible de dépasser un

difficultés que peuvent entraîner de tels préjugés : deux personnes ayant des cultures différentes, ayant « baigné » dans des habitudes différentes, n’ont pas la même relation à autrui et ne voient pas forcément les choses de la même façon. Il serait donc dangereux de penser qu’une vision universelle des choses puisse exister. Il serait également dangereux de n’accepter que sa propre vision des choses et de faire abstraction de celle des autres. Chaque individu à fait face à un ensemble de situations

contrairement à la simple pensée, est la capacité de l’individu à se construire une représentation intellectuelle de lui-même, c'est-à-dire de se penser lui-même. Mais puis-je avoir conscience de ce que je suis réellement, ou bien suis-je condamné à n’être conscient que d’une infime partie de moi-même ? En remettant tout en doute, puis à l’aide d’une méthodologie prudente et logique, Descartes garantit la vérité de mes représentations de moi-même. Le cogito tel qu'il le développe nous présente

travers les sentiments. "Autrui est d’abord pour moi l’être pour qui je suis objet." Jean-Paul Sartre (1905-1980) "J’ai besoin de la médiation d’autrui pour être ce que je suis." Jean-Paul Sartre (1905-1980) "Le vaniteux fait dépendre son propre bonheur de l’activité d’autrui." Marc Aurèle (121-180) "Le monde auquel je suis est toujours un monde que je partage avec d’autres." Martin Heidegger (1889-1976) "Dans l’expérience du dialogue, il se constitue entre autrui et moi un terrain commun

que cela explique les nombreuses déviation de la sexualité humaine, qui sont sont tels que n’importe quel objet pour devenir source de désir sexuel, quelqu'un du même sexe, la violence, les animaux, un enfant, un parti du corps. Cela à conduit à comprendre que la sexualité ne repose pas sur l'instinct de production mais sur des fantasmes. L'amour est surprenant parce qu'il idéalise une personne qui n'a pourtant rien de différent des autres et pourtant quand cette personne n'est pas là plus rien

telle approche se heurte bientôt au fait que l'homme ne soit pas un être capable d'une indépendance absolue. En effet, seul un homme apte à se suffire à lui même pourrait prétendre à une telle indépendance, or, il n'existe personne à part Dieu qui puisse se détacher ainsi des lois naturelles. La liberté s'explique alors comme une puissance de choix raisonnés par une réflexion critique, comme une détermination autonome et spontanée d'un sujet rationnel. L'autodétermination suppose un exercice de raisonnement

philosophie. Car en effet, si on porte le doute sur chaque chose, il est alors necessaire que ce soit quelque chose qui porte ce doute. Nature de la pensée, l'âme est distincte du corps. Dans le doute, je découvre mon existence et mon essence. Comment comprendre la relation de l'âme au corps? L'ordre naturel et divin me signale une certaine vérité que la sphère des sentiments manifeste tout particulièrement. En effet, la nature m'enseigne que j'ai un corps mal disposé lorsque j'ai faim, soif etc. Je saisi

psychologie Aujourd’hui la psychologie est une discipline scientifique à part entière mais différente des sciences exactes telles que les maths ou la physique, la psychologie fait elle partie des sciences Humaines. Le travail du philosophe est de comprendre cette différence entre sciences humaines et sciences exactes. Cette différence réside en le fait que en psychologie l’objet et le sujet d’étude est le même : l’Homme ; dans les sciences exactes l’objet et le sujet sont différent. Cette identicitité

sujet sur lui-même et plus précisément sur son âme. Mais dans quel but porter attention à son âme et comment le faire ? Est-ce par pur égoïsme voire égocentrisme ? Ou s’agit-il seulement d’une étape permettant – ce travail terminé - de se tourner vers autrui? Mais dans quel but ? Finalement, est-ce à condition de prendre soi de son âme qu’on peut mener une vie morale et heureuse ? L’éducation peut s’envisager traditionnellement sous deux aspects principaux : d’une part l’acquisition de connaissances

Le texte que nous allons traiter est un extrait de l'essai Le Fondement de la Morale de Schopenhauer, de 1841. Au début de ce texte, Schopenhauer évoque les actes égoïstes dont l'homme est l'auteur, puis par la suite, il expose sa thèse concernant le fondement de la morale. En effet, il se demande comment notre volonté peut elle être déterminée par le bien et le mal d'autrui, et comment ce bien et ce mal peuvent suffir à placer le bien et le mal d'une autre personne avant notre bien et notre mal