Pythie

avaient consulté la Pythie (l'oracle d'Apollon) qui leur prédit que le fils du couple tuerait son père (Laïos) et épouserait sa mère (Jocaste). Pour remédier aux prédictions de l'oracle, ils abandonnèrent le nouveau-né sur le mont Cithéron. Là, un berger le recueillit, puis le confia aux souverains de Corinthe, Polybos et Périboéa. L'enfant trouvé fut prénommé Oedipe. Devenu adulte, il apprend que des rumeurs circulent sur ses origines et va donc consulter l'oracle de Delphes (la Pythie) qui lui répète

répandirent à travers le monde et perdurèrent. Parmi eux, comptons Pythagore, célèbre mathématicien qui vécut au cinquième siècle avant Jésus-Christ. Le nom Pythagore signifie littéralement « celui annoncé par la Pythie ». Il fut appelé ainsi car ses parents, en rendant visite à la Pythie de Delphes, apprirent qu’ils allaient avoir un fils. Pythagore reçut un enseignement complet et solide en Orient : les mathématiques, il les apprit des Phéniciens, l’astronomie, des Chaldéens, et la religion et la

adressées aux hommes de la part d'une divinité par un intermédiaire agréé ; ce dernier était lui-même désigné du nom d'oracle (le mot vient du latin oraculum, lieu sacré) : la Pythie. Son nom vient d'un serpent monstrueux, dénommé Python, qui habitait le lieu avant qu'Apollon ne décidât d'y établir son sanctuaire. La Pythie était une prêtresse d'Apollon que l'on venait consulter sur les sujets les plus divers, d'ordre privé ou politique. Elle proférait ses oracles en des termes généralement incompréhensibles

confie à des bergers. Ils l'amènent à leur maître Polybos, roi de Corinthe et sa femme Périboea qui désespère de ne pas avoir d'héritier. Ils l'élevèrent comme leur propre fils. Mais Œdipe découvre la vérité de son adoption. En allant voir la Pythie de Delphes, un vieillard monté sur un char lui ordonne de s'écarter de son chemin mais Œdipe le tue, ne sachant pas que c'était le roi Laïos, son père et qu'après cet acte la prophétie s'accomplit. Il arrive ensuite à Thèbes et débarrasse la ville

L’évènement qui déclencha la recherche de sagesse de Socrate est un évènement concernant Khairéphon, un ami d’enfance de Socrate. Ce dernier, qui consulta un oracle à Delphes, lui demanda s’il existait quelqu’un de plus sage que Socrate. La réponse de la pythie, fut négative : « nul n’était plus sage. » (p.42) Khairéphon rapporta cette réponse à Socrate et c’est après cela qu’il, Socrate, se mit à la recherche de la sagesse. Cette recherche fut premièrement concentrée sur la recherche du sens de l’énigme

protection de Zeus qui assure la survie matérielle, à la porte veille une Hécate elle purifie la famille après une naissance ou une mort protège le mariage, l'accouchement.Les actes politiques sont placés sous la protection des dieux : consultation de la pythie de delphes par exemple = pureté absolue = inspirée par le souffle divin = saisie de la mania = enthousiasme = possession de Dieu = Dieu s'exprime par sa bouche.Les Grecs se retrouvent dans des sanctuaires panhelléniques : Delphes, le « centre du monde

(intellectuelle). Troisième partie : Jusqu’à la ligne 90 : Accès à la vérité, au monde intelligible, au monde supérieur. Quatrième partie : Jusqu’à la ligne 103 : la nécessité de redescendre dans la caverne. (Cité) « Connais-toi toi-même » Delphes (Pythie) : L’essence de l’homme sait que tu es fait pour penser. Le connais toi toi-même s’ouvre pas sur nous mais sur les autres. Rencontre de l’altérité. Dimension publique et politique. Il affirme avoir été le seul à avoir pratiqué la véritable politique

Nature est ensuite comparée à une forêt. Baudelaire envisage l’univers perceptible par nos sens. La Nature est évoquée sous la forme du temple, lieu de communication privilégié entre notre existence et l’au-delà. Baudelaire renvoie peut-être à la pythie de Delphes dont les propos obscurs pour le commun des mortels étaient compréhensibles seulement pour les prêtres (le poète) qui les traduisaient à destination des fidèles. Le premier quatrain est bâti sur la double métaphore filée du temple et

des enchainements du rêve et le décomposer en plusieurs morceaux pour en découvrir les « idées latentes » (cachées). Freud s’appuie sur la théorie selon laquelle dans l’Antiquité, les rêves étaient des messages des Dieux que seuls les voyants, pythies, ou oracles pouvaient comprendre. La seconde topique freudienne est aussi un argument favorisant l’idée d’inconscient histoire. En effet, la partie « Moi » est la fonction consciente (pas à cent pour cent). Elle est née d’un ancrage biologique

accompli est de la poésie " (" la musique militaire est à la musique ce que la poésie militaire est… "), cet extrait visait avant tout à persuader le public que la Poésie n’entretient aucun lien avec la transcendance, qu’" elle n'a rien à voir avec la Pythie, les mystères d'Eleusis "2, affirmation prenant délibérément le contre-pied de la célèbre Lettre du Voyant de Rimbaud et se gaussant de la puissance du carmen-logos (" Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était