Quantificateur

et J, donc en suivant trois arˆetes successives. La proposition p(A, O, 4) est ´egalement vraie, puisque l’on peut aussi aller de A `a O en passant par D, E et J. Exprimer les phrases suivantes sous forme d’une proposition logique `a l’aide de quantificateurs, de connecteurs et de la proposition p : 1. Entre deux sommets quelconques du graphe, il existe toujours un chemin de longueur 4. ∀x ∈ S, ∀y ∈ S, p(x, y, 4). 2. On peut aller de A ` a n’importe quel autre sommet du graphe par un chemin de longueur

Formations www.allo-coach.com – www.cfcel.com Tél : 0041 32 435 71 75 Modèles P.N.L. P.N.L. Le métamodèle Verbes non spécifiques (blesser, tomber sur, ça m'a frappé ...) Comment spécifiquement ? Simples Où, quand ? Les omissions Quantificateurs universels (tous, toujours, chaque fois) N'y a-t-il pas une fois ? Manque d'index de référence (on, il faut ...) Qui ? Les généralisations Opérateurs modaux (il faut, je dois) Que se passerait-il si ... ? Lecture de pensée comment

Formations www.allo-coach.com – www.cfcel.com Tél : 0041 32 435 71 75 P.N.L. Le métamodèle Simples Où, quand ? Modèles P.N.L. Verbes non spécifiques (blesser, tomber sur, ça m'a frappé ...) Comment spécifiquement ? Les omissions Quantificateurs universels (tous, toujours, chaque fois) N'y a-t-il pas une fois ? Manque d'index de référence (on, il faut ...) Qui ? Les généralisations Lecture de pensée comment sais-tu ? Opérateurs modaux (il faut, je dois) Que se passerait-il si

implique automatiquement la dénotation de concept. A titre de rappel Frege nous dit qu'un "concept est la dénotation d'un prédicat" alors qu'un objet ne peut en être qu'une partie mais dénote en tout cas un sujet. De plus pour notre auteur les quantificateurs universels ou particuliers tels que "tous, chaque, quelques" précèdent toujours des concepts. Et pour continuer les mises au point, Frege admet qu'un concept peut tomber “dans” un concept supérieur qui ne fait donc pas partie de la même catégorie

-Utilisation de mieux, plus, moins, meilleur, bon … “j’aime mieux ce type d’études” … par rapport à quelles autres études ?-Les verbes non spécifiques ou imprécis : faire, aller … “j’ai fait de l’allemand …” combien d’années ? À quel niveau ?-Les quantificateurs universels : tout, toujours, jamais, tout le monde ... “je n’ai jamais eu de chance.” Vraiment ? A aucun moment ?-Les opérateurs moraux : devoir, falloir, introduisant une affirmation ou une impossibilité sans en expliquer le sens : “je dois réussir

formules. Elles comportent des symboles, les uns en rapport avec le calcul propositionnel comme le connecteur binaire d'implication  ou le connecteur unaire de négation , d'autres en rapport avec le calcul des prédicats, comme le quantificateur universel  ou le quantificateur existentiel . La plupart des notations utilisées au xxie siècle ont été introduites après le xviie siècle seulement. Il existe un langage mathématique qui décrit les mathématiques. En ce sens, on dit qu'il s'agit d'un métalangage :

N}, alors D = [−1, 1]. Définition 2.2.1. Soit f : D → R une fonction, et soit x0 ∈ D. On dit que f admet ℓ ∈ R pour limite en x0 si : pour tout ε > 0, il existe δ > 0 tel que, pour tout x ∈ D, |x − x0| ≤ δ =⇒ |f(x) − ℓ| ≤ ε ou, avec des quantificateurs, ∀ε > 0,∃δ > 0,∀x ∈ D, |x − x0| ≤ δ =⇒ |f(x) − ℓ| ≤ ε 17Ceci se traduit de la façon suivante : pour tout ε > 0 (arbitrairement petit), il existe δ > 0 tel que, si x est à une distance inférieure à δ de x0, alors f(x) est à une

des matières 1 Quelques éléments de logique 1.1 Lettres grecques et symboles mathématiques . . . 1.2 Implications [A ⇒ B] et équivalences [A ⇐⇒ B] 1.3 Intersection et réunion . . . . . . . . . . . . . . 1.4 Quantificateurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.5 Ordre des quantificateurs . . . . . . . . . . . . . 1.6 Négation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.7 Raisonnement par récurrence . . . . . . . . . . . 1.8 Bornes supérieures et bornes inférieures dans R. . 1.9 Exercices sur le

équivaut à Q ; – on a P si et seulement si on a Q que l’on note P ssi Q ; 67 A.3. QUANTIFICATEURS ANNEXE A. ELÉMENTS DE LOGIQUE – P est une condition nécessaire et suffisante ( CNS en abrégé) pour avoir Q ; – Pour avoir Q, il faut et il suffit d’avoir P ; – P est un critère pour avoir Q. Propriété ☛ ✟ L’assertion P ⇔ Q a la même valeur de vérité que (P ⇒ Q) et (Q ⇒ P ). ✡ A.3 ✠ Quantificateurs A.3.1 Définitions On appelle prédicat une proposition contenant une ou

opposer une enfant à tant d’ennemis rassemblés ? » offre l’image de la victime offerte comme le suggère le terme « enfant ». D’autre part, on remarque l’opposition entre le singulier et le pluriel « une enfant » ; « tant d’ennemis rassemblés ». Le quantificateur insiste sur la notion de multitude. Le rapport de force disproportionné indique l’impuissance de la personne et son sort inéluctable. 2°) L’injustice Celle-ci est d’abord dénoncée implicitement par une sentence : « Tel nous juge ici sévèrement