Quatrain

avait d’ailleurs écrit le texte pour la femme qu’il aimait). Le poème est composé de 14 quatrains dont 13 sont construits sur le même modèle  l’anaphore de « sur » et « J’écris ton nom » répété à la fin de chaque quatrain, comme un refrain. Ces anaphores et ces répétitions créent un effet de litanie, le poème devient  une sorte de prière sacrée et surtout il est plus facilement mémorisable. Le dernier quatrain conclut le poème et dévoile à qui le poète s’adresse. Le mot « Liberté » est détaché à la

Poèmes « Vieille chanson du jeune temps » de Victor Hugo (1802-1885). Ce poème a été écrit en juin 1831 et est apparu dans le recueil « Les Contemplations » sorti en 1856. Ce poème est du mouvement lyrique romantique. Il comporte 9 strophes de quatrain, les vers sont réguliers avec 7 syllabes chacun : heptasyllabes. Les rimes présente dans dans ce poème sont des rimes croisées. Ce poème se rapporte au thème de l'amour, il parle donc d'un garçon qui a passé une matinée dans les bois avec une femme

décrit les étapes. La « jeunesse » (vers 1) du poète (premier quatrain) est comparée à un été bouleversé par les intempéries : « ténébreux orage » (vers 1) et « Le tonnerre et la pluie » (vers 2). Ces premières années de vie se sont construites en ombres et lumières (« çà et là », « ténébreux », « brillant »), tantôt emplies d’élans d’espoir, mais vite accablées par le poids du spleen. On note la présence de ponctuations fortes dans ce quatrain (« ; » et « . ») qui insistent sur cette alternance. Le choix

marche - chiasme vers 4 : "le matin est neuf, neuf est le soir" -> suggère que le cycle du temps s'enchaîne désormais impitoyablement b) Etude du plan du texte - 1re quatrain -> affirme l'espoir - 2nd quatrain -> opposition de l'espoir par le "Mais" (vers 5) - 3me quatrain -> apporte de nouveau une opposition au 2nd quatrain en débutant par "Or" (vers 9). Strophe énonce les signes contraire de l'espoir et se termine sur le suel futur du poème : "prouvera" (vers 12) -> donne une valeur de certidute

rapprocher ce poème de grands thèmes romantiques que Baudelaire partage avec ses contemporains (Hugo, Vigny…) : la fascination pour les espaces naturels qui résonnent en harmonie avec les tourments de l’âme romantique avec la forêt (premier quatrain), l’Océan (second quatrain) et la nuit (tercets). L’évocation de ces éléments aurait dû susciter un rapprochement avec le théoricien de L’Art romantique que fut Baudelaire (1868), d’autant plus que le poète exprime clairement cette harmonie ([…] dans nos cœurs

sont embrassées et identiques dans les quatrains puis suivies et plates aux vers 9 et 10 et alternées dans le dernier tercet.Les rimes dans les quatrains sont riches. Il y a aussi deux comparaisons dans le poème : « ceux des aimés que la Vie exila » ou le « regard des statues » .Puis il y a deux questions rhétoriques ou oratoires dans la troisième strophe:« Est-elle brune,blonde ou rousse?»vers 9, « Son nom ?» vers 10 et deux anaphores dans les quatrains:« Ni tout à fait» vers 4et5 et « Pour

deux yeux », l’odorat, « je respire l’odeur », l’ouïe « chant des mariniers », le goût « fruits savoureux » et le toucher, « ton sein chaleureux » ; ils aboutissent à une sensation agréable à l’âme. Le mot « odeur » que l’on retrouve dans le premier quatrain et qui devient « ton odeur » dans le premier tercet accentue la passion pour une femme. Dans les deux cas l’odorat est suivi des sens du toucher et de la vue. « ton sein chaleureux », « je vois » ; « de charmants climats », «je vois ».Le thème de

Une lente approche dans un valent ensoleillé conduit peut à peut le lecteur, devant une macabre (mort) qu'on assimile à un sommeil profond, paisible. Comment Rimbaud a-t-il créer la surprise final du lecteur. Une nature féerique, la 1er quatrain tresse un cadre enchanteur dans une féerie de couleur & d’illumination, de valent par un cour d'eau. Est ici présenter par une périphrase, un trou de verdure. En droit favorable audible & au rêve. Le mot « trou » dans le 1er vers annonce déjà « 2

forme fixe, constitué de quatorze alexandrins, divisé en deux quatrains et deux tercets, les vers étant à rimes embrassées selon la disposition ABBA BCCB CCD EDE. Il respecta aussi la traditionnelle opposition des quatrains et des tercets, le contraste étant d’ailleurs saisissant entre le ton apaisé des premiers et l’agressivité des seconds, entre l’offrande du poète à la femme aimée, et son espoir d’une accession à l’immortalité (les quatrains), et la constatation que, du vivant du poète, le public ne

choisi ce poème car je le trouve amusant et plaisant à lire. Paul Verlaine poète du XIXème siècle (1844-1896) a écrit Green tiré de Romances sans paroles paru en 1866 et appartenant à la partie du recueil « Aquarelle ». Le poème est composé de 3 quatrains écrit en alexandrins. Les rimes sont croisées (ABAB-ABAB-ABAB). C’est une forme libre. Il s’agit d’un poème lyrique. La nature joue un rôle symbolique dans le poème. Il traite le sujet du désir d’aimer et d’être aimé. Cet auteur appartient au mouvement