Que Dois Je A Autrui

d'amener les autres à parler d'eux". On me dit que j'ai tendance à être trop dirigiste. La parade : "Mais, j'essaie de compenser ma rigidité en discutant avec mon entourage avant de prendre une décision." Je suis tout-à-fait conscient de mon manque de répartie. La parade : "Je tente de corriger ce manque en participant à des discussions animées avec mes amis." Je n'ai pas confiance en moi. La parade : "Je manque d'assurance, certes mais cela est dû à mon manque d'expérience

devoir La morale est souvent perçue comme un ensemble de règles extérieures à un individu et auxquelles celui-ci obéit sous la pressions sociale ou y adhère par conviction religieuse ou autre. Les morales « primitives » prescrivent des interdictions : l’inceste, l’endogamie, le vol au détriment du groupe. Elles définissent des « tabous ». Ces impératifs négatifs énoncés par des autorités ont souvent préfiguré les formules à venir des codes du droit. Leur transgression entraîne l’exclusion du groupe

AUTRUI INTRODUCTION Autrui s’impose à nous dans notre vie la plus quotidienne, que ce soit sur le plan affectif, pratique, moral ou intellectuel. A tel point que le mot solitude se définit par autrui, et non l’inverse (comme l’erreur se définit à partir de la vérité, et le néant par l’être.) A considérer la solitude, nous pouvons constater qu’il en existe deux sortes : - La solitude physique : qui se caractérise par l’absence physique de l’autre, mais qui en général est présent

l'honneur dans Le Cid de Pierre Corneille Ben Jukpor [Communication présentée par M. Ben Jukpor, de l'Université Brandon, au Manitoba.] 1. Introduction 95 Jouée en 1637, Le Cid est la pièce de Pierre Corneille qui a beaucoup contribué, malgré les controverses qu'elle a provoquées, à établir le dramaturge comme un des plus grands du siècle. On y voit déjà les thèmes chers au dramaturge, qui seront repris de diverses manières dans ses pièces ultérieures: honneur, gloire, devoir, générosité. Etant

un impératif qui impose à l’homme d’accomplir ce qui est prescrit en vertu d’une obligation (qui peut-être religieuse, éthique, sociale, etc.). Cette définition requiert d’être analysée. Dire que le devoir est un impératif est équivalent à dire qu’il est un ordre : en ce sens, il instaure une relation de commandement et d’obéissance. L’instance qui commande, ici le devoir, doit être dans une position « transcendante » par rapport à celui qui obéit ; elle doit s’imposer à lui et en aucun cas se confondre

tendance à survivre. On voit déjà ici que le déterminisme n'est pas aussi puissant que l’homme le prétend. On ne doute pas que l'homme puisse vaincre un penchant en jouant d’un penchant plus fort. Alors est ce que l'homme n'est que le jouet de forces empiriques et que ses choix ne sont que le masque des divers déterminismes régissant sa conduite ? Dans la deuxième situation, l’homme se trouve dans le cas ou l’inclination naturelle la plus forte, l'instinct de survie, n’est plus confrontée à une autre

nombreux sont ceux qui ont les tics de l’éthique. Devenu “à la mode”, le terme éthique est utilisé dans beaucoup de domaine et est souvent vu comme synonyme de morale. Perception qui va jusqu’à la confusion des deux notions. Si on en revient à l’étymologie de ces mots éthos et mores sont en effet la traduction l’un de l’autre en grec et en latin. Morale vient de l’adjectif latin moralis qui est la traduction du mot grec ethicos. Ethicos a lui même une double racine et un double sens. Ethos qui signifie

l’incommunicabilité comme le cas auquel j’ai fait face s’en rapporte en situant le rapport père/fille. Le conflit porte sur un problème de famille avec lequel je vis depuis mes toutes premières années. En effet, j’ai passé différentes phases dans ma vie pour arriver à cette incommunicabilité sans fin avec mon père. DESCRIPTION DU CONFLIT TRAITÉ Personnages concernés : Mon père – ma mère – ma cousine et moi. Pour introduire, mes parents ont divorcé quand j’avais 2 ans mais cela n’avait aucune importance pour moi

présentée comme une qualité. En effet, celui qui n'est pas sincère est celui qui dissimule, qui ment, qui cache. Il faut que vous montriez en quoi ces attitudes sont condamnables moralement. Vous pouvez remarquer que le sujet commence par la question "dois-je". Il s'agit donc de déterminer si la sincérité est un devoir. La question est donc avant tout une question morale. Dès lors, il faut se demander en quoi l'absence de sincérité est condamnable moralement. Il semble bien que ce soit au nom d'une valeur

Peut-on se mentir à soi-même ? Cette question qui semble simple possède en fait une grande philosophie. Tâchons d'y répondre sans mentir.Le mensonge est l'intermédiaire entre l'erreur et la vérité. Il est définit à la fois par le vrai et par le faux. se mentir à soi-même équivaut à mentir à son être conscient, le soi. Le verbe pouvoir exprime la possibilité. Répondre à ce sujet équivaut à répondre à la question suivante : l'homme a t-il la possibilité de prouver le faux à son soi conscient alors