Question Corpus Sur L Esclavage Voltaire

et les questions collectives • Situer les œuvres du genre biographique dans leur contexte historique et sociologique Attitudes • Exprimer les singularités de son héritage culturel dans le respect de l’autre et de sa culture • Être sensible aux échos et aux interférences entre soi et les autres • S’intéresser à l’expérience d’autrui comme élément de l’expérience universelle Capacités • Repérer en quoi une situation ou des personnages de fiction peuvent représenter des questions humaines

Première partie : l’affirmation des libertés publiques Affirmation des libertés publiques a été une conquête violente. Karl Marx a attribué la parenté des LP aux français et aux américains. Il ébauche cette généalogie dans un ouvrage dans « la question juive ». Si la conquête des LP se situe dans ce berceau géographique, elle résulte d’un cheminement qui remonte très loin dans le temps, qui sort parfois des strictes frontières de l’Europe, pour former « l’héritage judéo-chrétien ». Chapitre

irlandaise aux États-Unis s’inscrit dans le phénomène plus large de peuplement européen des « pays neufs ». Elle en dégage les grandes caractéristiques : facteurs économiques, réseaux dans lesquels s’inscrit toute forme de migration importante et la question de l’intégration dans le pays d’accueil. Ré p ons e s a ux que s tions La Grande Famine 1. La famine qui touche l’Irlande entre 1845 et 1849 est due à une maladie de la pomme de terre qui décime les récoltes. Cette culture a été introduite par les

argumentatif peut être enfin concerné par la première partie des trois sujets. Il s'agit d'une ou deux questions portant sur un corpus de documents : notées sur 4 ou 6 selon les séries, ces questions d'analyse proposées aux candidats « font appel à leurs compétences de lecture et les invitent à établir des relations entre les différents documents et à en proposer des interprétations. Ces questions peuvent être conçues de façon à aider les candidats à élaborer l’autre partie de l’épreuve écrite, la

liberté par les lois, c'est d'un bout du 18e siècle à l'autre ce que soutiennent ces deux pôles de la pensée du politique, Montesquieu et Rousseau, pendant que Hume en Angleterre et Condillac en France renouvellent les modèles de la connaissance et que Voltaire combat le trône et l'autel, les piliers de l'ancien régime au nom de la tolérance et de la liberté de pensée. L'Encyclopédie, ce symbole général des Lumières, formidable machine à répandre l'esprit nouveau, change les façons de pensée et s'efforce

l’individualisme sociologique - la démocratie et les droits de l’homme - la sécularisation - le développement des sciences et des techniques associés à la mise en œuvre de l’esprit critique. Dans la réflexion sur la définition de la modernité, une question centrale est posée : la modernité est elle liée à une culture particulière ou bien est-elle culturellement neutre ? L’enjeu est important car certains contestent la modernité en y voyant un moyen pour l’Occident d’imposer au reste du monde son idéologie

Introduction Justice et vérité: La question de la justice comme celle de la vérité est une des plus anciennes questions de la philosophie: c'est l'une des questions posées par Socrate à ses interlocuteurs, qu'ils soient de condition libre ou servile, qu'ils se prétendent experts, comme les sophistes par exemple, ou qu'ils soient simples citoyens de la cité. "qu'est-ce que le juste?" ou "qu'est-ce qu'être juste?", "qu'est-ce que le vrai?" Or ces deux questions en apparence très éloignées sont en

l’Empereur dans la vie de l’Eglise, autrement dit, le pouvoir temporel, c’est à dire l’empereur, exerce son gouvernement aussi bien sur la société laïque que sur les éléments temporels de la vie ecclésiastique. En outre, l’empereur va s’immiscer dans des questions purement spirituelles, qui touchent au dogme, qui touche à la discipline ecclésiastique. Cette immixtion de l’Empereur dans les sources du droit de l’Eglise, va avoir des conséquences en termes de source de droit. L’empereur devient le garant de

ne nous contraint pas à y aller. Le droit meurt la où il cède à la violence. La force publique n'est pas une violence organisée. Le droit n'est obligatoire pas parce qu'il est sanctionné mais il est sanctionné parce qu'il est obligatoire. La question est de savoir pourquoi le droit est obligatoire? La sanction n'est qu'un critère d'identification de la règle de droit part rapport à la morale. Mais il ne faut pas confondre le critère et l'essence. L'essence du droit est plutôt l'obligation que

................................................................143 TROISIEME PARTIE : ANALYSE DU CORPUS Présentation du corpus ..........................................................................................................147 1. Choix du corpus ........................................................................................................148 2. Caractérisation du corpus ..........................................................................................151 Chapitre