Question Préjudicielle

constitutionnel. De ce fait, on peut considérer que le juge administratif pourra exercer certaines compétences déléguées par le Conseil Constitutionnel, notamment des contrôle dans le cadre de la Question Prioritaire de Constitutionnalité (QPC), plus exactement, il jouera le rôle de filtre des questions suis seront par la suite présentées au Conseil d’Etat. Cependant, même si plus plupart des juges constitutionnels français actuels ont des compétences juridiques, rien n'empêche, au vu des textes

La question prioritaire de constitutionnalité (QPC) ne cesse de soumettre des interrogations, comme par exemple sur le plan juridique ; mais la QPC va aussi poser des problèmes sur la double compétence du conseil d’Etat. En effet, dans un arrêt de principe rendu le 16 avril 2010, le Conseil d’Etat va répondre à ces interrogations. En l’espèce, une requête en annulation est présentée par l’association Alcaly et d’autres requérants, contre un décret du 16/07/08 (ce décret déclare d’autorité publique

Travaux dirigés – Séance n°7 – Correction Proposition d’introduction + plan détaillé Sujet n°1 (groupe 10) « Le contrôle de constitutionnalité sous la Ve République » Entrée en vigueur le 1er mars 2010, la procédure question prioritaire de constitutionnalité (QPC) n’en finit pas d’être commentée et de défrayer régulièrement la chronique ; elle s’impose comme la réussite majeure de la grande révision constitutionnelle du 23 juillet 2008, la dernière en date. Placée au sommet de la hiérarchie des

constitutionnelle du 23 juillet 2008, le contrôle de constitutionnalité n'avait lieu qu'a priori. Dès lors, le contrôle de conventionnalité se révèlait être le seul moyen de mise en avant de l'irrespect des normes fondamentales, a postériori. Depuis la Question prioritaire de constitutionnalité qui permet ce contrôle après la mise en application de la loi, le contrôle de conventionnalité a perdu de son importance et une part de son utilité. Cependant, les contrôles de constitutionnalité et de conventionnalits

détriment de celui du législateur, et comme un risque de contestation permanente de la loi. Cette situation a donné lieu en juillet 2008, après plusieurs tentatives qui n'ont pas abouti en 1990 ou encore en 1993 à la mise en place du principe de la question prioritaire de constitutionnalité. B- les traités et accords internationaux. Au second niveau, dans la hiérarchie des normes une place est reconnue aux traités et accord internationaux, au-dessous de la constitution à laquelle ils ne

citation pointe deux points majeurs concernant le conseil constitutionnel : l'importance de son pouvoir puisqu'il est le garant de la plus haute norme de droit dans la hiérarchie des normes françaises mais aussi parce qu’elle nous amène à nous poser la question des limites de son ressort et de son influence. Le Conseil constitutionnel a été institué par la Constitution de la Ve République, en date du 4 octobre 1958. Cette institution a pour but de veiller à la régularité des élections nationales et des

notamment 3 étapes : le justiciable soulève la question devant toute juridiction relevant du Conseil d’Etat (CE) ou de la cour de cassation (qui doivent alors statuer sans délai), ou alors devant le CE ou la cour de cassation directement. Ces cours suprêmes décident alors de renvoyer ou non devant la question prioritaire de constitutionnalité devant le Conseil constitutionnel (C°C). Enfin, si elle est renvoyée, le C°C se prononce (notamment quand la question est nouvelle ou pose une difficulté particulière)

pouvoirs du parlement. On abandonne le vieux système hyper-centralisé avec réformes des ‘80s et des ‘00s. -- Principe d’égalité, refus des discriminations même positives pas si strict car concerne boursiers. Introduction de quotas. La question prioritaire de constitutionnalité. Liée à l’idée de démocratie substantielle. Au cœur des interactions entre ordre interne et européen. 23 juillet 2008 : révision introduit garantie de certains droits et libertés des citoyens. Révision sera

Topo de la loi « Perruche » Le Conseil constitutionnel a été saisi par un particulier via la QPC (question prioritaire de constitutionnalité - Article 61-1 Constitution), pour se prononcer sur la question de la conformité à la constitution de la loi dite "anti-Perruche" du 4 Mars 2002.  Rappelons que cette loi empêche la réparation du préjudice des enfants dont le handicap n'a pas été détecté pendant la grossesse. Cette loi vient donc mettre un terme à la jurisprudence établie depuis l'arrêt

sanctionné, il va porter l’affaire devant le CE aux motifs que la sanction est illégale car le préambule de la C reconnaît le droit à la grève. Dans cette affaire le CE va reconnaître la valeur juridique de la C (préambule) 1946. Avec la C de 1958 la question de la valeur du préambule se pose de nouveau, 2 réponses : * Arrêt du Cd, 12/02/1960 : arrêt Eky, le juge administratif reconnaît la valeur juridique des dispositions du préambule. Cette décision a des répercussions importantes, le préambule