R2-D2

de la tension u du montage lorsqu'on applique successivement en entrée les tensions: e1 = 0 et e2 = 0 e1 = 5V et e2 = 0 e1 = 0 et e2 = 5V e1 = 5V et e2 = 5V établir la table de vérité. quelle est la fonction logique ainsi réalisée. E=5V D1 e1 e2 D2 u réponses E1 0 5 0 5 E2 0 0 5 5 Fonction ET u 0 0 0 5 Exercice 4. Un transistor NPN alimenté sous 15 V est muni d'une résistance de collecteur Rc et d'une résistance de base RB. La tension appliquée à l'entrée est ve = 5V; on a alors VBE = 0

Université Aix Marseille 1 Mathématiques générales II - Algèbre linéaire PEIP - L1 27 avril 2010 aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa aaaaaaaaaaaaaa 1 Algèbre linéaire dans R2 et R3 1.1 Vecteurs de R2 et R3 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.1 Vecdjzdjkszjc ozkd zl zleteurs et combinaisons linéaires . . . . . . . . . . . . 1.1.2 Produit scalaire, norme . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.1.3 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1.2 La notion de matrice . .

(1687) Deux masses exercent l'une sur l'autre des forces d’attraction directement opposées d'intensité proportionnelle à leurs masses et inversement proportionnelle au carré de leur distance d = AB. mA A FB/A FA/B = - G mB B FA/B u mA.mB u = -FB/A d2 avec G la constante de gravité universelle : G = 6,67 .10-11 m3.kg-1.s-2 2. Le poids : force de pesanteur Expérience: une masse marquée est suspendue à un dynamomètre Toute masse m placée dans un champ de gravitation subit une force d’attraction : le

|Comptabilisation d’opérations courantes et travaux|5 |A1 à A7 |8 à 12 |R1-2 |19 |40 pts | |d’inventaire | | | |R2 |20 | | |DOSSIER B |6 |B1-1 |13 |R3-1 |21 |35 pts | |Analyse de documents de synthèse

remercions vivement leurs auteurs. SCHÉMA DE PRINCIPE: [pic] Le schéma de la figure précédente montre une évidente simplicité. Le secondaire du transformateur délivre une tension de 15 volts. Après un redressement simple à l'aide des diodes D1 et D2, la tension est filtrée par le condensateur C1 pour attaquer l'entrée du régulateur CI2, un 7812. La masse est "déplacée" d'environ 1 volt par la mise en série des diodes D3 et D4 pour obtenir la tension de programmation de 13 volts en sortie. Celle-ci

La photocopie non autorisée est un délit 1.3 Étude comparative d’échangeurs On considère un échangeur simple constitué de deux tubes rectilignes et concentriques de longueur L. Le tube intérieur (1) à un rayon R1 . Le tube extérieur (2), de rayon R2 , est constitué d’un matériau supposé isolant thermique parfait. Le tube (1) est parcouru par un fluide caloporteur qui transmet, par unité de temps, une quantité totale Q de chaleur à un second fluide circulant dans l’espace annulaire compris entre

des besoins de la charge RL, fournit une tension sinusoïdale vs(t) sur un circuit formé de la charge RL en série avec une diode D À t=t1 la diode conduit ZAÏBI.G 15 1) Redressement simple alternance: Le schéma équivalent : Rs = rd +R2+(n2/n1)2 R1 On a : vs= VM sint = (Rs+RL).i + V D'où : i(t) = (VM sint -V)/(Rs+RL) pour t1 t  T/2 - t1 ZAÏBI.G 16 1) Redressement simple alternance: Entre les instants T/2 - t1 et T+t1 la diode est bloquée vs(t) < V : le courant

aX 2 + bX + c, soient r1 et r2 ses racines, trois cas sont possibles: 1. r1 et r2 sont deux racines réelles distinctes les solutions de (E ) sont les fonctions de la forme: y(x) = C1 er1 x + C2 er2 x où C1 et C2 sont des réels quelconques. 2. r1 = r2 , P possède une racine double réelle les solutions de (E ) sont les fonctions de la forme: y(x) = (C1 + C2 x)er1 x où C1 et C2 sont des réels quelconques. 3. r1 et r2 sont deux racines complexes conjuguées r1 = α + iβ (r2 = α − iβ) 4. Les solutions de

pratique pour placer le point M. Voir schéma ci-contre. r1 = 4,5 cm et r2 = 2,0 cm 2. Calculer l'intensité des vecteurs champs électriques E1 et E2 au point M respectivement engendrés par les charges électriques q1 et q2. L'unité de l'intensité du champ électrostatique est en V . m-1. E1 = k x q1 / r1² = 2,2 x 103 V . m-1 et E2 = k x q2 / r2² = 1,1 x 103 V . m-1 3. Sur votre schéma, tracer les vecteurs champs

´quation : y = ax + b, on a e e cov(X, Y ) a= et b = y − a¯ ¯ x V (X) (D2 ) droite de r´gression de X en Y ayant pour ´quation : x = a′ y + b′ , on a e e cov(Y, X) a′ = et b = x − a′ y ¯ ¯ V (Y ) On en d´duit que aa′ = e cov(X, Y ) cov(Y, X) cov(X, Y ) = = V (X) V (Y ) V (X)V (Y ) σ(X)σ(Y ) aa′ = r 2 . 2. (D1 ) droite de r´gression de Y en X ayant pour ´quation r´duite y = 2, 4x, on a : a = 2, 4 e e e et b = 0 3, 5 24 e e e (D2 ) droite de r´gression de X en Y ayant pour ´quation r´duite : x = y +