R2-D2

avantages et des inconvénients. Alors pourquoi en imposer une ? Pourquoi ne pas laisser le choix aux ligues et aux comités selon leurs caractéristiques ? Ligue Poitou-Charentes niveau régional 269 matchs joués au 19/11/2012 R1 (score acquis) | R2 | R3 | Score | Nombre | % | Score | Nombre | % | Score | Nombre | % | 10-0 | 5 | 27.50 | 18-0 | 2 | 10.67 | 18-0 | 3 | 22.08 | 10-1 | 2 | | 17-1 | 1 | | 17-1 | 5 | | 10-2 | 4 | | 16-2 | 1 | | 16-2 | 6 | | 10-3 | 4 | 37.50 | 15-3 | 4

compatible avec les tensions couramment utilisées. Une deuxième méthode consiste à utiliser un montage à transistor : I0 R1 VCC − VD R3 ⋅ I0 + VBE = VD + R 2 R1 + R 2 I0 =  1  R1 R1  VCC ⋅ + VD ⋅ − VBE   R3  R1 + R 2 R1 + R 2   D R3 R2 -Vcc Miroir de courant L’un des principaux problèmes de l’amplificateur différentiel est la stabilité du courant de sortie, l’un des circuits le plus utilisé dans l’intégration est le miroir de courant. Un miroir de courant est réalisé par deux

de ni recursivement de la maniere suivante : f"g est un langage regulier sur Si a est une lettre de , fag est un langage regulier sur Si R est un langage regulier sur , alors Rn et R sont des langages reguliers sur Si R1 et R2 sont des langages reguliers sur , alors R1 R2 et R1R2 sont des langages reguliers S Les langages reguliers se decrivent tres facilement par une expression reguliere. De nition 3.8 Les expressions regulieres (E.R.) sur un alphabet et les langages qu'elles decrivent

moyen, la quantit´ e φm = Le flux calorifique ou thermique δQ t2 − t1 (W ) 3 φ = lim t1 →t2 CHAPITRE 1. TRANSFERT DE CHALEUR δQ (W ) t2 − t1 D´finition de la densit´ de flux e e Consid´rons deux domaines D1 et D2 s´par´s par une surface S et supposons que D1 c`de e e e e a D2 une certain flux calorifique φ, on d´finit la densit´ moyenne de flux a travers S par le ` e e ` quotient ϕm = φ S La densit´ locale de flux ou plus simplement densit´ de flux est d´finie par e e e ϕ= dφ dS (W/m2 ) 1.1

l'atome. 2S+1 exprime la multiplicité de l'état. J: nombre quantique (couplage spin-orbite) de moment cinétique total de l'atome J=L+S mJ : nombre associé à J : mJ=-J, -J+1,….,J-1,J. On a donc (2J+1) valeurs possibles pour mJ. Exemple: 1 D2 est un niveau pour lequel L= 2, S= 0 et J = 2. A un état atomique donné correspond une valeur de l’énergie et une seule, que le système soit placé ou non dans un champ extérieur, mais plusieurs états peuvent avoir la même énergie : on dit alors

décomposition de R : R1(Nomagence, Ch d’Affaires) et R2(Nomagence, N°Prêt, Client, Montant) telle que, quelle que soit r instance de R , r1 instance de R1 et r2 instance de R2 : r1= Π Nomagence, Ch d’Affaires (r) r2=Π Nomagence, N°Prêt, Client, Montant(r ) Cette décomposition vérifie les propriétés suivantes : r2 = r (jointure conservative) - r1 - les contraintes sont toujours valables : Nomagence -> Ch d’Affaires sur r1, Client N°Prêt -> Montant sur r2 (dépendances conservatives) 7.2.2.2 Second essai

liaisons successives restent libres, ce qui confère à la chaîne une grande flexibilité, source de configurations multiples : H 3C (CH2)n CH2 CH2 (CH2 )n' COOH R1 H R1 H H R2 R1 H R2 H H Représentations en perspectives H R1 H H R2 H H H R2 Représentation de Newman Nous aurons pour les diverses conformations des conformères éclipsés, des conformères décalés dont la forme la plus stable est la conformation transoide ou anti qui,

mouvement de l’espace R2 attaché au solide S2 par rapport à l’espace R1 attaché au solide S1 . A B http://www2.ac-lyon.fr Figure 2.1 Solide indéformable. 2.2 PARAMÉTRAGE DE LA POSITION RELATIVE DE DEUX SOLIDES Positionner le solide S2 par rapport au solide S1 revient donc à positionner le repère R2 attaché au solide S2 , par rapport au repère R1 . La position du repère R2 par rapport à R1 est complètement déterminée si l’on se fixe : 1. L’orientation de la base de R2 par rapport à celle

ER +n λ/2 Pour construire un ellipsoïde, on peut noter que son rayon r, au droit d'un point M0 , tel que : MM 0 = r , EM 0 = d E , M 0 R = d R (d = d E + d R ) avec : soit : r << dE et r << dR r2 + dE2 + r2 + dR2 = dE + dR + n d E (1 + r2 2d E 2 ) + d R (1 + r2 2d R λ 2 ) = dE + dR + n 2 1 r2 1 λ + ( )=n 2 dE dR 2 λd E d R r= n rmax = dE + dR λ 2 nλd 2 3.3.2 Réflexion des ondes : Si l'on considère la zone , dite de diffraction , qui ne peut être atteinte par aucun rayon direct ou réflexion

entre les sources et ce point n’introduit pas de déphasage, c’est-à-dire si d2 – d1 = k (en appelant d2 la distance entre le point et E2 et d1 la distance entre le point et E1). Au contraire, si d2 – d1 =  les ondes arriveront au point considéré en opposition de phase et les interférences seront destructives. Les interférences sont constructives en M et en P (k 1 et k = 2) et destructives en N (k = 0 et d2 – d1 =  5. En mesurant dans chaque cas la largeur de 7 interfranges (pour