Ragoût

nombre de personne ose s’aventuré. Néanmoins nous continuons notre route en écoutant attentivement tout les bruits de la nature. Soudain, j’aperçois à 100 mètre, un jeune daim absolument innocent. Il serait parfait dans le ragoût de la mère de Dylan. Hum … Quel délice son ragoût. Je me demande comment elle fait cette merveille. J’en ai l’eau à la bouche. Il me faut ce daim pour goûter à ce plaisir. Je lance un signe de la main à Dylan pour lui montrer et de ne surtout pas faire de bruit. J’arrête

La France des fromages sur plateau  Marbré praliné au chocolat ou Parfait glacé aux pains d’épices , suprêmes d’orange épicées Terrine de homard et brochet, beurre blanc à la ciboulette ou Foie gras de canard en terrine, gelée de Sauternes  Ragoût de coquillages crème safranée ou Macaron de sandre au corail  Filet de bœuf en croûte Périgourdine ou Noix de veau au vin de Brouilly  La France des fromages sur plateau  Trilogie au chocolat ou Succès pistache aux griottes Prix nets 19

poudre et du rouge. Va se regarder dans la glace. Bâille encore, regarde autour d'elle, aperçoit le piano. Tiens! Un grand crocodile de concert ! (Elle s'assied au piano, ouvre le couvercle, regarde le pupitre.) Et voici naturellement le dernier ragoût des masques à mode!.. Voyons ! Oh, celle-ci, qui est si “to-be-or-not-to-be”. Elle chante une chanson connue de l'époque 1900 mais elle en change les paroles. Par exemple, sur l'air : IRMA entrant. Bas à l'oreille de MADAME et avec inquiétude

tellement ! La Seine est encaissée absurdement, Mais son vert clair à lui seul vaut la gloire. Paris n'a de gaîté que son bagout, Mais ce bagout, encor qu'assez immonde, Il fait le tour des langages du monde, Salant un peu ce trop fade ragoût. Paris n'a de sagesse que le sombre Flux de son peuple et de ses factions, Alors qu'il fait des révolutions Avec l'Ordre embusqué dans la pénombre. Paris n'a que sa Fille de charmant Laquelle n'est au prix de l'Exotique Que torts gentils

huîtres, des escargots (très prisé). En accompagnement on servait un mélange de miel et de vin, appelé « mulsum » - « cena » : Le deuxième repas était la « prima mensa ». On pouvait y trouver des volailles rôties, des saucisses ou même de simples ragoûts. On l’accompagnait de vin ordinaire souvent soupé avec de l’eau. - « cena » : Le troisième et dernier repas s’appelait la « secunda mensa », c’était un assortiment de fruits et de friandises. - Le « comissato »pouvait ensuite donner l'ambiance

faut que les conviés, s'ils veulent manger, mangent ses restes. Il ne leur épargne aucune de ces maux propretés dégoûtantes, capables d'ôter l'appétit aux plus affamés ; le jus et les sauces lui dégouttent du menton et de la barbe ; s'il enlève un ragoût de dessus un plat, il le répand en chemin dans un autre plat et sur la nappe ; on le suit à la trace. Il mange haut3 et avec grand bruit ; il roule les yeux en mangeant ; la table est pour lui un râtelier4; il écure5ses dents, et il continue à manger

de pommes de terres cuites au four, en accompagnement de la dinde. la Guinness Pie, une tourte irlandaise à la viande et à la bière, que l’on sert souvent dans les vieux Pubs de Dublin… L’irish stew est une grande spécialité irlandaise à base de ragoût d’agneau (à défaut d’agneau, le mouton ou le bœuf font l’affaire), servi avec des pommes de terre et des carottes. Traditionnellement servi dans les Irish Pub accompagné d’une pinte de stout irlandaise Le colcanon Il s’agit d’une purée épaisse cuisinée

secs et à la bière brune. Le Dublin Coddle qui est le repas traditionnel du samedi soir : saucisses, jambon, bacon, pommes de terre, oignons. C'est un repas économique et consistant connu à Dublin. L'Irish stew est une spécialité irlandaise: râgout d'agneau, oignons, pommes de terre, carottes, généralement accompagnée de brown bread (pain complet). Une fête très connue : la saint-Patrick Saint-Patrick : La saint Patrick est une fête précisément la plus connue de l’Irlande. La fête de

comme celle du repas , « quatre potages garnis chacun de deux perroquets, un contour bouilli qui pesait deux cents livres, deux singes rôtis d'un goût excellent, trois cents colibris dans un plat, et six cents oiseaux-mouches dans un autre ; des ragoûts exquis, des pâtisseries délicieuses... » décrit après par les habitants comme le repas « d'un pauvre village » et la périphrase « boue jaune » pour l'or démontre une abondance de ressources. En ce qui concerne le mode de vie de ses habitants il est

comme celle du repas , « quatre potages garnis chacun de deux perroquets, un contour bouilli qui pesait deux cents livres, deux singes rôtis d'un goût excellent, trois cents colibris dans un plat, et six cents oiseaux-mouches dans un autre ; des ragoûts exquis, des pâtisseries délicieuses... » décrit après par les habitants comme le repas « d'un pauvre village » et la périphrase « boue jaune » pour l'or démontre une abondance de ressources. En ce qui concerne le mode de vie de ses habitants il est