Rapport Maître Valet

L’île des esclaves est une utopie qui transporte le spectateur sur une île antique où l’ordre social est renversé : les maîtres deviennent esclaves et les esclaves deviennent maîtres. Ce renversement de rang vise à amuser le spectateur mais aussi à me faire réfléchir : Les maîtres méritent-ils vraiment d’être des maîtres ? Quelle est la raison d’être des inégalités sociales ? Maîtres et esclaves peuvent-il s’aimer ? Il s’agit d’une comédie sociale qui souligne les tensions entre l’aristocratie et les

monde système instable ? I) début déroutant A) énonciation : - généralt toutes les indications que le lecteur attend. Ici le narrateur reprend ses ? mais sans donner de rép. (L1) - juste indication hierarchique : jacques valet, et son maitre. -2 perso dialoguent, comme théâtre, ils sont au beau milieu d'une histoire, donc comme au théâtre. -1-5 structure du romanesque du R. - montre les coulisses du R -> brise le pacte de lecture habituel -> rupture illusion référentielle

idée d'où il se trouve, alors il obéit à son maître, il pense même au sort des deux échoués. Mais à partir de la ligne 20, lorsque Iphicrate parle de ''l'Île des esclaves'', toute la scène est chamboulée. Arlequin va ensuite comprendre sur cette île, les esclaves se regroupent et tuent les maîtres qui s'y trouvent. Arlequin va alors profiter de la situation. A la ligne 40, Arlequin commence à rire lorsque son maître a peur de la situation : rire de son maître est un ''manque de respect'' envers celui-ci

d’exposition. Etudions tout d’abord les rapports entre les personnages, nous pouvons classer ces scènes deux groupes, le premier est constitué de la comédie Don Juan de Molière, écrite en 1665 et de En attendant Godot de Beckett, écrite en 1948. Le second groupe est, formé des œuvres Le Barbier de Séville de Beaumarchais, écrite en 1775 et de Huis-clos de Sartre, écrite en  1943. Le premier groupe met en scène, contrairement au deuxième, deux valets : « Vladimir » et « Estragon » dans En attendant

l’entend pas, le valet a un avantage sur le maître Fin l.129-145 : apartés montrent un retournement de situation, le spectateur en sait plus que Figaro  le comte a pris la décision de faire épouser Marceline à Figaro Double énonciation : l’aparté permet aux spectateurs de connaitre les intentions des perso ; les spectateurs en savent plus que ceux qui sont sur scène  COMEDIE Rapports maître et valet Il y 2 tirades dans la scène et elles prononcées par Figaro  surprenant car c’est le valet, il est alors

L’exposition de la pièce de Beaumarchais est remarquable par la rapidité avec laquelle le nœud de l’intrigue se forme. Elle permet également de caractériser de façon très détaillée le couple de valets. Récompensé pour ses loyaux services, Figaro s’est vu promettre Suzanne, par le comte, qui l’aime en retour. Leur maître, le comte Almaviva, regrette l’abolition de l’ancien droit du seigneur qui promettait à ce dernier la première nuit de chaque nouvelle épousée. Analyse linéaire : C’est une scène

LE COUPLE MAÎTRE-VALET Les deux protagonistes principaux sont presque toujours en scène, et ensemble. La plupart des scènes sont organisées autour de leur dialogue. Leurs rapports apparaissent donc en même temps comme fondamentaux dans la pièce et comme complexes. 1 — Deux révélateurs La présence de Sganarelle s’explique par des considérations d’ordre dramaturgique : dans une comédie de caractère, le personnage principal ne saurait être isolé ; il a besoin d’un regard extérieur ou d’un

Fataliste et son maitre. Comme d’autres de ses œuvres, ce dernier roman a été publié en 1796 après sa mort et accorde une grande importance au dialogue entre les deux personnages. • Dès l’incipit, on perçoit l’originalité de l’œuvre, on y découvre un double dialogue, l’un entre le narrateur et le lecteur, l’autre entre Jacques et son maitre, construits presque symétriquement et qui suscite une réflexion sur l’écriture romanesque. Diderot vise un certain nombre d’idée critique par rapport à la religion

Chérubin, un baiser destiné à la comtesse, d'où ce commentaire satirique d'un pamphlet de 1784 désignant le page comme " greluchon de Madame et mignon du mari ". Signalons pourtant que, chez Molière, dans un jeu de scène bien plus appuyé, on voit un valet, Lubin, caresser et baiser par mégarde, à cause de l'obscurité, la main de son mettre en croyant que c'était celle de Claudine, sa promise ( George Dandin, III-3 ).         Ces audaces ( relatives, à nos yeux ) ont pu heurter la sensibilité et la

jouent masqués, chaque masque représentant un personnage : Pantalon (vieillard amoureux cherchant à empêcher l'Amoureux et l'Amoureuse de s'aimer), le Dottore (pédant prétentieux), le Capitan (soldat fanfaron), le valet (Brighella, le valet sérieux, rusé, intelligent ou Arlequin, le valet gouailleur, grossier, fainéant). La Tragédie classique : on parle de tragédie classique pour des œuvres datant du XVIIe siècle. Elles sont rédigées en alexandrins (vers de douze syllabes), ont, en général,