Rationalisme Cartésien

va conduire à la logique de l’enfermement. Il s’agit pour l’ordre de la raison de corriger ce qui est une aberration, ce qui ne devrait pas être. On enferme le fou pour sa non-conformité avec l’ordre raisonnable du monde. Avec l’avènement du rationalisme moderne et la naissance de la psychiatrie, le fou devient un objet d’investigation, la folie un objet de science. Ce qui était au Moyen-âge le reprouvé de Dieu devient une sorte d’enfant sous tutelle asservi au regard savant du médecin. Edgar Morin

Malebranche appartiennent à… III / …Des courants philosophiques opposés Dans cette troisième partie, nous allons tenter de montrer pourquoi Malebranche et Montaigne ne partagent pas les mêmes idées. Cela est du à une opposition entre : a)rationalisme et empirisme La citation de Malebranche insiste sur l’importance que le philosophe accorde à la raison : « Ce ne sont nullement ses raisons qui persuadent », « il n’a point de principes sur lesquels il fonde ses raisonnements », « [les exemples

I. Des cartes et le rationalisme 1) Raison et méthode 2) Doute et cogito II. La biologie cartésienne 1) La composition de l’œuvre 2) Recherches physiologiques 3) Relations avec la morale III. Le statut philosophique de la connaissance de l’homme 1) L’homme des passions : éprouver l’unité humaine 2) Union de l’âme et du corps : la perception et l’intellection 3) L’homme comme notion : le sujet moral (liberté et bon usage de la raison) Ce traité fut publié en 1649 et constitue l’avant-dernier de

science : les découvertes de Galilée vont avoir 3 conséquences sur l’existence de Dieu. 2. Montaigne et Descartes : Pascal rejette le rationalisme, le cogito « je pense donc je suis » de Descartes, Pascal reprend la distinction entre Nature et Coutume qu’il y a chez Montaigne, de l’expérience de Pascal ressort deux mots abandon et effroi, il réfute alors la pensée Cartésienne. 3. Le jansénisme et Les Provinciales : les questions soulevées par le jansénisme tournent autour de la grâce, elle est nécessaire

querelle. I/ LA QUESTION DU MOMENT CRITIQUE : LES REVOLUTIONS DE LA MODERNITE. La modernité n’est pas une révolution, mais elle s’appuie sur elle. On va l’envisager ici plutôt un concept techno-scientifique : l’ère de la productivité et du rationalisme provoque une modification des conditions de vie. A/ Les origines de la modernité selon Arendt (NB : se poser la q° de l’origine de la modernité revient à se poser celle de l’origine du classicisme en tant que tel puisque ces deux notions se

La première critique est motivée par le "prédestinationisme" : elle aboutit aux querelles autour de la prédestination caractéristiques de la Réforme. La seconde est motivée par le "nécessitarisme" (mais aussi, dans une mesure plus complexe le "rationalisme"), le fatalisme et le déterminisme. ------------------------------------------------- Critique sociologique : déterminisme En sociologie, beaucoup de coercitions (celles de Durkheim) s'opposent à l'idée du libre arbitre. Elles sont de plusieurs

autant je ne produis pas de vérité générale). Les sceptiques proviennent des relativistes (Protagoras fragment b2) : un radicalisme de la vérité qui ne peut pas se contenter de probabilités. Pyrrhonisme = scepticisme. 2/ Doute méthodique Doute cartésien. Il est radical. Il n’y a pas d’intermédiaire entre le vrai et le faux, il est universel. Il est rationnel. C’est la raison qui nous indique que les choses ne sont pas comment on croit qu’elles sont. Il y a des raisons de douter. Le processus rationnel

savoir + …) Le rationalisme est très important dans la philosophie cartésienne. Grâce à celui-ci, Descartes stipule que le monde pourra ultimement être compris. Il s’attardera alors à l’écriture des Méditations Métaphysiques afin de rechercher un fondement sûr (certitude absolue) auquel tous pourront croire dans cette période de remise en question (Période de Révolution scientifique). Il découvrira, entre autres, que la pensée est le propre de l’être humain. LE DOUTE CARTÉSIEN Afin de trouver

grandeur de Shakespeare que sur la validité de la physique copernicienne (Hume). Pourtant => au cœur de la subjectivité la plus intense et la plus avouée. Fin du XVIIIème 3 grandes réponses apportées aux critères du Beau : 1. Classicisme cartésien, rationalisme => Art Poétique de Boileau "Rien n'est beau que le vrai / le vrai est aimable / il doit régner partout / et même dans le fable". Le Beau est l'illustration d'une idée vraie et comme Descartes pense "que le bon sens est la chose au monde la

expérience sensorielle. C’est Locke qui entreprend de contrer le rationalisme dans son Essai philosophique concernant l’entendement humain. Pour le rationalisme, nos connaissances ne viennent pas seulement ni principalement de données fournies par l’expérience. Nos idées et principes ont une évidence rationnelle, l’esprit les trouve en lui-même et non dans l’expérience. Cf. Descartes. Pour Locke, qui est empiriste et contre tout rationalisme, les opérations de la pensée travaillent, mais elles travaillent