Rationalisme Et Sensibilité Des Lumière

évidence leurs implications éducatives. Ce volume ne prétend pas offrir un bilan complet des connaissances psychologiques utiles à l'enseignant. Plus modestement, il souhaite l'introduire à un champ de réflexion où les problématiques sont examinées à la lumière des théories psychologiques. Après avoir examiné les présupposés psychologiques des précurseurs (Rousseau, Montessori, Herbart, Decroly, Dewey, Claparède, Freinet, Alain), l'auteur s'intéresse aux implications pédagogiques de la psychanalyse et de

17 1. Introduction Le romantisme est un mouvement artistique, musical et littéraire né en Angleterre et en Allemagne à la fin du 18ème S, à la suite du Siècle des lumières. Il se développera en France vers 1800, au moment de la prise de pouvoir de Napoléon Bonaparte et de l’avènement du premier Empire en 1804, riche en conquêtes et en faits d’armes qui exaltent l’âme des jeunes romantiques. On assiste à un remodelage

philosophe appartient à un mouvement d’idée, qui en Allemagne, s’appelle L’aufklarung et en France les lumières. Les penseurs des lumières veulent libérer l’homme des ténèbres de la superstition. Mais Kant va plus loin il radicalise la pensée des lumières : tout doit être soumis à la critique, non seulement les préjugés religieux mais la raison même. Il dénonce à la suite de hume le rationalisme dogmatisme qui revendique que la raison est la seule source déterminante de la connaissance et par les

Parnasse contemporain”. À ce moment, il écrit les POEMES SATURNIENS (1866). · Bien que le reste de la biographie soit ultérieur à l’œuvre qu’on analyse, il est important pour cerner le personnage de Verlaine et sa sensibilité :· Mort de son père en 1865 et de sa cousine (1867) : crises de mélancolie, de violence, alcool· Epouse Mathilde Mauté, une jeune fille de la haute bourgeoisie parisienne en 1870 · La même année, rencontre Rimbaud de 10 ans son cadet

fantastique se nourrit en effet du romantisme anglais et allemand dont il exploite les thèmes et les transforme. Apparaît alors l'étrange, l'insolite et le bizarre, ainsi que le macabre. Tout deux mettent en doute la morale de la société au travers de la sensibilité et de l'étude du « moi ». Un  « moi » déjà torturé chez les romantiques qui deviendra la problématique du fantastique qui le dédoublera et lui soumettra la folie comme sujet d'étude. Les deux genres cultivent désirs et rêves au travers d'humour

le théâtre, la peinture, la musique ou la sculpture, il émerge dans un contexte à la fois politique et social particulier. Le Romantisme s’oppose au Classicisme, dont il rejette les règles et les codes contraignants, ainsi qu’au rationalisme du Siècle des Lumières. Il fait suite à la Révolution Française et donc à la lutte pour les libertés qui prend place en France en 1789, tandis que la destinée de Napoléon Ier nourrit une mythologie de réussite et de destin exceptionnel, que tenteront de recréer

en Grande-Bretagne et en Allemagne, puis au début du XIXe siècle en France, en Italie et en Espagne. Il se développe en France sous la Restauration et la monarchie de Juillet, par réaction contre la régularité classique jugée trop rigide et le rationalisme philosophique des siècles antérieurs. Le Romantisme s'esquisse par la revendication des poètes du « je » et du « moi », qui veulent faire connaître leurs expériences personnelles et faire cesser cet aspect fictif attribué aux poèmes et aux romans

mère à sa naissance. Il fut élevé par son père qui négligea son éducation et encouragea sa tendance à la rêverie. L'enfant, abandonné à lui-même, puisait dans la bibliothèque paternelle. Il fut attiré par les romans qui contribuèrent à éveiller sa sensibilité et son esprit romanesque et lui donnèrent le goût de la rêverie dans la solitude. A l'age de 10 ans, il fut mis en pension. Il y vécut deux ans heureux en pleine campagne, abandonné à ses rêves. Il aima la nature et la liberté dans les champs. Rousseau

ses jugements aiguisés par une sensibilité à l’explicitation herméneutique non sans retirer toute objectivité à la qualité de l’œuvre. Mais, comme l’écrivait HUME au même moment, le jugement sensible ne saurait avoir tord sachant que le sentiment est à lui même son propre critère de vérité. Diderot renouvelle donc la pensée du beau par une critique d’art élaborée en véritable « technicien » comme en « philosophe ». Non pas uniquement en tant que penseur des Lumières selon le sens commun mais en

Lamartine met en contraste plusieurs éléments lors de sa description du paysage. « Lecrépuscule encor jette un dernier rayon » au vers 10 met en opposition le soleil se couchant, donc l’obscurité naissante, et un rayon de soleil qui apporte la lumière. Le vers 28 « Un seul être vousmanque, ettout est dépeuplé » met en contraste la valeur à la quantité. Une seule personne qui nous est chère à plus d’importance que toutes les autres. Les paysages d’écrit ne semblent pas pour autant... Analyse