Rationalisme Plaisir

On n’a perdu beaucoup d’écrits à cause de la sélection de l’Église. * * Accorder Aristote et l’Église. * * Conception de l’être humain : Créature de Dieu mais inférieur à lui. Doit le servir. Doit renoncer à son plaisir du corps, sacrifier son plaisir terrestre. * Paradis/enfer * * L’être humain est second, dominé par Dieu. * * Philosophie servant à la religion. * * Début Renaissance & modernité (1450-1600) * * Mort de la philosophie,

quel point donné. De ce fait si l'une est acquise, l'autre est automatiquement exclue. Et pour fait, ces deux notions ont des définitions très distincte l'une de l'autre. La science est reconnue comme étant une connaissance, qui fait appel au rationalisme, et qui s'organise de façon objective et méthodique, elle ne reconnaît que ce qui est définit par preuve mathématiques. Alors que la religion repose sur des dogmes, des croyances qui font appel à la foi. Mais la science et la religion font-elles

moderne" (1932), "Les intuitions atomistiques" (1933), "Le nouvel esprit scientifique" (1934), "L'expérience de l'espace dans la physique contemporaine" (1937), "La formation de l'esprit scientifique" (1938), "La philosophie du non" (1940), "Le rationalisme appliqué" (1949), "L'activité rationaliste de la physique contemporaine" (1951), "Le matérialisme rationnel" (1953). Ensuite une partie portant sur l'imagination créatrice, avec notamment "La psychanalyse du feu" (1938), "L'eau et les rêves" (1942)

les femmes. Refusant de borner ce désir, de le restreindre dans les limites de la loi morale et religieuse, il est séduit par chaque nouvelle beauté qu’il lui faut conquérir. Comme il l’explique à Sganarelle dans la scène 2 de l’acte I, «tout le plaisir de l’amour est dans le changement ». Molière lie ainsi le thème baroque de l’inconstance (celle d’une nature changeante, constamment en mouvement) à la question du désir, et de l’inconstance amoureuse à la liberté de pensée : suivre son désir, c’est

expérience sensorielle. C’est Locke qui entreprend de contrer le rationalisme dans son Essai philosophique concernant l’entendement humain. Pour le rationalisme, nos connaissances ne viennent pas seulement ni principalement de données fournies par l’expérience. Nos idées et principes ont une évidence rationnelle, l’esprit les trouve en lui-même et non dans l’expérience. Cf. Descartes. Pour Locke, qui est empiriste et contre tout rationalisme, les opérations de la pensée travaillent, mais elles travaillent

Sud. Parménide (515-450 A.J.C.) : tout ce qui existe a toujours existé. Rien ne naît de rien. Ses sens percevaient comment les choses se modifiaient. Mais sa raison lui tenait un autre discours. Les sens nous donnent une fausse image du monde. Le rationalisme : un rationaliste est celui pour qui la raison est la source de toute connaissance au monde. Ephèse en Asie mineure. Héraclite (idem) : Tout s’écoule, on peut se fier à nos sens, « nous ne pouvons pas descendre deux fois le même fleuve ». : Les

elles contre la connaissance sensible ? Les philosophes empiristes, comme HUME penchent vers le premier terme de l'alternative. Les sens sont le seul moyen de connaître et la rationalisation scientifique prolonge la connaissance sensible. Le rationalisme affirme au contraire, soit que la raison seule est impliquée dans une science : elle seule, en effet, nous fait connaître l'universel, objet des sciences selon ARISTOTE. Soit selon une version plus contemporaine comme chez BACHELARD, que la connaissance

la pensée scientifique, on s'apercevrait que l'alternance de l'a priori et de l'a posteriori est obligatoire, que l'empirisme et le rationalisme sont liés, dans la pensée scientifique, par un étrange lien, aussi fort que celui qui unit le plaisir et la douleur. En effet, l'un triomphe en donnant raison à l'autre : l'empirisme a besoin d'être compris ; le rationalisme a besoin d'être appliqué ».Le chercheur peut sans doute avoir des certitudes. Mais il doit s'en méfier et même savoir y renoncer. En

sophisme, et, d'une manière générale, à toutes les doctrines enseignant le caractère relatif de la vérité. Enfin, il ne faut pas comprendre esprit critique et esprit de critique. L'esprit de critique, c'est l'attitude d'une personne qui prend plaisir à mettre en difficulté ses adversaires par la parole, sans veiller à la pertinence de ses propos. Les " critiquailleurs " voient dans l'esprit critique une fin et non un moyen. En effet, ils ne cherchent pas à atteindre la vérité, mais désirent juste

6. L’empirisme désigne un ensemble de théories philosophiques qui font de l’expérience sensible l’origine de toute connaissance valide et de tout plaisir esthétique. Il considère que la connaissance se fonde sur l’accumulation d’observations et de faits mesurables , dont on peut extraire des lois générales par un raisonnement inductif. Le rationalisme est quant à lui la doctrine qui pose la raison discursive comme SEULE source possible de toute connaissance réelle. Le réel ne serait connaissable