Rationalité Du Consommateur

fins souhaités. On retrouve une forme de rationalité dans les organisations. Une autre forme de rationalité relève du comportement économique. Le comportement des agents économiques conduit à un problème de maximisation sous contrainte. Les actions des agents sont donc calculés et se déduisent mathématiquement des hypothèses et des paramètres du modèle. Ce deuxième type de rationalité constitue bien l’hypothèse centrale de la théorie économique. La rationalité a donc de multiples facettes que nous essaierons

applications économiques notamment la modélisation des choix d’un produit standard : les deux entreprises n’ont pas les mêmes préférences sur le standard à adopter mais elles ont toutes les deux intérêts à ce qu’un standard soit adopté pour inciter le consommateur à acheter le produit. e​ 2​ exemple : le jeu de la poule mouillée (chickengame) Deux ados de Malibu : Jefferson (joueur 1) et Jonathan (joueur 2). Ils conduisent tous les deux sur la route 1, en plein milieu, Jonathan vers le Nord et Jefferson

rareté. Nos besoins sont infinis, mais les moyens sont plus rares. On parle d’économie politique lorsque l’on ne considère pas que les activités domestiques, mais aussi la cité, la nation. La microéconomie étudie les comportements individuels (consommateur, E, salarié…). La macroéconomie étudie les variables écos globales : Production, conso, Revenu, inflation Etat, et leurs liens (chômage :inflation ; conso/inflation ; chômage/croissance…) Les biens économiques : L’éco ne s’intéresse qu’aux biens

partie ou sur une fonction de l’entreprise et peuvent être réversibles rapidement. 1.2. Comment analyser les décisions ? Simon analyse la décision en étudiant le processus de prise de décision et en construisant une nouvelle vision théorique de la rationalité. A. Le processus de décision de Simon Le processus de décision de H. Simon (appelé « modèle IMC » pour les initiales des trois premières phases) se décompose de la façon suivante : – Intelligence : c’est l’étude de l’environnement de la décision

partie ou sur une fonction de l’entreprise et peuvent être réversibles rapidement. 1.2. Comment analyser les décisions ? Simon analyse la décision en étudiant le processus de prise de décision et en construisant une nouvelle vision théorique de la rationalité. A. Le processus de décision de Simon Le processus de décision de H. Simon (appelé « modèle IMC » pour les initiales des trois premières phases) se décompose de la façon suivante : – Intelligence : c’est l’étude de l’environnement de la

l'essentiel des activités d'un chef d'entreprise (politique commercial, marketing, ressources humaines). Il n'a pas à réfléchir, il n'a qu'un seul objectif : maximiser le profit. Le producteur est considéré comme rationnel. Les vrais producteurs ont un rationalité limité. Ils ne cherchent jamais la production optimale. L'entrepreneur peut aussi ressentir des émotions l’empêchant d’être optimal (être attaché à son entreprise, à son personnel), il n'est pas capable de sélectionner les meilleurs alternatives

d’investissement;  Décisions antagonistes : caractérisées par des éventualités constituées de stratégies des concurrents. Problèmes liés aux actions commerciales; II – LE PROCESSUS DE PRISE DECISION 1 – Le Modèle IMC (Herbert A. Simon) (modèle de la rationalité limitée) La prise de décision se décompose en plusieurs étapes qui permettent de comprendre et d’expliquer les étapes de la prise de décision. Le modèle sociologique élabore les processus mentaux de la décision de Herbert Alexander Simon dénommé

CONCURRENCE Introduction : Section I : Jeux et stratégies dominantes 4 4 4 4 5 6 7 7 7 8 9 9 9 10 10 11 11 11 13 14 15 15 15 16 17 17 17 21 21 21 23 24 26 2 I) Jeux à un coup II) Jeux séquentiels III) Sous optimalité des solutions et rationalité Section II : Lʼéquilibre de Nash I) Définition II) Exemples dʼanalyse économique 26 27 32 34 34 36 3 Introduction : concurrence et nombre dʼagents I) lʼindividualisme méthodologique Cʼest une méthode qui se fonde sur lʼanalyse

vol. 23, n° 3, 1995. 4 énergétiques des pays consommateurs qui ont massivement investi à la fois dans la maîtrise de la demande, dans le développement d’offres énergétiques alternatives au pétrole – en particulier pour la production d’électricité – et dans le développement de l’offre pétrolière hors du Moyen-Orient. Les pays producteurs du Moyen-Orient défendent un prix du pétrole largement supérieur au prix de concurrence ; les consommateurs recherchent la diversification de l’offre pétrolière

rareté (revenus) va devoir faire des choix car il ne peut pas obtenir tous les biens qu’il désire. Cela est vrai aussi bien d’un point de vue d’un entrepreneur que pour un consommateur. Il faut faire des choix qui concernent les produits : Pour l’entrepreneur, que produire, quelles sont mes compétences ? Pour le consommateur, que consommer ? Comment consommer ? Je me fais livrer, je vais acheter à crédit, comptant, je loue, j’achète ? Pour qui produire ? Faire une étude de marcher sur son cœur