Ravage Argumentatif

sa présence et par là même, son point de vue et les jugements qu’il appuie, il utilise même la première personne au début du second paragraphe : « je le crains ». Nous retrouvons dans cet extrait toutes ces marques spécifiques du discours argumentatif. Le discours de Montaigne est affirmatif, plusieurs expressions le montrent : « qui nous garantit », « encore », « concluons », « très fortement », « je le crains », « nous ne l’avons pas », « montrent », « nous nous sommes servis », « jamais »

puissants - L’utilisation des animaux rend le texte plus plaisant - L’utilisation des animaux est une tradition de l’apologue depuis les grecs La fable s’ouvre sur une réfènce historique, qui rapelle les récits mythologiques, est ici ravage par la peste et on cherche le coupable de cette épidemie. C’est surtout le mythe d’Oedipe qui nous intéresse ici. Le roi évoque naturellement le début de la tragédie de Sophocle. Allusions aussi à l’Achéron (fleuve des enfers, il fallait payer son

des discours fait de cette fable un texte théâtral, une petite mise en scène d’un procès, un « conseil ». Le fabuliste décrit tout d’abord en un long prologue épique –car les forces sont surhumaines et l’événement est mythique - de 14 vers les ravages causés par la peste. Les deux premiers octosyllabes font rouler un coup de tonnerre, le mot « mal » se prolonge dans les deux relatives d’un fracas d’allitérations en « R » -qui peuvent suggérer le grondement furieux de la colère divine- que renforcent

au centre du récit. Il est d’abord, dans le premier paragraphe, question du spectacle horrible de la guerre qui se déroule sous ses yeux. Puis, lorsqu’il décide « d’aller raisonner ailleurs des effets et des causes », il est question d’un village ravagé, toujours sous ses yeux. Enfin, lorsqu’il « s’enfuit au plus vite dans un autre village », Voltaire décrit ce nouveau lieu puis ne parle plus que de son héros pour narrer la suite de ses aventures, laissant derrière lui deux populations mourir chacune

question sur le texte - La disposition, le plan du texte est la question initiale et la plus importante. La seconde question initiale est: à quel type d'argumentation avons-nous à faire? :il y a souvent dans le texte deux types de structure argumentatif et deux seulement selon Aristote. Nous avons l'exemple qui va du particulier au général du fait à la règle et est donc une induction; et l'enthymème qui va du général au particulier et qui est donc une déduction. - L'intertextuel, l'intratextuel

vrit aux superstitions et la diffusion des connaissances la censure exerce par le pouvoir. Multiplier les formes de polmique Les Lumires militent travers une littrature de combat quelles mettent au service dides nouvelles Lettres et dialogues argumentatifs, contes philosophiques, essais, pamphlets, dictionnaires, Fiche pdagogique n4 PROF said Ferhan Niveau2me anne du baccalaurat Dure 1 heure Activit Production crite


la comédie d'intrigue est davantage occupée par la conduite de l'action (P. Corneille : L'Illusion comique) et les jeux de scène (quiproquo, imbroglio de la commedia dell'arte ; vaudeville : Labiche, Feydeau),
la comédie de caractères dépeint les ravages d'une passion (Molière, L'Avare).
la farce, héritée du Moyen-Age, où elle était destinée à servir d'entracte aux mystères religieux (La farce de Maître Pathelin), est une pièce bouffonne qui, dans une intrigue stéréotypée, met en scène des personnages

| | |produire. Repérage du discours narratif et | | | | |argumentatif. | |Séance 10: |Le meurtre à distance dans les |Lettres 13, 14, 15 et 16 |Analyse de la stratégie adoptée par Max et de la mise| | |lettres 13, 14

Voltaire s’assure de porter un message humain, un message que n’importe quel homme, délivré de la tyrannie des axiomes philosophiques, est capable d’entendre. La valeur expressive du bouleversement du narrateur participe aussi de la description des ravages dus au « désastre ». Le poème se présente d’emblée comme un « cri légitime » (v.30), un cri qui répond aux « cris » des mourants (v.13). Il ne s’agit pas d’un discours posé et calme, prononcé à l’abri des sentiments : au contraire, le narrateur

ACTE1 SCENE 1     INTRODUCTION C'est en 1669 que Racine écrit Britannicus. Comme dans beaucoup de tragédies du XVII° siècle, le sujet est emprunté à l'histoire romaine. Le thème de prédilection des tragédies raciniennes est la description des ravages de la passion amoureuse mais, dans Britannicus, il a voulu écrire aussi une pièce à sujet politique : l’évocation des luttes pour le pouvoir à la cour de Néron. La scène I de l'acte I dont nous allons étudier le début, est un dialogue entre la mère